du 4 au 8 février 2019 :
JOUY SUR MORIN, 77, FRANCE
Comment vous assurer qu’un pays a été définitivement mis en esclavage à votre profit ?
Lui supprimer sa monnaie bien sûr (chose faite), la gestion de ses banques (chose faite), lui voler sa Bourse (chose faite) et, au final, lui détruire toute imprimerie high-tech qui lui permetterait de fabriquer de nouveaux billets banque, si par malheur (du point de vue de tous les idolâtres européistes) ’il lui venait la mauvaise idée de reprendre son indépendance.
J’ai personnellement assisté à ce spectacle, noyé dans le silence ouaté de la neige, de la mise à mort de l’imprimerie Arjowiggins Security qui existe depuis l’an 1619 (autant dire l’une des plus anciennes usines de France).
Elle a été liquidée selon un plan parfaitement orchestré par les plus hautes autorités de l’État français aux ordres de Bruxelles (objet de l’article suivant).
Les technocrates complices n’ont ainsi pas hésité à sacrifier 200 malheureux de plus qui iront pointer au chômage, et que l’on devra payer avec nos impôts parce que Bruxelles refuse l’idée que la France puisse disposer d'une quelconque indépendance financière.
CQFD: Il importait donc de tuer l'imprimerie française la plus sophistiquée en termes de planche à billets (au sens propre) afin qu’il n’en reste plus que des cendres.
AVEC L'AIDE D'UN HEDGE FUNDS AMERICAIN L'ETAT FRANCAIS A SACRIFIE L'IMPRIMERIE ALORS QUE LE CARNET DE COMMANDES ETAIT PLEIN
du 4 au 8 février 2019 :
JOUY SUR MORIN, 77, FRANCE
L'imprimerie Arjowiggins de Crèvecoeur près de Jouy sur Morin a été fondée au XVIIe siècle...
Je ne savais pas qu'il existait encore en France des entreprises qui avaient réussi à traverser autant de siècles.
Le site est classé Défense Nationale, dans le sens où elle bénéficie des mêmes critères de protection externes et internes qu'un site militaire comme par exemple la DGSE installée à côté de la piscine des Tourelles à Paris.
Une seule entrée possible.
Autant de dire qu'à elle seule, cette imprimerie est un trésor national au même titre que la Tapisserie de Bayeux dont la première référence date de 1476 et qui a survécu à toutes les guerres et pillages.
Et comme elle fabrique du papier hautement sécurisé anti-fraude, elle est plus qu'une simple imprimerie (du moins dans votre esprit et le mien): c'est un actif humain et industriel impératif pour chaque Etat qui se doit de disposer d'un tel savoir-faire et par dessus tout le protéger de toute incursion étrangère.
C'est là que tous les passeports sont fabriqués (le vôtre, le mien et celui de Benalla), les chèques de banque, les cartes-grises et les bobines de planche à billets pour les Banques Centrales d'autres Etats.
Ce site a même imprimé des euros avant que sa fabrication lui soit mystérieusement retirée... preuve s'il en fallait une que la volonté de l'affaiblir économiquement était déjà actée.
Elle appartient (appartenait puisqu'elle a été mise en liquidation juciaire le 16 janvier 2019) au groupe Sequana, nouveau nom (en 2005) de la banque Worms, principale banque qui a joyeusement collaboré avec le régime de Vichy entre 1940 et 1944.
Mais ce n'est pas Sequana-Worms qui a liquidé l'imprimerie mais bien un hedge funds américain.
Via ma consoeur Faustine Loison de Papetier.news: "A peine 10 mois après le rachat (de l'imprimerie) par le groupe germano-suisse Blue Motion Technologies, le site d'Arjowiggins Security ... fermera ses portes le 30 janvier 2019... Depuis plusieurs mois, les salariés s'inquiétaient de la situation de l'entreprise fiduciaire et s'interrogeaient sur le fait que Blue Motion (appartient au hedge funds américain Partner Capital Group, lire ici et aussi ici ) n'avait pas encore investi dans l'outil de fabrication, contrairement à ce que le groupe aurait indiqué lors du rachat" lire ici.. Et pour vous montrer à quel point l'Etat français a les mains rouges de sang social, on doit noter qu'en 2012 la Banque Publique d'Investissement (une sorte de banque d'Etat d'aide aux industries comme OSEO pour les Pme-Pmi) est devenu l'actionnaire majoritaire du groupe Sequana (ex-Worms) propriétaire de l'imprimerie et de ses brevets high-tech...
Bref, avec des centaines de clients dans le monde pour le papier monnaie, plus les passeports, les cartes grises, les chèques, etc., etc., cette imprimerie avait un carnet de commandes qui se renouvellait automatiquement et naturellement, même si les paiements par cartes de crédit ont amputé son chiffre dans la fabrication des papier-monnaie.
Mais cela n'explique pas sa liquidation aussi soudaine que violente. Les salariés du site m'ont rapporté les propos de la juge du tribunal de commerce de Nanterre: "Elle nous a expliqué qu’elle n’avait jamais vu une entreprise être fermée aussi vite alors qu’on avait un carnet de commandes rempli jusqu’en 2020.
La direction n’a même pas voulu d’un plan social, ce qui est d’autant plus suspect que 30% des salariés étaient prêts à partir à la retraite en 2019.
Vos lecteurs doivent savoir qu’une autre imprimerie, Smurfit, qui ne fabriquait que des cartons kraft pour les emballages comme les cartons de pizza a été rachetée par le fonds de retraite américain Kappa.
Eh bien, elle a fermé. Notez la différence: cela n'a pas pris 15 jours, mais bien 18 mois !"
Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-201
Les salaucrates de Bruxelles o,t encore sévi.
RépondreSupprimeront encore....
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