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jeudi 30 novembre 2023

Notez bien: article 122-6 du code pénal

 


 

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legifrance.gouv.fr

Article 122-6


Version en vigueur depuis le 01 mars 1994

Est présumé avoir agi en état de légitime défense celui qui accomplit l'acte :

1° Pour repousser, de nuit, l'entrée par effraction, violence ou ruse dans un lieu habité ;

2° Pour se défendre contre les auteurs de vols ou de pillages exécutés avec violence.

Interview exclusive : un Ukrainien témoigne des réalités de la guerre (suite et fin)


 
Interview Victor D. Partie 2
 
Victor D. : "Zelensky va certainement partir. C’est la seule solution pour que nous retrouvions la paix."
M.R.
 
Auteur(s)
M.R. pour francesoir
Publié le 30 novembre 2023
 

Relations de la population du Donbass avec l'armée russe, fin du conflit, avenir de l'Ukraine et de Zelensky : seconde et dernière partie de notre entretien avec Victor D.

 

On a accusé Vladimir Poutine d’avoir enlevé des enfants ukrainiens en Russie. Est-ce que qu’il y a un fond de vérité dans cette affirmation ?

Absolument pas. Les petits enfants sont partis avec leurs parents. C’est la génération des trentenaires qui ont des enfants en bas âge. Les plus grands, les adolescents, sont partis seuls hors du Donbass pour poursuivre leurs études en internat, en sécurité dans différentes régions de Russie. Jamais la Russie n’a enlevé d’enfants ! C’est un grand mensonge. De la provocation de la part de l’Occident. La seule chose que nous, nous pourrions reprocher à Vladimir Poutine, c’est d’être intervenu bien trop tard.

A votre avis, ce conflit va-t-il encore durer longtemps ?

Tout le monde espère que ça va se terminer en 2024. Il ne faut pas oublier que cela fera dix ans que nous vivons sous les bombes des bandéristes. Depuis février 2022, le conflit a évolué. Il y a de plus en plus de militaires russes au Donbass. Ils ont instauré le couvre-feu et une discipline sévère. On ne peut pas se promener ni se réunir facilement. Une de mes amies devait fêter les 60 ans de la création de l’école mais elle n’a pas pu, ça a été interdit. En fait, c’est pour éviter que les bandéristes ne voient les rassemblements des civils grâce à leurs satellites et ne les bombardent. L’armée russe a dû prendre des précautions pour éviter des tueries de masse parmi les civils. 

Avec une amie d’enfance, nous sommes allés à Makiïvka, ma ville de naissance, et nous avons rendu visite à une autre amie qui avait été blessée et qui, de ce fait, restait dans son pavillon, pouvant compter sur l’aide de ses petits-enfants. Elle avait fait une bonne récolte de cornichons, de légumes et de fruits dont elle faisait des conserves. Elle nous a raconté qu’un jour un char s’est garé dans son potager. Elle a eu peur que ce soit des Ukrainiens mais quand ils ont commencé à tirer des missiles vers les bandéristes, elle a compris que c’étaient des Russes. Elle était tellement contente qu’elle leur a apporté de grandes boîtes de bocaux de cornichons. Le char est reparti mais les bandéristes ont continué à tirer sur son jardin et ont détruit entièrement son verger. Pour rien, puisque le char était parti.

"Jamais les gens du Donbass n’ont considéré les Russes comme des envahisseurs"

Apparemment, à vous entendre, l’armée russe entretient de bonnes relations avec les habitants. Contrairement à ce qui est dit dans la presse en Occident, vous ne considérez pas les Russes comme des envahisseurs ?

De très bonnes relations. Mes amis qui habitent encore sur place font du pain, des gâteaux, des confitures, qu’ils apportent aux militaires Russes.

Israël - Gaza : Washington met Netanyahu au pas - JT du jeudi 30 novembre 2023



 Publiée le 30/11/2023

Nous commençons ce soir avec le Proche-Orient. 

Alors que la trêve a été à nouveau prolongée dans la bande de Gaza, la situation en Cisjordanie est de plus en plus incandescente. Le spécialiste de la gestion de crise Hervé Carresse nous livrera son analyse.

En France, l’autoritarisme à deux vitesses a de beaux jours devant lui. La manifestation prévue à pour rendre hommage au jeune Thomas Paris a été interdite… Une décision qui fait écho à la répression judiciaire peu courante contre certains jeunes patriotes.

Et pour terminer, nous dresserons un état des lieux du trafic de drogue en France alors qu’une commission sénatoriale se penche sur ce fléau.

Attentat de Nice : l'ancien ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve visé par une plainte pour "homicide involontaire.


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@MDIALIBREVRIFI1 · 29 nov.



 Plainte déposée par Juan Branco devant la Cour de Justice défendant les intérêts d'un policier en faction ce jour-là, en raison des "failles" dans le dispositif de sécurité.

