🇫🇷 FLASH | De l'#eau salée a été injectée par erreur à 28 personnes à la place du vaccin #Pfizer, dans un centre de vaccination de #Nyons (Drôme) mercredi.
— Conflits France (@ConflitsFrance) April 30, 2021
(Le progres) #Covid19
Réflexions sur l'actualité et la politique Française. Avec quelques exceptions sur le reste du monde. Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
🇫🇷 FLASH | De l'#eau salée a été injectée par erreur à 28 personnes à la place du vaccin #Pfizer, dans un centre de vaccination de #Nyons (Drôme) mercredi.
— Conflits France (@ConflitsFrance) April 30, 2021
(Le progres) #Covid19
Le 29/04/2021
Les vaccins contre le Covid sont-ils éthiques?
Selon l'association suisse
«Mamma» dans sa newsletter, les fabricants de vaccins utilisent les «
tissus de fœtus humains » dans la recherche et la technologie
biomédicales. Cette émission révèle des faits choquants.
[lire la suite]
A la une de cette édition, les étapes du déconfinement.
Dans un entretien accordé à la presse régionale, Emmanuel Macron a dévoilé son programme d’assouplissement en 4 étapes avec à la clé l’arrivée du fameux pass sanitaire.
Nous irons ensuite à la rencontre de restaurateurs d’Ile-de-France.
Et enfin avant d’évoquer l’actualité en bref, nous nous pencherons sur le scandale de l’association LGBT Le Refuge.
Health Impact News (Etats-Unis) | Editeur : Walt | Vendredi, 30 Avr. 2021
Charles Hoffe est médecin depuis 28 ans dans la petite ville rurale de Lytton, en Colombie-Britannique (Canada). La ville est composée de nombreux groupes autochtones des « Premières nations ».
Lorsque le Dr Hoffe a reçu 900 doses du COVID-19 expérimental de Moderna, il a administré les doses à ceux qui le souhaitaient par le biais de la clinique médicale de Lytton.
Il a choisi de ne pas s’injecter lui-même.
Le Dr Hoffe rapporte que le résultat de l’injection de 900 personnes au sein de la communauté autochtone des Premières Nations a été que deux personnes ont subi un choc anaphylactique, une personne est décédée et plusieurs autres ont souffert de ce qui semble être des handicaps permanents.
Il déclare que l’une de ses patientes souffre tellement qu’elle préfère la mort à la vie.
En revanche, personne dans la communauté n’est décédé ou n’a souffert d’un handicap permanent à cause du virus COVID-19 au cours de l’année écoulée.
Le Dr Hoffe a signalé ces effets indésirables par courrier électronique au personnel médical de sa communauté responsable du déploiement des injections de Moderna, qui comprenait des pharmaciens, des infirmières et des médecins de sa région, soit environ 18 personnes au total, selon lui.
Dans son courriel, il exprimait sa vive inquiétude quant aux effets secondaires qu’il constatait et demandait s’il ne fallait pas interrompre les injections pendant un certain temps.
Il rapporte que, dans les 48 heures, il a reçu une réprimande très sévère de ses supérieurs de l’Interior Health Authority, l’accusant de provoquer une « hésitation à se faire vacciner » et qu’ils allaient le dénoncer au BC College of Physicians and Surgeons.
Ils lui ont interdit de dire quoi que ce soit de négatif sur les vaccins Moderna en lui imposant de se taire.
Le Dr Hoffe explique qu’il s’agit d’une méthode d’intimidation utilisée contre d’autres médecins qui ont trop peur de s’exprimer, car le College of Physicians and Surgeons a le pouvoir de mettre fin à la carrière des médecins ou de leur infliger de lourdes amendes.
La semaine suivante, alors qu’il continuait à voir de plus en plus d’accidents, il s’est mis en colère à cause de l’interdiction de parler. On lui a dit que s’il avait des inquiétudes au sujet des injections, il devait contacter le médecin hygiéniste responsable du déploiement de Moderna.
C’est ce qu’il a fait, mais comme il n’a pas reçu de réponse, il a décidé d’écrire une lettre ouverte directement au Dr Bonnie Henry, médecin hygiéniste de la province de la Colombie-Britannique, en défiant directement l’ordre de bâillon qui lui avait été imposé puisqu’il l’a rendu public.
