Napoléon IV « micron », le dictateur au petit pied issu des banques et du cerveau de Flamby, a dit : « Si quelque chose oppose le chef d’état-major des armées au président de la République, le chef d’état-major des armées change ».
Belle posture régalienne qui serait justifiée si elle était au service du bien commun, et si le CEMA avait fauté à ce sujet, ce qui est exactement le contraire.
Le peuple souverain (nous en sommes tous !), dont 1/8è seulement a voté pour cet artefact, lui répond :
« Si quelque chose (genre démagogie et facilité) empêche le chef des armées d’exercer pleinement sa charge en garantissant à celles-ci la pleine cohérence des moyens de leur mission, alors il doit démissionner ».
Si vous êtes d’accord, n’hésitez pas à signer notre pétition de soutien au chef d’état-major.
Paula Corbulon
Posté le 17 juillet 2017 | Lien permanent
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