 C'est bien pire que cela. Il faut réécouter Sandra Bertin, la responsable du centre opérationnel de la police municipale et de la vidéosurveillance nicoises, qui, dès le lendemain des faits, accusait le ministère de l'Intérieur d'avoir voulu ni plus ni moins maquiller la scène du crime. 

 Elle affirmait avoir été "harcelée pendant une heure" pour attester "de positions spécifiques de la police nationale" sans aucune réalité sur les écrans. Mais aussi "effacer les bandes de six caméras" ayant filmé l’attaque, en rendant un rapport sous forme de document word "modifiable". Donc falsifiable. Pris au dépourvu, Bernard Cazeneuve, contre-attaqua en portant plainte contre elle pour diffamation. Mais elle fut relaxée par le tribunal correctionnel. 

Elle avait déposé plainte entre temps pour abus d'autorité, mais le procureur, Jean-Michel Prêtre, classa sans suite. Il s’était notamment basé sur le rapport de l’Inspection générale de la police réalisé sur la demande du ministre de l’Intérieur qui avait conclu que le dispositif de sécurité était "normalement dimensionné". 

 Sandra Bertin déposa plainte alors de nouveau, avec constitution de partie civile auprès du doyen des juges d’instruction, et au surplus, pour "escroquerie aggravée". Elle était profondément choquée et meurtrie d'être traduite en justice pour avoir dit la vérité.

 Une femme que la plupart considèrait comme "une fonctionnaire très consciencieuse, extrêmement bien notée, et qui ne faisait que son travail". Mais les juges du fond de discréditèrent subtilement sa parole, en considérant qu'elle avait "pu en toute bonne foi", "fatigue physique et nerveuse" aidant, "interpréter de manière erronée la demande" d'un commissaire, puis d'un commandant, puis d'une commissaire de la Direction centrale de la sécurité publique" (!) identifiée comme Myriam Benrhala. 

La procureure, quant à elle, beaucoup moins subtile, estima avec la même "impartialité" qu'elle avait "fantasmé" les pressions du ministère de l'intérieur. Pourtant, la justice disposait de tous les témoignages des personnes qui étaient autour de la policière municipale au moment des faits, et qui ont rapporté la même conversation, la même pression. 

 La sous-direction anti-terroriste (SDAT) de la police judiciaire, avec l'accord du Parquet, a même exigé du responsable du centre de supervision urbain de Nice, de "procéder à l'effacement complet des enregistrements de l'ensemble des caméras". Le tribunal remonta également la chaîne de commandement jusqu’à Patrick Strzoda, qui dirigeait à l’époque le cabinet de Bernard Cazeneuve. Le même qui dirige aujourd'hui le cabinet du président Emmanuel Macron. 

 Mais la policière ne cessa de clamer haut et fort : "Je n’ai fait que dire la vérité et, quelle que soit la décision, je maintiendrai ce que j’ai dit". Une vérité qui en cache une autre bien plus tragique : l’entrée du périmètre piéton de la promenade des Anglais n’était pas protégée par la police nationale le soir du 14 juillet, contrairement à ce qu'à affirmé le Ministère de l'intérieur, la Préfecture des Alpes-Maritimes, mais également le Premier ministre Manuel Valls. 

 À croire le communiqué officiel, le début de la zone piétonne de la promenade des Anglais aurait été barré par des voitures de la police nationale qui bloquaient le passage. Ce qui est entièrement faux.

 Le terroriste a donc pu rentrer facilement dans la rue piétonne avec son poids lourd en montant simplement le trottoir et commettre son carnage. Sans parler des multiples repérages avant les faits n'ayant éveillé aucun soupçon, avec un camion de 19 tonnes ayant pu traverser à plusieurs reprises une zone réservée uniquement à 1,3 tonne...

Pierre Martinet, Ex DGSE : "Une partie du monde musulman souhaite la Charia en Occident !"



 
 
  Sortie le 29 nov. 2023  
 
Ancien du service action de la DGSE, Pierre Martinet revient sur son parcours exceptionnel au sein des renseignements français, ainsi que sa prise d'otage en 2011 en Libye. 
 
À travers son expérience au cœur des réseaux islamistes, il nous livre également son constat sur notre pays, et sur le destin qui l'attend si rien ne change
 
 
  Sommaire : 0:00 -
 03:30 : Introduction 
 03:30 - 07:50 : Agent en Libye 
 07:50 - 11:30 : Guet apens à Benghazi  
11:30 - 15:00 : Formation à la DGSE 
 15:00 - 17:00 : Le rôle du Qatar  
17:00 - 21:20 : Les ressources psychologiques  
21:20 - 34:30 : La vie d'otage  
34:30 - 40:51 : Les otages israéliens à Gaza  
40:51 - 42:08 : Éliminer les dirigeants du Hamas  
42:08 - 46:40 : Importation du conflit en France  
46:40 - 51:10 : La stratégie des islamistes  
51:10 - 55:00 : Les solutions 
 55:00 - 59:30 : Vers un réveil des peuples européens  
59:30 - 01:04:00 : Franchir un cap dans la violence

Le billet d’humeur du secrétaire général de Place d’armes.


