L’Affrontement est-il inévitable ?

Publié le 14 août 2020 par rra137

 

Le journal ‘Valeurs Actuelles’, donnait la parole à Éric Zemmour qui répondait avec son habituelle franchise et sa lucidité sur l’état actuel de la France. 

En voici quelques extraits :

« Les clivages sont nationaux et identitaires. Nous entrons dans l’ère de la guerre des races.
Nous revenons au temps des guerres de religion et des croisades.
Et Macron n’est pas fait pour ces temps-là…
La démocratie, qui est le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple, est dominé par l’Etat de droit, soumis aux Droits de l’Homme (juges, médias et monde culturel) défendent cette immigration de masse et Macron ne s’y attaquera jamais…
Les viols, les vols, les crimes, c’est le jihad du pauvre.
Tant qu’on se trompera sur le diagnostic, on se trompera de traitement…
L’Etat ne tient plus rien, il est vu comme un distributeur d’argent et de droits…
Le séparatisme est une réalité et les enclaves étrangères sont en progression continue.
Macron parle beaucoup, mais ne fait rien…
Les juges et les médias sont les grands prêtres chargés d’imposer la morale des Droits de l’Homme au peuple…
Macron n’a aucune colonne vertébrale idéologique ni politique, il navigue au gré de ses intérêts électoraux et pense que tout va finir par s’arranger tout seul.

Mais le peuple n’a pas encore pris conscience de la catastrophe qui se prépare, trop d’idiots utiles travaillent contre l’intérêt de leur pays et par conséquent, contre leur propre intérêt.

A la question des mesures qu’il serait urgent de prendre, il répond :

« En priorité, stopper l’immigration. Pour continuer par le regroupement familial, le droit du sol, les allocs aux étrangers.
L’expulsion des délinquants et en finir aussi par la double nationalité pour les extra-européens, en appliquant la déchéance de nationalité pour les voyous importés.
Fermer les mosquées salafistes.
Sans oublier la suppression de la loi Pleven et les subventions aux Associations de défense des migrants ».

Mesures de bon sens, qu’il faudrait prendre tout de suite, pour éviter le pire.
J’ajouterai, comme mesures à prendre, la réforme de la Constitution et le Référendum d’initiative populaire.

Mais quels sont les hommes et les femmes, qui auront le courage et la volonté pour s’attaquer à ces questions, particulièrement épineuses, en évitant de se neutraliser par la guerre des égos ?

Il en ressort, à travers ce que dit Zemmour, que la situation est grave et que nos « élites » ne font rien pour y remédier.
La PEUR, et dans une moindre mesure, la négligence.

Et puis pensent-ils : Après moi le déluge.

Les français, se croient toujours en temps de paix, ce qui arrange bien nos dirigeants.
Alors que l’ennemi est installé chez lui, à domicile et qu’il a déclaré les hostilités depuis déjà deux ou trois décennies.
Pour eux, une guerre c’est deux fronts opposés, avec des armées en uniforme, des tanks, des avions, des bombardements.

La nouvelle guerre est asymétrique.
Il n’y a pas deux belligérants, dans celle-ci, puisque la France ne se considère pas en guerre, mais un seul qui frappe au hasard, avec ceux qui terrorisent et tuent, comme au Bataclan et d’autres qui se lancent dans des agressions quotidiennes.
Hier, c’était un garde pêche qui demandait à des « jeunes » qui fumaient de la chicha, de bien vouloir ramasser les détritus.
Il a reçu en réponse, des coups de poing dans la figure.
Hier encore, une infirmière dans un bus qui faisait la remarque à deux « jeunes » de bien vouloir porter un masque et qui s’est fait rouer de coups.
Ce mercredi, c’était un véhicule de pompiers, dans le Puy de Dôme, caillassé après être tombé dans un traquenard.
Un collégien à St Denis, qui se fait frapper pour lui prendre son téléphone portable etc.… etc…

Imaginons seulement que dans un pays du Maghreb, des étrangers fassent le centième de ce que font ces jeunes chez nous…
Ils ne recommenceraient pas deux fois !

Michel Onfray, le philosophe, voit la fin de notre société inévitable.
Zemmour, lui, est plus optimiste mais à condition de prendre rapidement des mesures sévères.
Et ce n’est pas ce Gouvernement qui s’en chargera.

Onyx