Translate

vendredi 26 septembre 2025

68 ans de mensonges...... UN BIJOU UN VRAI DÉLIRE…..


Il reste à plumer :


- Les caisses de retraites privées AGIRC- ARCO.....
68 ans d'émigration fiscale et de mensonges.

 
On dit, et c'est vrai, que les français sont des râleurs, je pense surtout qu'ils sont stupides quand on lit ce qui suit.
Allez, vive la France...enfin la Bretagne...
A 94 ans cette brave dame a la tête sur les épaules et
ses comptes.

 Elle a aussi très bonne mémoire en citant tous les intervenants gouvernementaux successifs qui l'ont trahie. 

La lecture vaut son pesant d'or... !!!

Très bien résumée la situation
De 1956 à nos jours : 68 ans d'imagination fiscale... et surtout de mensonges.

Je me présente. Je m'appelle Micheline Sany. Je suis née en 1927 et je vous le dis tout net : à force de tirer sur l'élastique, la corde va péter!
En 1956, quand Guy Mollet a instauré la vignette pour «fournir un revenu minimum à toutes les personnes âgées de 65 ans et plus », bon... moi j'avais à peine 30 ans et j'étais très fière de pouvoir venir en aide aux anciens. 

 En plus, Paul Ramadier, le ministre des Affaires économiques, avait affirmé que ça serait une taxe
temporaire...

Merci à JPL 

 Bah, il a duré quarante-quatre ans le temporaire ! 

Pendant quarante-quatre ans j'ai payé cette vignette ! Alors merci !
Surtout que les anciens n'en ont presque jamais vu la couleur, vu qu'au bout de trois ans, le Premier ministre, Michel Debré, a annoncé que le produit de la vignette serait finalement « acquis au budget de l'État... », qui le reverserait au Fonds national de solidarité. 

Enfin, en partie...
Enfin, en petite partie... Que les vieux se fassent dépouiller comme ça, ça a fait du foin, pendant toutes ces années.
Mais ça n'a jamais rien changé.
Ensuite en 1991, quand ils ont créé la CSG, la contribution sociale généralisée pour financer la branche famille, en remplacement des cotisations patronales d'allocations familiales, bon... sans râler, j'ai payé !
Surtout que ça ne devait durer que cinq ans. 

« Une contribution transitoire » qu'ils disaient... et puis 1,1 %,
c'était supportable.

Seulement vingt-sept ans plus tard, elle transite toujours la CSG !
Et elle a grimpé à 9,2 % pour les salariés et 8,3 % pour les retraités. 

Par étapes, bien sûr, c'est moins voyant.
En 1993, elle est passée de 1,1 à 2,4 %. 

Pour alimenter en plus le Fonds de solidarité vieillesse. 

Y'avait pas déjà lavignette pour ça ? Chuuuuut, arrêtez d'être insolents !
En 1997, elle augmente encore pour financer, en plus, la  branche maladie : on en est à 3,4 %.
En 1998, toujours pour la branche maladie, elle passe à 7,5 %, etc., etc.
Bref, la protection sociale ne s'est pas redressée, et ce qui devait être temporaire est devenu... un impôt de plus.
Ah bah oui ! La CSG, ça rapporte plus que l'impôt sur le revenu aujourd'hui !
Si on vous demande combien vous payez d'impôts par an, vous savez le dire. 

Mais si on vous demande combien vous payez de CSG, vous savez ?
Chez moi on disait : « C'est tout un art de plumer l'oie sans la faire crier.»

 Alors qu'il y aurait de quoi hurler.
Et puis en 1996, rebelote avec la CRDS, la « contribution à la réduction de la dette sociale ».
J'ai payé. (Mais j'avoue, j'ai râlé.).
À cette époque, les déficits sociaux s'élevaient à un montant estimé entre 30 et 38 milliards d'euros.
Oui, parce que nous, si on se trompe de dix euros dans notre déclaration de revenus, on risque une amende, maiseux, un flou de 8 milliards, ils ont le droit...

 Toujours est-il qu'ils avaient tout bien calculé : en treize ans, tout serait remboursé.
La CRDS devait disparaître le 31 janvier 2009.
Mais voilà-t'y pas qu'en septembre 1997, le gouvernement Jospin annonce 13 milliards d'euros supplémentaires de dettes, qui correspondaient aux déficits sociaux non financés des années 1996 à 1998.