30 novembre 2023

Liberté, Égalité, Fraternité…

La liberté, c’est :

– manifester sa solidarité aux parents de Thomas , un enfant assassiné par des racailles dont les graines ont germé sur notre sol (donc ils sont français nous dit-on),

– déposer une gerbe en hommage à ceux qui ont donné leurs vies pour que nous soyons français (interdit aux anciens militaires de Place d’armes),

– se rassembler sous une même bannière pour faire savoir aux ennemis de l’intérieur qu’ils sont démasqués (compliqué par les egos des chefs de partis),

L’égalité, c’est :

– condamner à des travaux d’intérêt général « ceux » qui ont détruit des commerces, brûlé des voitures et agressé les forces de l’ordre (gauchistes de tous poils, antifas et compagnie) et condamner à de la prison ferme « ceux » qui ont manifesté leur solidarité à la famille face à l’assassinat d’un jeune français, Thomas, sans brûler, casser ni agresser (Division Martel, AF et compagnie),

– faire une minute de silence à l’Assemblée Nationale pour Nahel 24 heures après son décès, conséquence malheureuse de la mise en danger délibérée de la vie d’un policier, et attendre 10 jours pour faire une minute de silence à l’Assemblée Nationale, après l’assassinat par des racailles dont les graines ont germé sur notre sol d’un jeune français, Thomas, qui faisait la fête avec ses copains,

– dissoudre G.I. sans coup férir et réhabiliter Les soulèvements de la Terre sans sourciller.

La fraternité, c’est :

– comprendre que Place d’Armes n’est pas un parti politique et ne le deviendra jamais mais que Place d’armes sera toujours aux côtés des partis qui défendent la France, ils sont nos frères face à l’adversité,

– admettre que les egos n’ont rien à faire dans nos rangs, nous sommes frères d’armes parce que notre combat est commun même si nos chemins divergent pour mieux se rejoindre,

– ne pas mettre ses frères d’armes en danger en tenant des propos pouvant affecter l’ensemble de la fratrie.

Notre acte de naissance, c’est « la tribune des généraux ».

Vous pouvez nous reprocher de n’être pas des activistes (entendez des casseurs, des putschistes), ou d’être trop légalistes mais « on » ne nous reprochera jamais d’être des terroristes !

Restons groupés, l’avenir nous donnera raison et vous pourrez dire avec fierté : j’en suis !

Eric VIENNE

Secrétaire général de Place d’armes

Source : Place d’Armes via profession-gendarme

Ces deux jeunesses vont se percuter de plus en plus et la nôtre n’est pas prête à encaisser le choc

 

 

26 novembre 2023

nice-provence.info 

L’écrivain Jonathan Sturel, auteur de plusieurs ouvrages, réagit au meurtre de Thomas.
 

« Il faut bien comprendre ce qui a eu lieu à Crepol : des jeunes Français de la France rurale ont été pris pour cibles, attaqués, écorchés au couteau, l’un d’entre eux, un gamin de 16 ans, a été tué parce qu’une bande venue d’une zone remplacée a décidé de venir “se faire du babtou”.

C’est signé, c’est ethnique, c’est racial, c’est tout ce qu’on n’a pas le droit de nommer et pourtant c’est cela et pas autre chose.

D’un côté, une jeunesse insouciante qui festoie tendrement, qui festoie comme on a toujours festoyé dans ce pays depuis des générations, qui plus est dans une salle des fêtes de la France rurale, une salle encore debout puisque contrairement aux MJC des zones remplacées cette salle des fêtes, dans cette petite commune de la France rurale, n’avait pas été brûlée, détruite, abandonnée ou transformée en squat pour trafiquants de drogue.

En face, une autre sorte de jeunesse, déjà barbare, déjà violente, déjà lobotomisée par les logiques de gang, de rivalité, de revanche et de violence ; une jeunesse qui, lorsqu’on lui refuse l’accès à une salle des fêtes où elle n’a rien à faire, revient avec des couteaux pour faire des morts et des blessés, la bave aux lèvres, la gorge injectée de sang à en devenir veineuse.

Lorsque ces deux jeunesses se rencontrent, c’est toujours la même qui sort les couteaux et toujours la même qui les prend dans le thorax. Et il en sera ainsi encore demain, la semaine prochaine et pendant des années tant que le rapport de force et les flux migratoires ne seront pas inversés.

Ces deux jeunesses vont se percuter de plus en plus et la nôtre n’est pas prête à encaisser le choc.

Parce que depuis des années, nos médias, nos politiques, nos artistes, nos profs d’écoles, de collèges et de lycées, en enfonçant leurs inepties progressistes, pacifistes, vivre-ensemblistes, antiracistes et castratrices dans les crânes de nos gosses ont fini par leur faire baisser la garde et les transformer en agneaux pendant qu’en face, déjà largement affranchie de ces autorités factices, une autre jeunesse a aiguisé ses dents et ses couteaux.

