En exclusivité, le grand favori de l'élection présidentielle roumaine, de passage à Paris, répond à Boulevard Voltaire.
Exceptionnellement, nous publions notre grand entretien L'Invité avec 24 heures d'avance, le vendredi soir au lieu du samedi soir.
Pour une raison majeure. Dimanche aura lieu le deuxième tour de l'élection présidentielle en Roumanie. Le grand favori, George Simion (qui a remporté 41 % des suffrages au premier tour), de retour d'Italie où il a rencontré Georgia Meloni, s'est arrêté à Paris. Il a accordé un entretien exceptionnel à Boulevard Voltaire.
Il répond à ceux qui l'accusent d'être poutinophile, raconte les difficultés d'une élection présidentielle au caractère exceptionnel, après son annulation au printemps dernier, et dénonce avec vigueur l'ingérence dans ce scrutin de l'Union européenne en général, et d'Emmanuel Macron en particulier. Ce conservateur amoureux de la France - « un pays latin comme la Roumanie » - confie s'inquiéter pour notre pays qui a perdu selon lui ses valeurs chrétiennes, le sens de Dieu, et se laisse submerger par un islam conquérant. Un modèle qu'il ne souhaite pas voir suivre par la Roumanie.
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