Alors que les extrémistes islamistes multiplient leurs sanglantes attaques terroristes dans le monde, la soumission à l’islam se poursuit en France de manière insidieuse et funeste.
Tout d’abord, chacun peut se rendre compte que bien peu de dirigeants politiques, d’élus ou de journalistes osent clairement évoquer la question du rôle de l’islam dans cette barbarie, même en précisant qu’il s’agirait de sa forme intégriste.
Ce ne sont que postures et discours convenus lors des hommages aux victimes avec palabres récurrentes sur les modes opératoires, les enquêtes des services de sécurité, la radicalisation des assassins, sans dire à quoi nous aurions affaire.
Selon une récente formule, à des « fous sous influence », sans autre précision…
Chacun peut aussi constater que toutes ces voix dites autorisées ou compétentes ne semblent pas s’inquiéter du fait que les autorités musulmanes et leurs fidèles se font bien peu entendre pour fustiger et rejeter les auteurs de ces attentats, ce qui n’empêche pas certains d’entre eux d’en appeler au « pas d’amalgame ».
Responsables et faiseurs d’opinion ne leur demandent même pas de dénoncer et de condamner les préceptes islamiques inégalitaires et violents organisant diverses discriminations et prescrivant l’annihilation des hérétiques ou des infidèles.
Chacun peut voir, par ailleurs, que les musulmans, en nombre toujours croissant, et dont beaucoup refusent toute intégration, sont de plus en plus revendicatifs : demandes d’installation de mosquées, d’examen de leurs épouses par des médecins du même sexe, d’horaires de piscine séparés pour ces dames qui doivent par ailleurs pouvoir porter un voile, quand ce n’est pas la burqa, de menus hallal dans les cantines scolaires…
Ils arrivent même à imposer certaines pratiques : prières de rue, accommodements pour le Ramadan et l’Aïd-el-Kébir avec égorgement dit « rituel » des moutons, sans étourdissement préalable et donc sans considération pour leur souffrance…
Ce mode de tuerie hallal est d’ailleurs, semble-t-il, en voie d’expansion pour rentabiliser les chaînes d’abattage sans que les autres consommateurs aient le droit d’en connaître la réalité leur permettant de faire un choix éclairé et responsable.
Le tout avec, au bout du compte, un mode de vie communautariste contaminant des portions entières du territoire et même la présentation, en tant que tels, de musulmans à certaines élections.
Il est grand temps de réagir et de clarifier une situation qui devient préjudiciable à la concorde nationale.
Comme pour toute idéologie, chacun, musulman ou pas, est en droit d’étudier, d’analyser et, au besoin, de critiquer et de mettre en cause les prescriptions du Coran ou des Hadiths qui vont à l’encontre des principes de laïcité, de liberté de pensée, d’opinion et d’expression, reconnus par la République française…
Ceci, sans risquer une condamnation pour blasphème de la part des mahométans les plus rigoristes ou pour islamophobie de la part d’une Justice qu’on pourrait croire instrumentalisée par de virulentes associations partisanes, voire sectaires…
En attendant le réveil des gouvernants, c’est à chaque citoyen soucieux de la défense de l’identité et de la culture françaises de soutenir tous ceux qui agissent en ce sens.
En effet, il semble qu’il y ait peu à attendre, à court terme, de la part de l’actuel Président de la République, qui a été jusqu’à nier l’existence même de cette culture…
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