Floris de Bonneville
Comme un certain de Gaulle en juin 1940, il vient de lancer un tonitruant appel.
Le général Piquemal part en guerre.
Comme un certain de Gaulle en juin 1940, il vient de lancer un tonitruant appel à la résistance, au combat.
Ce sera l’appel du 21 octobre 2017.
Un appel, bien entendu, passé inaperçu des médias mais dont on pourrait peut-être bien entendre parler dans les mois et années à venir.
Tout comme un certain nombre de mouvements, de cercles ou de plates-formes, comme les Amoureux de la France ou les Volontaires pour la France sont en train de faire leur trou dans le paysage politique français, comme aussi le Cercle de citoyens-patriotes que le général Piquemal préside.
Pendant quarante minutes, dans un petit village d’Ardèche, ce vaillant général a décrit l’état de la France sous Macron en appelant les Français à se lever.
Pendant quarante minutes, dans un petit village d’Ardèche, ce vaillant général a décrit l’état de la France sous Macron en appelant les Français à se lever.
« Car c’est debout que l’on écrit l’Histoire… Vous le savez, la patrie, c’est la terre des pères, la terre qui a vu des millions de Français de toutes époques, de toutes générations, souffrir, verser leur sang, des larmes et mourir de manière héroïque pour gagner et sauvegarder la liberté et l’identité de la France. »
Et de rassurer son public sur ce qu’il est : « En ce qui me concerne, je suis un patriote apolitique et je n’appartiens à aucun parti. Mon seul parti, c’est la France. »
La France qui, dit-il, a besoin de héros « car il faut pouvoir mourir pour quelque chose qui ne meurt pas, c’est-à-dire ce qu’il y a d’éternel dans l’esprit vivant d’un peuple ».
Il poursuit la lecture de son long exposé qu’il relira lors d’une conférence organisée par la Ligue du Midi à Palavas-les-Flots le 29 octobre.
Citant la devise du maréchal de Lattre, il exhorte avec force de « ne pas subir et résister, car on est en guerre », et solennellement, il nous demande d’être des soldats.
Il poursuit la lecture de son long exposé qu’il relira lors d’une conférence organisée par la Ligue du Midi à Palavas-les-Flots le 29 octobre.
« N’oublions pas que la souveraineté appartient au peuple. Elle est une et indivisible. » Et de mentionner l’article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »
Le général Piquemal, évoquant alors la formule du vainqueur de Verdun, s’écrie : « Non, sans courage, vous ne passerez pas, on vous aura. La France ne mourra pas ! »
Le général Piquemal, évoquant alors la formule du vainqueur de Verdun, s’écrie : « Non, sans courage, vous ne passerez pas, on vous aura. La France ne mourra pas ! »
La France vivra, dit-il, malgré un avenir sombre, et il s’engage à mener « un combat contre la dégénérescence de notre pays, contre le déferlement migratoire, contre la perte de notre identité ».
«Oui, la France va mal à force de tout accepter, de tout tolérer, de tout admettre au nom des sacro-saints droits de l’homme, de la laïcité, de la repentance, du vivre ensemble. »
«Oui, la France va mal à force de tout accepter, de tout tolérer, de tout admettre au nom des sacro-saints droits de l’homme, de la laïcité, de la repentance, du vivre ensemble. »
Plus loin, il s’en prend à l’islam : « Aujourd’hui, on continue de tuer en France au nom d’Allah, pas au nom du Christ ou de Bouddha. La charia s’installe partout. Plus de trente ans d’une politique d’immigration suicidaire a mis la France en état de disparition. »
Et de décrier les zones de non-droit acceptées par François Hollande.
Mais c’est à Macron que le général en veut : « Le petit Néron sous tutelle joue au grand chef. »
Il n’hésite pas à comparer Macron à un bonimenteur de foire.
C’est pourquoi, selon lui, la résistance est légitime.
Citant la devise du maréchal de Lattre, il exhorte avec force de « ne pas subir et résister, car on est en guerre », et solennellement, il nous demande d’être des soldats.
« Aux armes citoyens, formez vos bataillons. »
Car pour Christian Piquemal, les patriotes, terrifiés par une excommunication sociale, ne doivent pas accepter la valise, le cercueil ou la dhimmitude.
Car pour Christian Piquemal, les patriotes, terrifiés par une excommunication sociale, ne doivent pas accepter la valise, le cercueil ou la dhimmitude.
« Levons nous ensemble comme l’ont fait nos aînés. L’identité de la France est en péril. La patrie en danger nous attend. »
Et de conclure d’une façon très déterminée : « Debout les patriotes, car c’est debout que l’on écrit l’Histoire. »
Et de conclure d’une façon très déterminée : « Debout les patriotes, car c’est debout que l’on écrit l’Histoire. »
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