Alors, ils ont tout bien recalculé, finalement pour tout éponger il fallait prolonger... jusqu'au 31 janvier 2014.
Mais voilà-t'y pas qu'en 2004, le plan de redressement de la Sécurité sociale concocté par Philippe Douste-Blazy 

annonce 50 milliards d'euros supplémentaires de dette à rembourser.
Alors, ils ont tout bien re-recalculé... et ils ont vu que finalement, la Trinité était la meilleure date pour arrêter la CRDS. Donc, on la paye toujours...
Et puis, en 2004 , Raffarin a inventé la « journée de solidarité », vouée à « l'autonomie des personnes âgées ».
Moi, ça va, j'étais déjà à la retraite, mais vous, vous avez travaillé... sans être payés !
Et en 2013, une nouvelle taxe pour les retraités. 

CASA, ça s'appelle.

 C'est la « contribution additionnelle de solidarité à l'autonomie », 0,3 % sur les retraites, pensions d'invalidité, allocations de préretraite.
C'est-à-dire qu'ils font payer les vieux pour que les vieux soient autonomes !
C'est pas du bon foutage de gueule, ça ? Et on continue.
En 2013, toujours, M. Jean-Marc Ayrault nous gèle les retraites complémentaires...
Et comme ça ne s'arrête jamais, maintenant, parce que j'ai 1 247 euros de revenu fiscal par mois, j'ai une augmentation monstrueuse de la CSG : 25 % d'augmentation !
Ah ben oui, on nous a dit 1,7 % , mais c'est pas 1,7 % de ce
qu'on payait, c'est le taux qui augmente de 1,7 % ! passés de 6,6 % à 8,3 % de CSG , ça nous fait 25 % dans les dents....enfin celles qui nous restent.
Et maintenant, la cerise sur le pompon : on nous annonce que nos retraites vont être revalorisées de 0,3 %.

 Cinq fois moins que l'augmentation dont on aurait dû bénéficier si le code de la Sécurité sociale avait été
simplement respecté, puisqu'il prévoit que les pensions soient revalorisées du montant de l'inflation moyenne sur l'année pour éviter toute dégradation du niveau de vie.
Et l'inflation prévue d'après l'Insee est de 1,6 %.
Et Bruno Le Maire ose dire sur RTL : « Mais ils ne seront pas perdants, leur pension de retraite continuera à être revalorisée. »

 Il croit qu'on est tous gâteux ou quoi ?
Je n'ai que mon certificat d'études, mais y'a pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre qu'une hausse de 0,3 % des pensions, quand les prix augmentent de 1,6 %, revient à une baisse du pouvoir d'achat.
D'après le baromètre de l'institut Elabe, publié le 6 septembre, 72 % des retraités déclarent ne pas avoir
confiance dans le chef de l'État, alors qu'ils étaient 44 % en janvier et 35 % lors de son élection.

 On se demande vraiment pourquoi?

 Un type qui pour se faire élire déclarait chez Jean-Jacques Bourdin en décembre 2016 : «
L'engagement que je prends ici devant vous, c'est que, avec moi, toutes les petites retraites auront leur pouvoir d'achat protégé. ».
Et sur RMC encore, en février 2017 : « Je ne veux pas, moi, faire d'économies sur le dos ni des retraités, ni de celles et ceux qui sont à quelques années d'aller à la retraite. ».
Et au 20 heures de France 2 en mars 2017 : « Je ne touche pas à la retraite de celles et ceux qui sont aujourd'hui retraités.

 Leur retraite sera préservée. Il n'y aura pas de perte de pouvoir d'achat, c'est essentiel ! ».
Alors je pose la question : 72 % qui n'ont pas confiance, comment est-ce possible ?

 Comment peut-il se trouver encore 28 % de retraités qui
lui fassent confiance ? ...

Et aussi , que penser des 700 mille migrants qui rentrent en France par an , les mains dans les poches et des aides leurs tombent en veux tu , en voilà.....!!!
Toute ma vie, j'ai payé pour aider les vieux et maintenant que je suis vieille, il faut que je paye pour aider les jeunes ?


Que vont-ils nous inventer encore ??


