Le 06/03/2017
A la fin de la semaine passée, de nouveaux réfugiés sont arrivés dans un logement de la ville de Rees (dans un quartier qui se nomme Haldern).
Le weekend, huit hommes ont saccagé l'institution: Ils ont cassé le mobilier et blessé grièvement un policier fédéral.
Le weekend, huit hommes ont saccagé l'institution: Ils ont cassé le mobilier et blessé grièvement un policier fédéral.
Huit résidents d'un centre pour réfugiés à Rees se sont révoltés samedi. Selon la police, ils avaient acheté précédemment de l'alcool.
Les huit hommes, âgés entre 18 et 28 ans, dont deux ressortissants du Togo et six de nationalité ghanéenne, étaient en partie armés de barres de fer.
Lors de leur retour, ils ont menacé le personnel de sécurité.
Les huit hommes, âgés entre 18 et 28 ans, dont deux ressortissants du Togo et six de nationalité ghanéenne, étaient en partie armés de barres de fer.
Lors de leur retour, ils ont menacé le personnel de sécurité.
Ils n'ont pas réussi à entrer dans le poste de garde sécurisé.
Par la suite, ils ont cassé de nombreuses vitres dans deux autres bâtiments et ont détruit le mobilier. La police estime actuellement les dégâts à environ 10'000 euros.
Par la suite, ils ont cassé de nombreuses vitres dans deux autres bâtiments et ont détruit le mobilier. La police estime actuellement les dégâts à environ 10'000 euros.
La police a été alertée et, malgré la résistance des hommes, elle a pu maîtriser les huit hommes.
Un agent de la police fédérale a été grièvement blessé.
Un agent de la police fédérale a été grièvement blessé.
Les responsables voulaient résoudre les problèmes
Les hommes étaient arrivés vendredi 1er mars dans le logement ouvert de Rees-Haldern, avec un groupe d'environ 20 demandeurs d'asile, en provenance d'un autre centre.
"Cependant, ils n'étaient pas d'accord avec le placement dans cet hébergement", a déclaré Achim Jaspers.
"L'infrastructure ne leur plaisait pas et il y avait des problèmes de réseau pour la réception des téléphones portables."
Selon les informations de Monsieur Jaspers, les responsables du centre d'hébergement avaient promis de s'occuper de ces problèmes. (...)
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