Nous avons été transformés en agneaux par 40 ans de lobotomie gauchiste. Les responsables sont connus, nous n’oublierons pas.

Maizières-lès-Metz (57). Maxime, 27 ans, tué de plusieurs dizaines de coups de couteau dans une rixe (MàJ : le suspect libéré après un an de prison, les parents dévastés)


 
 
lionel pour Fdesouche
29/11/2023

MàJ 29/11/2023

L’incompréhension. Un peu plus d’un an après la mort d’un homme de 27 ans, tué de plusieurs dizaines de coups de couteau à Maizières-lès-Metz (Moselle), le suspect a été mis en liberté sous contrôle judiciaire.

« Pour la famille, c’est une décision très difficile à accepter car cela entraîne deux conséquences : la remise en liberté », et le fait qu’ « en termes de procédure ça va décaler considérablement la tenue du procès », souligne Me Bernard. « Les parents ont tenu le choc pendant la procédure d’instruction et là ils sont dévastés ».

Le suspect, âgé de 17 ans au moment des faits, avait été interpellé dès le lendemain. Il a été mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire le 10 octobre 2022. Une source au sein de la gendarmerie avait à l’époque dénombré 26 blessures par arme blanche. Le Républicain Lorrain affirme de son côté que 43 coups de couteau ont été portés.

Le Parisien


09/10/2022

Un homme de 27 ans a été tué à l’arme blanche vendredi 7 octobre dans la soirée, à Maizières-lès-Metz en Moselle.

« De multiples coups de couteau ont été recensés au thorax et aux bras », précise de son côté Thomas Bernard, procureur adjoint de Metz, sans s’avancer sur leur nombre. 

Sud Ouest

« Le QR Code pour se déplacer. Nous y arrivons et c’est un immense danger ! ». L’édito de Charles SANNAT

 

 

 par | 30 Nov 2023 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Vous connaissez la blague… « vous savez quelle est la différence entre une théorie du complot et la réalité ? »

La réponse ?

6 mois !

L’humour populaire en dit beaucoup sur le fonctionnement des sociétés humaines.

Les plus anciens comme moi se souviennent du légendaire humour russe sous le régime soviétique.

Cela fait longtemps que beaucoup craignent que progressivement et insidieusement on nous réduise toutes nos libertés, y compris celle de se déplacer.

Ce sera évidemment au nom de la sécurité.

Une sécurité que nos dirigeants font tout pour ne pas assurer et pour rendre défaillante.

Ils créent donc de toutes pièces le problème.

Une fois que le problème prend une ampleur invivable, alors on arrive avec une solution magique, et cette solution est toujours liberticide. Toujours.

Finalement vous avez aimé le QR code pour le passe sanitaire.

Vous allez l’adorer pour les JO.

Puis après, vous l’adopterez pour votre crédit social, parce que vous serez un bon citoyen docile qui attend sa pitance sous forme d’un RSA mensuel. Pardon excusez-moi, sous la forme d’un revenu universel. C’est tellement beau, tellement généreux la dépendance forcée. La soumission pour la gamelle.

[Témoignage] Elle placarde des affiches pour Thomas et finit en garde à vue



 

Clémence de Longraye 29 novembre 2023

 

Depuis le samedi 18 novembre, la France pleure Thomas.

 Partout, des rassemblements s’organisent pour rendre hommage au jeune rugbyman tué à Crépol (Drôme). 

Après Aix-en-Provence, Romans-sur-Isère ou encore Annecy, c’est à Lyon que plusieurs organisations envisageaient de se rassembler, ce lundi 27 novembre, pour saluer la mémoire du jeune homme. Malgré l’interdiction de la préfecture, plusieurs centaines de jeunes ont défilé sur la presqu’île lyonnaise aux cris de « Justice pour Thomas ». Rapidement, le rassemblement est dispersé. Au même moment, en périphérie et dans les rues du Vieux Lyon, Chloé, 26 ans, et son fiancé retrouvent six amis et débutent un collage sauvage en hommage à Thomas. Trois heures plus tard, interpellés en flagrant délit, ils finissent au poste, placés en garde à vue. Elle n’en ressortira que vingt heures plus tard.

