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mardi 6 juin 2017

Rappel: Lors des meetings du maire musulman de Londres, le drapeau du jihad était brandi (Vidéo)

Le 06/06/2017


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Ce musulman est avocat expert en droits de l'homme (on sait ce que cette étiquette valorisante signifie en réalité: la haine des peuples européens) et évidemment appartient à un parti de gauche.
 
Comme le rappelle Le Figaro, les activités professionnelles de Khan l'ont mené à côtoyer des représentants de l'islam radical, voire à dialoguer avec eux lors de débats.
En 2004, il a par exemple participé, en tant que candidat à la députation pour le Labour, à une conférence avec cinq extrémistes islamistes, organisée par Friends of Al-Aqsa, un groupe pro-palestinien qui a publié des travaux du révisionniste (selon les termes du Guardian) Paul Eisen.
A cet événement, les femmes devaient emprunter une entrée distincte des hommes!
La même année, président des affaires juridiques du Muslim Council of Britain, il a participé à la défense de l'intellectuel musulman Dr Yusuf Al-Qaradawi et nié le fait que celui-ci soit un extrémiste.
Il est pourtant l'auteur d'un livre, The Lawful and Prohibited in Islam, où il justifie la violence domestique à l'égard des femmes et soutient les opérations martyres contre les Israéliens.
Le Sun mentionne même que pendant la campagne pour les élections municipales, ses liens avec des personnalités ou organisations islamistes, notamment Hizb ut-Tahrir – même s'il se déclare radicalement opposé à leur idéologie – sont soulevés par les conservateurs et plusieurs médias de droite.
Des médias relèvent son opposition à la suspension, en 2006, du maire travailliste de Londres, Ken Livingstone, qui avait comparé un journaliste juif du Evening Standard à un gardien de camp de concentration nazi.
Ils critiquent également la signature par Sadiq Khan, en 2006 toujours, d'une lettre dans The Guardian imputant au Royaume-Uni une part de responsabilité dans les attaques terroristes en raison de son soutien à Israël.
En 2008, il est filmé en train de prononcer un discours au Global Peace & Unity Festival devant des spectateurs agitant l'étendard noir des djihadistes.
Son opposition, en tant que parlementaire, à l'interdiction de groupes accusés d'être islamistes suscite également des interrogations.

En 2009, dans une interview accordée à la chaîne de télévision iranienne Press TV, Sadiq Khan utilise le terme « Oncles Toms », considéré comme insultant et méprisant, pour désigner les musulmans modérés ; il présente des excuses par la suite.
Le Daily Mail indique également que Sadiq Khan a, entre 2008 et 2012, soutenu des organisations ayant appelé à la violence envers des femmes.
Bien évidemment, nos médias romands n'ont jamais mentionné tout cela.
 Ils protègent donc un personnage pour qui la violence contre les femmes ne pose aucun problème. On se retrouve devant un cas typique d'hypocrisie de gauche.
C'est ainsi qu'une pécore telle Hidalgo s'affiche avec enthousiasme avec ce maire rétrograde, gloussant stupidement face aux caméras, et agissant exactement comme le politiquement correct l'exige: une femme blanche européenne qui préfère s'afficher avec un musulman et critiquer l'homme blanc que représente Donald Trump.



Enfin, comme vous pouvez l'entendre dans cette vidéo, il appelle les autres musulmans "ses frères, ses soeurs".
 Il utilise des termes arabes propre à l'Oumma.
Cela signifie qu'il ne considérera pas ses compatriotes non musulmans de la même manière, que la discrimination est de facto appliquée dans ses décisions et qu'il ne cache aucunement son communautarisme.
Tout cela sans que cela ne gêne encore une fois nos médias.
 


Cette vidéo rare montre que l'avocat Sadiq Khan défend les terroristes condamnés qui ont tenté de relancer le Parti de la Libération islamique en Egypte (Nos remerciements à Alain Jean-Mairet)
 
C'est ce personnage qui est aujourd'hui érigé en star dans nos journaux contre le "méchant Trump".

lesobservateurs.ch

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