Le11/10/2016
Christian Hofer: Dans la vidéo, la déclaration d'un policier: "On fait semblant d'intervenir. Ils sont 10, 15, nous on est deux."
Évidemment, l'Europe en est revenue au rapport de force, à la loi du plus fort, puisque nos dirigeants nous ont forcés à accepter des immigrations violentes.
Le "progressisme" socialiste coïncide en vérité à une régression sur tous les plans pour notre civilisation.
Le "progressisme" socialiste coïncide en vérité à une régression sur tous les plans pour notre civilisation.
Et si les policiers sont à ce point dépassés par les événements, je vous laisse imaginer le sort des Français de souche, désarmés, isolés qui sont forcés à y résider...
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Après l'attaque de quatre policiers samedi soir à Viry-Châtillon, les policiers sont appelés à une grève du zèle ce mardi. RMC a recueilli le témoignage de Thomas, policier de la Bac de nuit, qui décrit son quotidien face à des délinquants qui n'ont peur "ni de la police, ni de la justice".
"Sentiment d'impunité des délinquants"
Le malaise des policiers, ce sont forcément les hommes du terrain qui en parle le mieux.
RMC a recueilli le témoignage de Thomas, membre de la BAC (Brigade anti criminalité) de nuit du département de l'Essonne.
Et manifestement, le quotidien est devenu un cauchemar.
"Il y a une espèce de sentiment d'impunité des délinquants. Ils nous le disent, ils en rigolent même: 'De toute façon je ne crains rien, qu'est-ce que tu vas me faire ? Je vais en garde-à-vue, et alors, demain je suis dehors'. Ils nous tutoient: 'Tu le sais très bien, demain je suis dehors'. Ils ne craignent pas la police, encore moins la justice".
RMC a recueilli le témoignage de Thomas, membre de la BAC (Brigade anti criminalité) de nuit du département de l'Essonne.
Et manifestement, le quotidien est devenu un cauchemar.
"Il y a une espèce de sentiment d'impunité des délinquants. Ils nous le disent, ils en rigolent même: 'De toute façon je ne crains rien, qu'est-ce que tu vas me faire ? Je vais en garde-à-vue, et alors, demain je suis dehors'. Ils nous tutoient: 'Tu le sais très bien, demain je suis dehors'. Ils ne craignent pas la police, encore moins la justice".
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