Provocation à la haine raciale

« On a trouvé injuste que la manifestation en hommage à Thomas soit interdite par la préfecture », raconte Chloé à BV. La jeune femme, bien que révoltée par la mort du jeune homme, décide malgré tout de ne pas participer au rassemblement interdit. « Je ne voulais pas m’y rendre parce que je ne voulais pas finir en garde à vue. On n’avait pas envie de jouer avec le feu… », explique-t-elle. Alors, avec un petit groupe d’amis, elle s’organise pour imprimer des affiches à la mémoire de Thomas et acheter le matériel nécessaire pour les coller. « Comme la manifestation était interdite, on voulait marquer le coup avec une action pacifique », détaille Chloé. Vers 21 h 30, le groupe commence à coller leurs affiches aux slogans accrocheurs (« Thomas, 16 ans, tué par des barbares », « Thomas tué parce que blanc », « Thomas, Lola et demain toi ») et taguer des murs dans la métropole lyonnaise. Alors que leur action prend fin, ils sont interpellés en flagrant délit par les forces de l’ordre, dans le Ve arrondissement.

mercredi 29 novembre 2023

Interview exclusive : un Ukrainien témoigne des réalités de la guerre


 
Interview exclusive Ukraine
 
Ukrainien originaire du Donbass, ayant vécu en Russie, a longtemps vécu en Russie, V. a accepté de témoigner si son anonymat pouvait être garanti.
M.R. 
 
Auteur(s)
M.R. pour francesoir
Publié le 29 novembre 2023
 

Victor D. est ukrainien. Ingénieur de formation, il est né à Makiïvka dans la région du Donbass, désormais République populaire de Donetsk, et a fait ses études à l’université polytechnique d’Odessa. 

Le conflit en Ukraine, il le vit non pas depuis février 2022, mais depuis plus de neuf ans. Et neuf ans, c’est très long lorsque l’on craint de voir chaque jour ses proches, ses amis, mourir sous les bombes. Installé en Russie en 1994, Victor a accepté de témoigner pour nos lecteurs de la réalité de ce qu’il vit et de ce que vivent les russophones du Donbass depuis 2014. N'oublions pas, d'ailleurs, que la France s'était portée garante des accords de Minsk et a donc trahi son engagement... Pour des raisons évidentes de sécurité, nous ne pouvons vous donner le nom de l’homme interviewé, de même que celui de la journaliste ayant réalisé cet entretien.

 

Vous êtes né en Ukraine et vous vivez désormais en Russie. Pouvez-vous expliquer votre parcours à nos lecteurs ?

J’ai 73 ans. Je suis né à Makiïvka, dans ce qui était le Donbass ukrainien à l’époque. J’ai fait mes études d’ingénieur à l’université polytechnique d’Odessa, une ville créée par la tsarine Catherine II. J’ai commencé à travailler à Vladivostok en tant qu’ingénieur en électronique. L’usine fabriquait des composants pour les sous-marins nucléaires russes, les porte-avions et les navires de guerre. Navires qui étaient ensuite assemblés dans une usine près d’Odessa.

Vous êtes retourné régulièrement en Ukraine ?

Oui. C’est là que j’ai grandi et j’y avais encore beaucoup d’amis. C’est ma terre, l’endroit où mes ancêtres, et mes parents désormais, sont enterrés. En plus, dans la religion orthodoxe, nous avons une tradition : le neuvième jour après la Pâques, nous rendons hommage à nos morts en visitant le cimetière dans lequel ils sont inhumés. Nous leur parlons. C’est une façon de renouer avec nos racines, nos ancêtres, de les honorer.

Vous avez eu des problèmes cette année pour vous rendre au cimetière ?

Oui. En avril dernier, il y avait de violents combats dans cette partie du Donbass et nous ne pouvions pas venir honorer nos morts, c’était trop dangereux. J’ai été arrêté à la frontière de la République de Donetsk du fait des bombardements. Heureusement, cette partie du Donbass est devenue russe, aussi ai-je pu prendre le risque de m’y rendre depuis pour visiter la tombe familiale. Mes amis d’enfance, qui habitent toujours sur place, se sont occupés de la sépulture. Je leur dois des remerciements parce qu’après les bombardements, ils devaient restaurer les monuments. Ils m`envoyaient des photos des tombes qu’ils essayaient de rendre à leur état d’origine.

 

"Les gens sont morts sous les bombes fournies par l’OTAN"

 

Vous avez risqué votre vie sans hésiter pour revenir dans votre ville de naissance ?

C’était un risque, certes. Le cimetière était interdit du fait de la présence des bases russes juste à côté et, surtout, des bombardements incessants. Mais c’est un devoir de rendre hommage à nos ancêtres. C’est important. Si vous négligez de vous occuper des tombes de vos ancêtres, alors vos compatriotes ne vous respectent plus. Vous serez mal jugé...

Les bandéristes ont fait beaucoup de dégâts sur la ville ?

Donc cette gamine (Greta Thunberg) serait parente des Rothschild?


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Le 29/11/2023

SinedWarrior 

La maison du célèbre banquier Rothschild a confirmé que l’éco-activiste suédoise Greta Thunberg est l’arrière-petite-fille du célèbre banquier Lionel Walter Rothschild, fils du premier baron Rothschild.

 Les médias se sont intéressés à cette relation présumée après qu’une source de Handelsbanken, banque suédoise, a affirmé que la Fondation Rothschild avait effectué des virements sur les comptes de la famille Thunberg.

