Et ça continue d’accord, d’accord.
L’épisode Macron lorsqu’il sera étudié par les historiens fera apparaître plusieurs éléments caractéristiques de la société française en 2017 et 2018.
Au-delà du coup d’état réalisé, par l’oligarchie, la haute fonction publique d’État et les médias pour porter un imposteur à la magistrature suprême, ce qui sautera aux yeux est la défaillance voire beaucoup plus des organes de contrôle républicain.
Deux nouvelles illustrations de cette dérive avec les défaillances du procureur de Paris Rémy Heitz et du président de la commission nationale des comptes de campagne François Logerot.
Rémy Heitz, nommé après une magouille d’Emmanuel Macron à la succession du très arrangeant François Molins l’homme qui ne veut pas qu’on sache ce qu’il y avait dans le coffre de Benalla, Rémy Heitz donc vient de recevoir une lettre.
Et pas n’importe laquelle, adressée par Olivier Marleix député LR qui a participé la commission d’enquête sur les conditions dans lesquelles le fleuron industriel français a été bradé à l’étranger par Emmanuel Macron quand il était ministre de l’économie.
Ce courrier documenté fait apparaître des éléments très troublants qui permettent de soupçonner une corruption importante.
Il note que le candidat Macron a bénéficié d'un « montant de dons records pour sa campagne» et estime que «le fait que l'on puisse retrouver dans la liste des donateurs ou des organisateurs de dîners de levée de fonds des personnes qui auraient été intéressées aux ventes précitées ne peut qu'interroger… s'il était vérifié, un tel système pourrait être interprété comme un pacte de corruption».
Excusez du peu…
On nous avait dit qu’une enquête préliminaire avait été ouverte en novembre dernier sur les dons reçus par le parti LREM pour la campagne présidentielle.
Il ne s’y passe absolument rien, comme toutes celles concernant les amis du pouvoir.
Olivier Marleix est un homme sérieux, ce qu’il avance relève du scandale d’État.
On peut être sûr qu’il ne se passera rien.
Encore bravo.
Au prétexte d’un débat national parfaitement pipé, Emmanuel Macron vient de prendre en charge par ses déplacements en province la campagne électorale de son parti pour les élections européennes qui doivent se tenir dans quatre mois.
Il va accomplir 12 meetings aux frais de l’État, et massivement relayés par les médias.
Non seulement toutes ces initiatives se font en violation flagrante des règles du code électoral relatives au financement des campagnes, mais constituent autant d’infractions pénales : dons interdits et détournement de fonds publics.
Face à d’aussi flagrantes illégalités tous les fonctionnaires qui exécutent les ordres manifestement illégaux d’organiser ces meetings seront responsables pénalement.
Par ailleurs, pour ces raisons on peut dire que d’ores et déjà le compte de campagne de la liste LREM ne pourra pas être validé.
Il devrait donc être rejeté, l’élection annulée et ses candidats déclarés inéligibles.
François Logerot, qui avait validé les comptes de campagne de Macron en 2017 pourtant à l’évidence pleins de trous, et qui a juste après bénéficié d’une augmentation de 57 % de sa rémunération, sera on s’en doute extrêmement discret.
Serait-ce un trait de caractère ?
https://blogs.mediapart.fr/…/macron-l-habile-campagne-pour-…
https://www.lechorepublicain.fr/…/vente-dalstom-olivier-mar…
L’épisode Macron lorsqu’il sera étudié par les historiens fera apparaître plusieurs éléments caractéristiques de la société française en 2017 et 2018.
Au-delà du coup d’état réalisé, par l’oligarchie, la haute fonction publique d’État et les médias pour porter un imposteur à la magistrature suprême, ce qui sautera aux yeux est la défaillance voire beaucoup plus des organes de contrôle républicain.
Deux nouvelles illustrations de cette dérive avec les défaillances du procureur de Paris Rémy Heitz et du président de la commission nationale des comptes de campagne François Logerot.
Rémy Heitz, nommé après une magouille d’Emmanuel Macron à la succession du très arrangeant François Molins l’homme qui ne veut pas qu’on sache ce qu’il y avait dans le coffre de Benalla, Rémy Heitz donc vient de recevoir une lettre.
Et pas n’importe laquelle, adressée par Olivier Marleix député LR qui a participé la commission d’enquête sur les conditions dans lesquelles le fleuron industriel français a été bradé à l’étranger par Emmanuel Macron quand il était ministre de l’économie.
Ce courrier documenté fait apparaître des éléments très troublants qui permettent de soupçonner une corruption importante.
Il note que le candidat Macron a bénéficié d'un « montant de dons records pour sa campagne» et estime que «le fait que l'on puisse retrouver dans la liste des donateurs ou des organisateurs de dîners de levée de fonds des personnes qui auraient été intéressées aux ventes précitées ne peut qu'interroger… s'il était vérifié, un tel système pourrait être interprété comme un pacte de corruption».
Excusez du peu…
On nous avait dit qu’une enquête préliminaire avait été ouverte en novembre dernier sur les dons reçus par le parti LREM pour la campagne présidentielle.
Il ne s’y passe absolument rien, comme toutes celles concernant les amis du pouvoir.
Olivier Marleix est un homme sérieux, ce qu’il avance relève du scandale d’État.
On peut être sûr qu’il ne se passera rien.
Encore bravo.
Au prétexte d’un débat national parfaitement pipé, Emmanuel Macron vient de prendre en charge par ses déplacements en province la campagne électorale de son parti pour les élections européennes qui doivent se tenir dans quatre mois.
Il va accomplir 12 meetings aux frais de l’État, et massivement relayés par les médias.
Non seulement toutes ces initiatives se font en violation flagrante des règles du code électoral relatives au financement des campagnes, mais constituent autant d’infractions pénales : dons interdits et détournement de fonds publics.
Face à d’aussi flagrantes illégalités tous les fonctionnaires qui exécutent les ordres manifestement illégaux d’organiser ces meetings seront responsables pénalement.
Par ailleurs, pour ces raisons on peut dire que d’ores et déjà le compte de campagne de la liste LREM ne pourra pas être validé.
Il devrait donc être rejeté, l’élection annulée et ses candidats déclarés inéligibles.
François Logerot, qui avait validé les comptes de campagne de Macron en 2017 pourtant à l’évidence pleins de trous, et qui a juste après bénéficié d’une augmentation de 57 % de sa rémunération, sera on s’en doute extrêmement discret.
Serait-ce un trait de caractère ?
https://blogs.mediapart.fr/…/macron-l-habile-campagne-pour-…
https://www.lechorepublicain.fr/…/vente-dalstom-olivier-mar…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.