Le 31 août 2022
Les choses semblent s’accélérer pour
procéder d’une façon rationnelle à l’étude de la variation du climat et
de la température de la basse atmosphère terrestre.
Créé en 1988 sous
l’égide des Nations-Unies. Le GIEC a toujours été « crescendo » dans le
catastrophisme en faisant état de délais de plus en plus courts pour
entreprendre les actions destinées, selon leurs rapporteurs, à éviter le
pire. Et pour, eux, le pire est d’avoir une augmentation de la
température moyenne de la planète de 2° C.
(Si j’avais rédigé quelque chose d’aussi
imprécis, je peux vous garantir que mon prof de physique de prépa
m’aurait passé un de ces savons…)
Comment peut-on mesurer la température
moyenne de la planète ? Cela a-t-il simplement un sens sur un plan
thermodynamique ? La température de la surface de la planète varie en
permanence d’un point à un autre et d’un instant à l’autre. Tout ce que
l’on peut faire est d’enregistrer des relevés de température pour des
points discrets, et dire que la moyenne calculée de ces points relevés
représente la température moyenne de la planète, mais rien ne le
démontre. On nous dit que cette température a augmenté de 1,1°C depuis
1880, mais on ne nous dit jamais quelle était la température moyenne de
1880, et pour cause. Elle a probablement variée elle-aussi d’un endroit à
un autre et d’un moment à l’autre.
Cependant cela n’empêche guère quelques
esprits hardis de corréler cette augmentation de température supposée
avec la concentration en dioxyde de carbone présente dans l’atmosphère,
sans pour autant démontrer que cette concentration est homogène en tout
point de celle-ci.
Mais, pour faire-fi de ce qui précède,
ce sont les « communicants » qui se chargent du travail de conviction,
en substituant l’effet à la cause. Environ un été sur trois, on nous
parle de canicule, d’incendies et de sécheresse comme étant, à
l’évidence, les manifestations de ce réchauffement planétaire, qui est
de plus en plus désigné sous le nom de « dérèglement climatique »
Viendront ensuite, dès la fin de l’été
ou le début de l’automne, les pluies torrentielles des orages, les
tempêtes cycloniques et les inondations, qui ne peuvent être que de plus
en plus fréquentes et de plus en plus dévastatrices.
Relativisons les chosesUn document très intéressant publié par la « revue de géographie alpine »
relatif à la période 1942 – 1949, rédigé par MM Joseph Sanson et
Maurice Pardé, montre que les sécheresses prolongées n’ont rien
d’exceptionnel en France.
Un bref passage de la conclusion replace les événements dans leur contexte chronologique :
« 3° L’année septembre-août
ou octobre-septembre 1948-49 a été une des plus sèches que la France
ait connu, depuis plus d’un siècle. Elle rivalise à ce point de vue avec
1921 qui pourtant semble conserver le record connu de pénurie pour 12
mois consécutifs dans la majeure partie de notre pays.
4° En raison de grandes chaleurs
très fréquentes et torrides, notamment à l’été de 1947, la pénurie des
débits durant l’ensemble de la période a encore plus exagéré celle des
précipitations que cela ne se produit d’habitude lors des déficiences
pluviales. Celles-ci ayant atteint 10 à 20 % au plus pour des bassins
entiers assez vastes, celle des débits sur les rivières pluvio-nivales
ou pluviales a généralement marqué de 30 à 45% et donc dépassé les
chiffres que nous jugions possibles dans l’état actuel au.
climat en Europe Occidentale. Comme la neige exerce de ce point de vue
un rôle régulateur, les rivières de haute montagne,malgré la très faible
abondance relative des chutes nivales, ont bien moins souffert de la
disette que les cours d’eau des régions basses ou d’altitudes moyennes.
Et dans les bassins glaciaires, certaines des années très sèches en
question ont connu des débits normaux on surabondants, ça et là, voire
en Suisse et dans le bassin du Rhône des records pour les modules »