L ’arrière-grand-père de l’activiste, Joachim Thunberg, était le fils illégitime mais reconnu de Lionel Rothschild en 1928. Sa mère l’ayant élevé seule pendant les deux premières années, il a hérité du nom de famille de cette dernière. Joachim a ensuite été pris en charge par son père biologique et, à partir de l’âge de 12 ans, il s’est installé en France. 

A 26 ans, Joachim Rothschild-Thunberg devient l’un des banquiers les plus prospères de Suède.

Von der Leyen : l’emprise européenne - JT du mercredi 29 novembre 2023



Publiée le 29/11/2023

A la une de cette édition, l’offensive de Bruxelles pour s’accaparer le pouvoir des Etats membres.

Une page olympique ensuite avec notamment le retour du QR code pour circuler lors des Jeux de Paris.

Et enfin, nous évoquerons la perdition de la francophonie avec Ilyes Zouari, le président du Centre d'étude et de réflexion sur le monde francophone.

Agression à main armée à Saint-Martin-Petit : «Ils auraient pu y passer, comme Thomas à Crépol»


L'agression a eu lieu à la salle des fêtes de Saint-Martin-Petit.

 

[Mise à jour le 21/11/2023]
 
« Nous aurions pu y passer, comme Thomas, à Crépol, » réalisent a posteriori les jeunes agressés à Saint-Martin-Petit et les parents. On n’est plus en sécurité nulle part.  
 
L’agression qui s’est déroulée à Crépol, dans la Drôme fait remonter les craintes des victimes de celle qui a eu lieu à la salle des fêtes de Saint-Martin-Petit. (©Le Républicain 47)
 
 L’agression violente dans une salle des fêtes à Crépol, dans la Drôme, samedi 18 novembre, a éveillé de douloureux souvenirs en Gironde et dans le Lot-et-Garonne. « Ça aurait pu être nos enfants », soupire cette maman, dont le fils a été agressé à Saint-Martin-Petit, le samedi 30 septembre, dans des circonstances comparables.

« Cette violence est insupportable ! Nous ne sommes plus en sécurité nulle part. Il faut qu’il y ait un mort pour que ça fasse la une des journaux, mais ça se passe maintenant tous les week-ends, partout. Regardez, nous, il n’y a que le Républicain qui en a parlé. »

Les victimes de l’agression à main armée, dans ce petit village paisible du Lot-et-Garonne, de jeunes rugbymans de Langon, elles, sont en colère, à cause de Thomas, la jeune victime iséroise, joueur de rugby, comme eux, venu pour faire la fête dans un lieu paisible, comme eux.

Voici quelques jours, les familles ont reçu les avis d’audience, suite à l’interpellation de huit suspects par les gendarmes du Lot-et-Garonne. Cinq ont été déférés à la justice et seront jugés, dont deux mineurs et trois adultes, placés sous contrôle judiciaire.

Violente agression à la salle des fêtes

Course poursuite en voiture, chasse à l’homme et agression à main armée, une vingtaine de jeunes de Gironde et du Lot-et-Garonne ont vécu une nuit d’épouvante entre samedi 30 septembre et dimanche 1er octobre, à Saint-Martin Petit.

Il s’agissait au début d’un anniversaire, les 18 ans de Hugo* petit gars du Stade Langonnais, qui avait invité ses copains dans la salle des fêtes de son village du Lot-et-Garonne. La soirée touchait à sa fin, après minuit, quand une première voiture s’est présentée sur le parking entre la mairie et le lieu de la réception.

Un type est sorti de la voiture, témoigne Tom*. Il s’est avancé derrière la salle, là où il y a un barbecue, je crois, et il est revenu, énervé. Il s’est embrouillé avec un de nos copains et il est parti en proférant des menaces : on va tous vous crever, on va revenir avec des flingues !

Après le départ des intrus, les amis se concertent, inquiets pour certains, les autres, un peu abasourdis et incrédules. « On s’est dit qu’ils ne reviendraient pas… »

Orange mécanique à Saint-Martin-Petit

Saint Martin petit (47 ) Lot et Garonne! Crepol bis ?



Raspail, J-M Le Pen… ils avaient sonné le tocsin ! Avec Didier Lecerf


 

Ecrivain, cadre et militant nationaliste depuis plus de 40 ans, Didier Lecerf a dirigé et conçu le dernier numéro en date de la revue “Synthèse nationale” : “Ce n’est donc pas faute d’avoir sonné le tocsin”.

Pour les auteurs du magazine, on se voile la face sur le douloureux problème de l’immigration depuis plus de 50 ans. 

Et l’embrasement de tout le pays qui a marqué ces dernières semaines n’est que l’aboutissement logique des politiques menées par l’ensemble des gouvernements qui se sont succédés.

