Le 06/12/20115
Darlene Aroko, sans emploi, est née Kenya et bénéficie d’un stage intensif en langue bretonne, sans but précis
BREIZATAO – NEVEZINTIOU (02/12/2015)
Le journal socialiste Le Télégramme se félicite aujourd’hui (lire ici) de cette politique, portée par une organisation située à l’extrême-gauche et essentiellement subventionnée par le Parti Socialiste Français : Stumdi.
Une nouvelle fois, la gauche socialo-communiste instrumentalise la langue bretonne pour en faire l’outil d’une politique niant radicalement la raison même de sa défense : l’afro-islamisation de la Bretagne.
Le journal socialiste Le Télégramme se félicite aujourd’hui (lire ici) de cette politique, portée par une organisation située à l’extrême-gauche et essentiellement subventionnée par le Parti Socialiste Français : Stumdi.
Clientélisme politique
Tout un système subventionné, bénéficiant à des “permanents” associatifs politiquement acquis au PSF, reçoivent un semblant d’activité – aux frais des contribuables bretons – en organisant des “stages de formation en langue bretonne”, sans regard pour leur finalité réelle ni la qualité de ceux qui en bénéficient.
A titre d’exemple, une migrante africaine originaire du Kenya se voit suivre cette formation en langue bretonne.
Une façon déguisée d’alimenter une association politiquement “amie” du PS en lui permettant de respecter les quotas d’apprenants expédiés par divers organismes sociaux parapublics.
Une façon déguisée d’alimenter une association politiquement “amie” du PS en lui permettant de respecter les quotas d’apprenants expédiés par divers organismes sociaux parapublics.
Extraits du Télégramme :
Darlene a pris ses premiers cours de français à Nice, auprès d’une enseignante roumaine, alors qu’elle venait juste de quitter le Kenya. Trois mois plus tard, elle posait son unique valise dans une famille marseillaise, pour un job au pair. Dans son nouveau foyer, tout le monde parle anglais.
Comme on le voit cette formation ne s’inscrit dans aucun programme professionnel particulier et aucun prérequis ne conditionne la possibilité de la suivre pendant six longs mois :
Leur formation intensive au breton s’achèvera en mars prochain. Pour cette jeune femme de 35 ans, c’est l’occasion d’offrir un nouveau chapitre à son histoire déjà très polyglotte. Darlene a pris ses premiers cours de français à Nice, auprès d’une enseignante roumaine, alors qu’elle venait juste de quitter le Kenya. Trois mois plus tard, elle posait son unique valise dans une famille marseillaise, pour un job au pair. Dans son nouveau foyer, tout le monde parle anglais. Ça tombe bien, c’est sa langue maternelle. Mais elle se met « vraiment » au français à l’occasion de cette étape phocéenne. En plein coeur du terroir de l’exception phonétique et des idiomatismes chantants. On est en 2008. Quelques mois plus tôt, la jeune femme a fui son pays. « Le samedi, j’étais au travail, et le dimanche, j’étais dans l’avion », dit-elle sobrement.
Après la formation, elle s’inscrira à l’Université de Rennes pour poursuivre l’apprentissage. Comme elle aime beaucoup l’informatique, elle se voit bien trouver un travail où l’un serait utile à l’autre. Donner des cours ? « Je n’ai pas la patience de l’indiscipline », confie-t-elle. Mais un « projet de crèche bilingue », ça, oui, ça l’intéresserait drôlement. L’invitation est lancée.
Cette migrante kenyane ne sait absolument pas dans quel but elle suit une formation en langue bretonne. Une formation particulièrement coûteuse puisqu’il s’agit de 6 mois de cours intensifs.
Système politico-mafieux socialiste
L’association “Stumbi”, basée à Landerneau, a reçu en 2014 plus de 405 000 euros de la part du Conseil Régional socialiste (source) et ce sur les deniers du contribuable breton, alors même que ce dernier – comme on l’a vu – n’en bénéficie pas prioritairement.
Ce qui conditionne l’accès “gratuit” – pour l’apprenant – ce n’est pas le critère d’appartenance mais le critère social.
Ainsi, une migrante kenyane sans emploi peut-elle solliciter une formation en langue bretonne – généralement sur les conseils “appuyés” de fonctionnaires – là où une entreprise bretonne devra passer à la caisse pour former des salariés éventuels.
Ainsi, une migrante kenyane sans emploi peut-elle solliciter une formation en langue bretonne – généralement sur les conseils “appuyés” de fonctionnaires – là où une entreprise bretonne devra passer à la caisse pour former des salariés éventuels.
“Stumdi” est une association connue pour l’orientation idéologique de ses permanents, résolument ancrés à l’extrême-gauche.
Orientation qui s’en ressent lors des cours si l’on en croit les témoignages quant au climat dans lequel évolue les élèves.
Orientation qui s’en ressent lors des cours si l’on en croit les témoignages quant au climat dans lequel évolue les élèves.
Que des étrangers – de passage en Bretagne à l’instar d’étudiants – veuillent apprendre la langue bretonne est une chose positive.
Qu’une politique, censée offrir aux populations bretonnes la réappropriation de leur langue et de leur identité, se voit détournée à des fins de clientélisme politique, de financement d’emplois quasi-fictifs et d’organisation du remplacement du peuple breton, voilà qui constitue une escroquerie dont seul le Parti Socialiste Français a le secret.
Qu’une politique, censée offrir aux populations bretonnes la réappropriation de leur langue et de leur identité, se voit détournée à des fins de clientélisme politique, de financement d’emplois quasi-fictifs et d’organisation du remplacement du peuple breton, voilà qui constitue une escroquerie dont seul le Parti Socialiste Français a le secret.
Une sérieuse lustration s’impose tant le degré de corruption et de dévoiement mis en place par la gauche socialiste hexagonale a atteint des sommets en Bretagne.
Le combat pour l’enseignement généralisé de la langue bretonne, comme l’anglais en bénéficie déjà, ne saurait être sapé par des réseaux dont le but réel n’est que de détourner l’argent des contribuables bretons, en usant au passage de l’écran de fumée antiraciste.
Le combat pour l’enseignement généralisé de la langue bretonne, comme l’anglais en bénéficie déjà, ne saurait être sapé par des réseaux dont le but réel n’est que de détourner l’argent des contribuables bretons, en usant au passage de l’écran de fumée antiraciste.
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