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mardi 11 mai 2021

« Le Covid n’est pas une pneumonie. C’est une endothélite et cela peut tout changer ! » L’édito de Charles SANNAT


Photo d'illustration.

 Photo d'illustration.AFP

par | 11 Mai 2021 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Les preuves s’accumulent progressivement et les autorités de santé françaises devront répondre de leur incurie car c’est bien de cela qu’il s’agit alors que cela fait plus d’un an que nous sommes confrontés à une pandémie sans précédent accompagnée d’une épidémie hallucinante de mensonges d’Etat. Masques, risques du virus, etc…

C’est du côté des chercheurs zurichois que nous pouvons confirmer ce que beaucoup pensaient, ou présentaient mais que l’on ne pouvait pas dire sans risquer l’excommunication médiatique. D’ailleurs cela continue allègrement encore.

Il y a tellement de questions à poser, il y a un évident débat à avoir pour éclairer le consentement des gens et remettre la science et la connaissance au cœur de la politique et des choix qui engagent collectivement toute la société.

Je vais donc partager avec vous deux informations clefs, et je vous invite à votre tour à partager également ces informations et la question finale qui concerne chacun de nous confrontés au choix vaccinal.

Voici un article de la très sérieuse Tribune de Genève, source ici.

Non, le Covid-19 n’est pas qu’une pneumonie virale

« Des chercheurs zurichois ont analysé les tissus de personnes décédées du nouveau coronavirus. Ils estiment qu’il s’agit d’une inflammation vasculaire systémique et non d’une pneumonie.

Bien plus qu’une pneumonie, la maladie COVID-19 est une inflammation vasculaire systémique, selon une étude de chercheurs zurichois. Cela explique pourquoi elle provoque autant de problèmes cardiovasculaires et de défaillances d’organes vitaux.

Les premiers patients présentaient surtout des pneumonies difficiles à traiter, a indiqué l’Hôpital universitaire de Zurich (USZ) dans un communiqué. Par la suite, les médecins ont constaté de plus en plus de cas de troubles cardiovasculaires et de défaillances multiples d’organes sans lien apparent avec la pneumonie.

L’équipe de Zsuzsanna Varga, à l’USZ, a donc examiné au miscroscope des échantillons de tissus de patients décédés et constaté que l’inflammation touchait l’endothélium – la paroi interne des vaisseaux sanguins – de différents organes.

Le virus SARS-CoV-2 a pu être détecté dans l’endothélium lui-même, où il provoque la mort des cellules, puis des tissus et organes touchés. Les chercheurs en déduisent que le virus attaque le système immunitaire non pas par les poumons, mais directement par les récepteurs ACE2 présents dans l’endothélium, qui perd ainsi sa fonction protectrice.

Tous les organes touchés

« La maladie Covid-19 peut toucher les vaisseaux sanguins de tous les organes », résume Frank Ruschitzka, directeur de la clinique de cardiologie de l’USZ, qui suggère désormais de baptiser ce tableau clinique « Covid-endothélite ».

Il s’agit d’une inflammation systémique des vaisseaux sanguins pouvant toucher le cœur, le cerveau, les poumons, les reins ou encore le tube digestif. Elle entraîne de graves microperturbations de la circulation sanguine qui peuvent endommager le cœur ou provoquer des embolies pulmonaires, voire obstruer des vaisseaux sanguins dans le cerveau ou le système gastro-intestinal, souligne l’USZ.

Si l’endothélium des jeunes patients se défend bien, ce n’est pas le cas de celui des groupes à risque souffrant d’hypertension, de diabète ou de maladies cardiovasculaires, dont la caractéristique commune est une fonction endothéliale réduite.

Au niveau thérapeutique, cela signifie qu’il faut combattre la multiplication du virus et en même temps protéger et stabiliser le système vasculaire des patients, conclut le Pr Ruschitzka, cité dans le communiqué. Ces travaux sont publiés dans la revue médicale britannique «The Lancet ».

Un virus à nul autre pareil
D’autres recherches publiées dans la revue « Science » vont dans le même sens, évoquant une maladie systémique et un virus qui agit d’une manière différente de tous les autres pathogènes vus jusqu’ici.

Des dommages aux reins, au cerveau et au système nerveux central ont été signalés, de même que crises épileptiques, encéphalites et AVC chez des patients ayant récupéré. Les intestins, riches en récepteurs ACE2, sont un autre front d’attaque : la moitié des patients souffre de diarrhée. Les yeux et le foie sont également touchés ».