Didier Lecerf, spécialiste de la droite nationale, démontre que dès le début des années 70, des voix téméraires se sont élevées en France pour dénoncer l’immigration incontrôlée. Ce furent les militants patriotes du mouvement Ordre Nouveau, puis l’immense écrivain Jean Raspail avec son roman prophétique “Le camp des saints” et le Front National de Jean-Marie Le Pen à travers de multiples campagnes électorales. Tous avaient prévenu. 

Ce n’est donc pas faute d’avoir sonné le tocsin !

 


Selon la maire de Romans, certains suspects sont « issus de parents déjà délinquants »


 

Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère. Photo Le DL /  Stéphane Marc

Le 28/11/2023

 La maire divers droite avoue « redouter d’autres drames » après le meurtre de Thomas lors d’un bal de village à Crépol, dans la Drôme.

 

Interrogée ce mardi 28 novembre sur BFM-RMC par Apolline de Malherbe, la maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval n’a pas mâché ses mots.

 « Sur environ 4 500 habitants » que compte le quartier de la Monnaie, « il y a à peu près une centaine de jeunes qui mettent un bazar pas possible, avec un groupe extrêmement dur », analyse l'édile divers droite. Dénonçant surtout des comportements « pas entendables », elle considère que ces individus ont « décidé de faire de ce quartier une zone de non-droit, » alors que les habitants «aspirent à la tranquillité ». Et d'ajouter : «Il faut arrêter de pratiquer la culture de l'excuse.»

« On se retrouve avec deux fronts »

La maire divers droite avoue « redouter d’autres drames » après le meurtre de Thomas lors d’un bal de village à Crépol, dans la Drôme. « On se retrouve avec deux fronts », a déploré l'élue, interrogée sur BFM-RMC, ajoutant que certains mis en cause sont «issus de parents déjà délinquants». «C'est une culture qui se transmet», estime Marie-Hélène Thoraval. Concernant les noms des suspects qui ont circulé sur les réseaux sociaux, la maire, en poste depuis 2014, a affirmé que le fait de «ne pas communiquer les prénoms plus tôt était indécent».

 «Pourquoi lorsqu’il s’agit d’un autre drame on communique le nom et le prénom tout de suite ? Là, les prénoms ont circulé sur les réseaux avant d’être confirmés par les autorités. (...) Pourquoi on n’a pas cette notion de transparence dès le départ ? Ça ne fait que renforcer la stigmatisation», a-t-elle affirmé. Ce dimanche, lors d’un point presse avec le préfet de la Drôme, la maire avait appelé à faire face à un niveau de délinquance qui « appelle d'autres formes de réponses» à Romans et dans d'autres villes, en estimant que la délinquance trouvait «ses racines dans la radicalisation» et le «trafic de drogue».

[Tribune] Romans-sur-Isère : Libérez les prisonniers politiques !


 

 Jean-Yves Le Gallou 28 novembre 2023

 

Mathieu Bock-Côté vient de publier un essai important : Le totalitarisme sans le goulag (Presses de la Cité). 

 

Il y montre l’ensemble des moyens de coercition utilisés par le « régime diversitaire », le régime qui veut imposer la dictature des minorités, en Occident. Les esprits modérés – ou conformistes – se rassureront : on ne peut pas parler de dictature, en France, puisqu’on bénéficie de la liberté d’expression et que les opposants ne vont pas en prison. Voire ! La kyrielle d’interdictions du ministre de l’Intérieur Darmanin, le pire ministre de l’Intérieur depuis soixante ans au regard de l’explosion de la délinquance comme du respect des libertés, conduit à émettre des doutes : d’ailleurs, dans les classements internationaux sur les libertés, la France plonge 42e à l’indice des libertés humaines du think tank américain Cato Institute - ce qui la place dernier pays d’Europe de l’Ouest.

Prisonniers politiques

Mais depuis le 27 novembre, le régime a changé de nature en embastillant six jeunes qui avaient participé - ou tenté de participer - à une manifestation dans le quartier de la Monnaie de Romans-sur-Isère d’où sont partis la plupart des meurtriers présumés de Thomas. On peut approuver ou non leurs idées, condamner ou non leur démarche, il n’en reste pas moins vrai que ce sont des prisonniers politiques.

Et ce, dans un double sens. D’abord, il ne fait pas de doute que les délits qui leur sont reprochés ont été commis dans le cadre d’une action politique. Gérald Darmanin le reconnaît d’ailleurs explicitement en les affublant de l’étiquette fourre-tout d’« ultra-droite » qui permet de tout interdire ou poursuivre : un colloque intellectuel, un hommage à des morts, une commémoration officielle (Jeanne d’Arc) ou des manifestations.



