Quand Emmanuel Macron détournait les moyens de l’Elysée, du cabinet du ministre de l’économie puis de Business France pour financer sa campagne, c’était des détournements de fonds publics.
Quand il faisait des levées de fond à Londres en prétendant organiser un déplacement ministériel, c’était un détournement de fonds publics.
Quand il faisait adopter le CICE avec Jérôme Cahuzac pour acheter le soutien des milieux d’affaire (250 milliards d’euros en douze ans pour aucun résultat économique) c’était un détournement de fonds publics.
Quand il exigeait avec François Hollande à Patrick Drahi de racheter l’Express, BFM et Libération pour les mettre en ordre de marche à son service, en échange de l’autorisation de rachat de SFR, je ne sais même plus comment on pourrait qualifier cela, la prise illégale d’intérêts m’apparaissant une faible infraction.
Où est et que fait la justice depuis dix ans au sujet de ces faits non seulement avérés, mais parfaitement notoires et reconnus ?
Il n’y a pas même besoin d’enquêter.
Mais la « justice » a décidé de s’en désintéresser.
Tout ceci n’est que règlements de compte intraoligarchiques, où les magistrats instrumentalisés se prêtent au service de tel ou tel, sans qu’à aucun moment rien ne soit fait pour purger et épurer.
Ne vous laissez pas distraire par ce pitoyable spectacle et les cris d’orfraie des moralistes qui soudain prétendent à on ne sait quel principe ou équité.
Ils ne sont pas corrompus.
Ils sont la corruption.
Ayez la nausée, à l’égard de ces tartuffes caractérisés.
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