Publié le
Il semble que l’ordre soit donné aux différentes polices de laisser en paix les hordes gauchistes, alors que les arrestations arbitraires préventives contre certains gilets jaunes se multiplient.
En tout cas, ceux jugés populistes ou qui brandissent des drapeaux français ne sont pas ménagés.
Le local des identitaires a été récemment perquisitionné, bien que les fameux Blacks blocs se soient vantés qu’ils attaqueraient les CRS à la Bastille.
On peut se poser des questions…
Y aurait il complicité entre ce Gouvernement et les casseurs d’extrême gauche, pour discréditer le mouvement ?
Difficile à croire en effet, et pourtant on peut le constater sur des vidéos filmées « sur le vif ».
Quand les gauchistes s’en prennent à des groupes qui désirent manifester tranquillement, la police reste passive.
Bien sûr, ce n’est pas forcement la volonté des policiers de ne pas intervenir.
Alexandre Langlois, secrétaire général d’un syndicat de la police le confirme.
Mais des consignes existent aussi, sans doute, pour rester passif et ne pas se défendre devant la racaille de la diversité ou des gauchistes.
Doit-on toujours suivre les directives qui vont à l’encontre de toute logique et déontologie?
Avons nous entendu parler de blessures graves chez les antifas et autres anarchistes? PAS DU TOUT!
Ces milices, qui semblent bien préparées pour semer le désordre et au combat de rue, font leur sale boulot et disparaissent sans le moindre barrage d’interception devant eux.
Alors qu’il ne serait pas difficile aux CRS et gendarmes de les encercler pour les arrêter et les mettre à la disposition de la justice.
D’autant plus, que ces trublions sont déjà connus et répertoriés.
Curieusement, un porte parole des GJ, Jérôme Rodrigues a reçu un tir de flash ball dans le visage, au risque de perdre un œil, pour être pris violement à partie le lendemain par des gauchos munis de barres de fer, avec une volonté de lynchage, comme c’est arrivé auparavant, avec le journaliste Dominique Lapierre et un de ses confrères de LDC News, jugés trop à droite, par ces minables milices.
Véritables Guépéou trotskistes, qui jouent sur la peur qu’ils inspirent.
Et c’est à n’en plus douter maintenant…
Que le Pouvoir les utilise, pour briser le mouvement des gilets jaunes.
En tout cas, celui que ce Gouvernement considère comme le plus dangereux, car il ne se contente pas des revendications sur la hausse des prix, mais réclame d’abord l’essentiel qui est : L’argent aux français, l’arrêt immédiat de l’immigration et de l’Islamisation.
Mots que Macron refuse d’entendre.
Ces milices violentes d’extrême gauche, et cela transparait de plus en plus, sont devenues les forces supplétives d’un Système, qui ne sait plus comment se sortir d’un problème qu’il a crée.
Ensuite, il suffit d’inverser les choses, en faisant croire au public, que c’est « l’extrême droite » qui est coupable de tous les méfaits et pillages.
Comme d’habitude les médias se chargent de la besogne.
On en profite pour réclamer par la voix de Mélenchon une « Commission parlementaire contre les violences d’extrême droite, et la dissolution de la Ligue du Midi ».
Quand verra t’on une Commission réclamée contre les violences, bien réelles, celles là de la gauche extrême? Suggère l’avocat Gilles W. Goldnadel.
Pendant ce temps, Bernanos, celui qui avait presque réussi à brûler vif dans leur voiture, trois policiers, serait dit on déjà dehors.
Tout cela n’est pas beau, c’est même le signe d’un régime pourri et en complète décadence.
Police et gendarmerie devraient comprendre que leur intérêt n’est pas de défendre un système qui s’écroulera bientôt.
Mais plutôt, de ne plus s’opposer aux manifestants patriotes !
Onyx
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.