Ensuite, au regard de la définition donnée du prisonnier politique par le Conseil de l’Europe. En tout cas, s’agissant du troisième critère : « Pour des raisons politiques, la durée de la détention ou ses conditions sont manifestement disproportionnées par rapport à l’infraction dont la personne a été reconnue coupable ou qu’elle est présumée avoir commise. » Or, c’est ici incontestable.

mardi 28 novembre 2023

Un « cessez-le-feu temporaire » permet aussi de constater tout ce que nous avons perdu

 

Pour les habitants de Gaza, la trêve de quatre jours leur a seulement permis de comprendre pleinement ce qu’ils ont vécu : « Ce n’est qu’aujourd’hui que nous avons réalisé qu’ils étaient partis. Ce n’est qu’aujourd’hui que nous sentons la présence de la mort ici ».

Les rues sont soudain inondées. Les gens peuvent désormais inspecter les bâtiments détruits à Khan Younis, à Nuseirat, à Deir al-Balah et dans d’autres villes du sud, s’éloigner de leurs abris pour apporter des vivres à leurs familles. Surtout, ils peuvent désormais prendre des nouvelles des membres de leur famille encore en vie, avec lesquels le contact avait été rompu tout au long des bombardements.

Ils peuvent désormais se chercher, pleurer ensemble sur ce qu’ils ont perdu et sur ce qu’ils risquent de perdre encore.

Le « cessez-le-feu temporaire », si c’est ainsi qu’il faut l’appeler, ne signifie pas la fin de la guerre. Il signifie simplement que nous disposons de plus de temps pour pleurer et faire notre deuil.

Même si les combats qui ont précédé la trêve ont été parmi les plus violents depuis le début de la guerre, les habitants gardaient l’espoir qu’ils se termineraient par un cessez-le-feu qui leur permettrait de rentrer chez eux en toute sécurité dans la ville de Gaza et au nord de la vallée de Gaza.

Hier, tôt dans la matinée, les avions de guerre israéliens ont largué plusieurs tracts à l’intention des personnes restées dans le nord de Gaza, les avertissant de ne pas se déplacer à l’extérieur.

L’armée israélienne a également appelé au hasard des numéros de téléphone portable de résidents enregistrés de la ville de Gaza, les avertissant de ne pas retourner au nord de la vallée de Gaza. Les tracts et les appels téléphoniques ont envoyé le même message : la guerre n’est pas finie, et rentrer chez soi, c’est retourner à la mort.

Mais les familles qui ont été déchirées par le génocide et qui ont été déplacées pendant plus d’un mois attendent désespérément de savoir ce qu’il est advenu de leurs proches qui sont restés. Nombre d’entre elles souhaitent également retourner à l’endroit où se trouvait leur maison, peut-être pour récupérer ce qui peut l’être dans les décombres, notamment des provisions, des objets importants et des documents officiels.

cohen, jusqu'a la nausée



Crépol : l’injustice pour Thomas ? - JT du mardi 28 novembre 2023



 Pour commencer, nous reviendrons sur la répression des manifestants de Crépol.

Six jeunes ont été condamnés à de la prison ferme dans ce qui s’apparente de plus en plus à une inversion accusatoire.

Nous ferons ensuite le point sur la situation au Proche-Orient. Près de 70 otages israéliens ont été libérés au cours d’une trêve désormais prolongée pour 48 heures.

Vaccinés / non-vaccinés : on sait qui meurt le plus !



mise à jour le 28/11/23

 Juste Milieu

 Révélations fracassantes de Pierre Chaillot sur la situation de la vaccination en Grande-Bretagne : l'auteur de "Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels" expose des faits surprenants qui auront, on l'espère, des répercussions majeures en France.

 

Ils ont continué à injecter un produit qu'ils savaient potentiellement mortel



 

 17 millions de décès imputables au vaccin

 

Thomas assassiné…la tension monte un peu partout..les autorités tentent d’empêcher les manifestations de soutien



Dans la nuit du samedi au dimanche 20 novembre 2023, Thomas Perotto, un adolescent de 16 ans vivant dans la Drôme, est lâchement assassiné lors d’un bal de village par des jeunes descendus d’une cité voisine. 

Le cri “On vient planter du blanc” aurait été lancé par les assaillants, selon plusieurs témoins. Reportage signé Vincent Lapierre



 Par ailleurs, les autorités ont tenté de cacher les noms des participants à cette attaque sanglante, dont celui du meurtrier présumé de Thomas. Les voici ci-dessous. Le peuple a le droit de savoir que ce ne sont ni Kevin, ni Mathéo, qui se sont comportés ainsi à Crépol. Et que la carte d’identité française ne signifie plus grand chose aujourd’hui.


 

A noter que des rassemblements en hommage à Thomas ont eu lieu tout le week-end. Samedi soir, un groupe de 80 personnes s’est même « invité » dans le quartier de la Monnaie de Romans sur Isère, pour dénoncer les exactions de la racaille. La Police nationale française a reçu ordre de protéger le quartier, et d’interpeller de manière violente les individus. Un des jeunes manifestants a même été un instant kidnappé par un groupe de racailles, mis à nu, sa voiture brûlée. Il a été transporté par la suite à l’hôpital.