N'hésitez pas à diffuser largement cette petite analyse...de
la situation......

mercredi 17 septembre 2025

Mise au point d'un "boomer" à l'attention des merdeux fragiles des dernières générations


 Courrier des lecteurs. Strasbourg des années 1960 : les stigmates


Lors d’une réunion de famille, un jeune homme demanda à ses parents, tantes, oncles et grands-parents :
« Mais comment viviez-vous avant ? »
• Sans télévision
• Sans Wi-Fi
• Sans technologie
• Sans Internet
• Sans ordinateurs
• Sans drones
• Sans bitcoins
• Sans téléphones portables
• Sans Facebook
• Sans Twitter
• Sans YouTube
• Sans WhatsApp
• Sans Messenger
• Sans Instagram

Alors, le grand-père prit la parole et répondit :
« Tu sais, mon cher petit-fils…
Exactement comme votre génération vit aujourd’hui…
• Sans prières
• Sans respect
• Sans valeurs
• Sans personnalité
• Sans sens du devoir
• Sans intériorité
• Sans caractère
• Sans saveur
• Sans idéaux
• Sans amour de soi
• Sans humanité
• Sans humilité
• Sans vertus
• Sans honneur
• Sans but
• Sans ce petit quelque chose
• Sans essence
• Sans orientation
• Sans identité – car beaucoup ne savent même plus s’ils sont homme ou femme.

Nous, qui sommes nés entre 1920 et 1975, nous sommes bénis, et notre vie en est la preuve vivante :
Après l’école, on faisait d’abord nos devoirs, puis on allait jouer dehors !

Nous jouions avec de vrais amis – pas avec des amis virtuels sur Internet.
Nous fabriquions souvent nous-mêmes nos jouets et nous en étions heureux.
Nos parents n’étaient pas riches,
mais ils nous offraient et nous enseignaient l’amour – pas des valeurs matérielles ou mondaines.
Nous n’avions ni portables, ni ordinateurs, ni DVD, ni PlayStations, ni Xbox, ni jeux vidéo, ni Internet…
mais nous avions de vrais amis.

Nos proches vivaient à proximité, ce qui permettait de profiter des moments en famille.

Peut-être que nous apparaissons seulement sur des photos en noir et blanc,
mais les souvenirs, eux, sont colorés et vivants.

Nous sommes une GÉNÉRATION UNIQUE et PLUS AVISÉE,
car nous sommes la DERNIÈRE à avoir écouté nos parents…
et la PREMIÈRE à avoir dû écouter nos enfants.

Nous sommes une ÉDITION LIMITÉE !

Profite, apprécie et apprends d’hier.

Partage ce message.
« LES ANCIENS »
• « Nous sommes nés dans les années 40, 50 et 60. »
• « Nous avons grandi dans les années 50, 60 et 70. »
• « Nous avons été à l’école dans les années 60, 70 et 80. »
• « Nous sommes tombés amoureux dans les années 70, 80 et 90. »
• « Nous nous sommes mariés et avons découvert le monde dans les années 70, 80 et 90. »
• « Nous nous sommes lancés dans la vie dans les années 80 et 90. »
• « Nous avons trouvé notre stabilité dans les années 2000. »
• « Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010. »
• « Et nous sommes toujours là en 2025. »

Nous avons traversé HUIT décennies…
DEUX siècles…
DEUX millénaires…

Du téléphone avec opératrice pour les appels longue distance aux appels vidéo dans le monde entier.
Du disque vinyle au streaming.
Des lettres manuscrites aux e-mails et à WhatsApp.
Des commentaires radio du football à la télévision noir et blanc, puis à la HD.
Avant, nous allions au vidéoclub – aujourd’hui, nous regardons Netflix.
Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes –
et aujourd’hui, nous transportons des gigaoctets et mégaoctets dans nos poches – sur un portable ou une tablette.

Nous avons porté, enfants, des culottes courtes, puis des pantalons longs, des Oxfords, des bermudas, et tant d’autres choses.
Nous avons survécu à la polio, à la méningite, à la grippe H1N1 et maintenant au COVID-19.

Oui, nous avons traversé beaucoup d’épreuves,
mais quelle vie extraordinaire nous avons eue !

On peut nous appeler des « survivants ».
Des gens nés dans le monde des années 1950,
qui ont connu une enfance analogique et une vie adulte numérique.

Nous sommes un peu du genre « J’ai-tout-vu ».

Notre génération a vécu et vu plus que n’importe quelle autre –
dans toutes les dimensions de la vie.

Nous sommes la génération qui s’est vraiment adaptée au Monde.

Un grand applaudissement à tous les membres d’une génération si particulière,
qui restera pour toujours UNIQUE.



Un beau message, très vrai, que j’ai reçu d’un ami.
J’espère que tu prendras le temps de le lire puis de le partager…
 ou bien tu le repousseras, le remettra à plus tard
et tu verras que tu ne le partageras jamais !!!

Toujours ensemble
Toujours unis
Toujours frères
Toujours amis

Merci à JPL