Le rôle de la protéine Spike.

Voici un autre article à relier au précédent source SantéLog.com ici

« La protéine de pointe du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire, actif dans la maladie, révèle cette équipe de virologues du Salk Institute (La Jolla). Plus largement décrite comme une infection respiratoire, en décryptant comment la protéine Spike endommage les cellules, l’équipe documente la maladie COVID-19 comme une maladie principalement vasculaire. Ces conclusions, publiées dans la revue Circulation Research de l’American Heart Association (AHA) permettent de mieux comprendre toute une série de symptômes cardiovasculaires aujourd’hui associés à la maladie.

On sait aujourd’hui que les protéines « spike » du SRAS-CoV-2 aident le virus à infecter son hôte en se fixant sur des cellules hôtes, via le récepteur ACE2. Cette étude révèle que Spike joue également un rôle actif dans la maladie elle-même, en provoquant une fragmentation mitochondriale dans les cellules vasculaires. « Beaucoup de chercheurs et de médecins considèrent le COVID comme une maladie respiratoire, mais c’est vraiment une maladie vasculaire », le Dr Uri Manor, co-auteur principal de l’étude : « Cela permet d’expliquer pourquoi certains patients développent un accident vasculaire cérébral, d’autres une arythmie ou une tachycardie. Le point commun entre ces conditions est leur fondement vasculaire ».

Or les vaccins ciblent la protéine… Spike !

On ne se vaccine pas évidemment pour aller au restaurant ! C’est le degré 0 de l’argumentation médicale ou de santé publique. C’est de la propagande, efficace certes du type « reprendre notre vie d’avant », ou « se retrouver » avec la perversité de la culpabilisation induite, mais ce n’est pas éclairer le choix individuel, ni aider tous les intervenants (y compris les médecins) à mesurer les bénéfices/risques par catégories et par vaccins !

Nous pouvons constater tous les jours et sur tous les sujets que pour « vivre heureux », il ne faut « plus vivre caché ». Non, il faut « vivre avec le cerveau débranché ». Un « bon » citoyen, un « bon » collaborateur, un « bon » manager, est un individu qui désormais ne pose plus aucune question, n’interroge pas la réalité, ne fait plus preuve d’esprit critique. Cerveaux débranchés, tranquillité assurée.

Mais revenons à la question finale qu’il faut bien poser.

Les vaccins ciblent la protéine Spike en codant son ARN, et nombre de réactions aux vaccins posent des problèmes… de circulation de caillots sanguins qui font penser aux effets mêmes produits par le Covid.

Dès lors il faut s’interroger sur les effets même de la protéine Spike.

Et si cette protéine était le problème ?

Ce n’est pas à moi de l’affirmer et je n’ai en aucun cas les compétences ni pour confirmer ni pour infirmer cette hypothèse, mais nous pouvons faire des liens et poser des questions.

D’ailleurs quand bien même la protéine Spike expliquerait les problèmes inflammatoires du virus ou les effets secondaires des vaccins que cela ne voudrait pas forcément dire que le ratio bénéfices/risques ne serait pas en faveur de la vaccination. De la même manière, la chloroquine étant utilisée dans des maladies inflammatoires, c’est peut-être cela qui expliquerait son efficacité lorsqu’elle est administrée dès les tous premiers jours comme l’affirme depuis le départ le Professeur Raoult. Là aussi, il y a évidemment des questions à se poser et des réponses à apporter.

Si nous sommes confrontés à des variants, ne serait-il pas plus pertinent de développer également nos connaissances pour pouvoir soigner et non plus tout miser sur la vaccination, et l’on devrait même dire sur les vaccinations répétées ?

Le problème, généralement, c’est que lorsque les bonnes questions sont posées, elles n’obtiennent jamais de réponse et elles sont confrontées à un silence assourdissant.

Pour éviter toutes « théories du complot », ou plus simplement toute erreur ou rumeur, le plus simple, c’est toujours de dire la vérité et d’expliquer jusqu’à ce que tout le monde comprenne, ou presque ! C’est au prix de la vérité et de la pédagogie que l’on maintient et que l’on alimente la confiance, une confiance qui fait actuellement cruellement défaut dans le processus vaccinal engagé.

Charles SANNAT

Restez à l’écoute.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

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