Voici une copie du contenu de la lettre :
Dr Charles D. Hoffe, BSc, MB, BCh, LMCC
Clinique médicale de Lytton
Lytton BC V0K 1Z0
5 avril 2021
Dr Bonnie Henry
Agent de santé provincial de la Colombie-Britannique
Ministère de la Santé
1515, rue Blanchard
Victoria, BC, V8W 3C9
Chère Dr. Henry,
La première dose du vaccin Moderna a maintenant été administrée à certains de mes patients de la communauté de Lytton, en Colombie-Britannique. Cela a commencé avec les membres des Premières Nations de notre communauté à la mi-janvier 2021. 900 doses ont maintenant été administrées.
J’ai été assez alarmé par le taux élevé d’effets secondaires graves de ce nouveau traitement.
Sur ce nombre relativement faible de personnes vaccinées jusqu’à présent, nous avons eu :
De nombreuses réactions allergiques,
La bataille de Camerone est un combat qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863 lors de l'expédition du Mexique.
Soixante-cinq soldats de la Légion, assiégés dans un bâtiment d'une hacienda du petit village de Camarón de Tejeda (« Camerone » en français), résistèrent plus d'une journée à l'assaut de 2 000 soldats mexicains.
À 18 heures, les cinq légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, chargèrent baïonnette au canon leurs adversaires. Un officier et un soldat y perdirent la vie. Finalement, ils se rendirent à l'ennemi à condition de garder leurs armes et de pouvoir secourir leurs camarades blessés.
Camerone est célébré chaque année comme un haut fait de la Légion étrangère, le 30 avril, dans toutes ses unités.
Place d'Arme souhaite une excellente fête à tous les légionnaires...
Le supplice du 20h ! https://t.co/CVnnTSHyst
— Ma France (@pep_france) April 30, 2021
Préparez la vaseline, ça risque d'être douloureux
Suite aux travaux, la nouvelle hauteur du nouveau pont de Pont-sur-Yonne (Yonne) continue de faire polémique. A l'avenir, il pourrait freiner l'activité économique des entreprises du secteur qui font transiter leur marchandises via la voie fluviale, voir les pousser à s'implanter ailleurs.
Depuis plusieurs semaines, les travaux réalisés sur le pont de Pont-sur-Yonne suscitent la colère des bateliers. Ils viennent de déposer un nouveau référé devant le tribunal administratif de Dijon pour obtenir la suspension des travaux. Ce jeudi 29 mai, alors que les travaux se poursuivent, c'est la Chambre de Commerce et d'Industrie qui monte désormais au créneau. La polémique pourrait mettre en péril plusieurs centaines d'emplois.
Le nouvel ouvrage a un immense défaut selon eux. Il est plus bas que le précédent de 38 centimètres. La différence peut sembler minime, mais à cet endroit où la navigation est jugée complexe, elle est capitale. Elle pourrait surtout empêcher le passage des plus gros bateaux. Un vrai handicap pour certaines entreprises du secteur qui dépendent du transport fluvial, notamment du port de Gron, près de Sens. Ce port dont l'unique accès passe par Pont-sur-Yonne.
Près de 1200 emplois menacésAvant la crise sanitaire, le trafic sur l'Yonne représentait 1 700 voyages de bateaux chargés pour 1 million de tonnes de marchandise transportée en 2019.
"Les entreprises ont vu dans l’émergence du transport fluvial et dans l’implantation du port de Gron une vraie chance de développement," souligne Alain Pérez, le président de la chambre de commerce et d'industrie de l'Yonne."Si cet accès est rendu difficile parce que le pont est trop bas, que les grosses péniches ne peuvent plus passer, que la hauteur des colis lourds transportés ne passe plus sous le pont, [les entreprises] iront s'implanter ailleurs."
Alain Pérez cite l'exemple de l'entreprise Prysmian, spécialisée dans l’industrie des câbles et des systèmes pour l’énergie et les télécommunication. C’est l’un des plus gros employeur icaunais avec près de 700 personnes réparties sur ses deux usines situées à Gron et à Paron. Elle produit des bobines de câbles qui peuvent peser jusqu'à 100 tonnes l'unité. "Ces bobines ne peuvent partir que par le fleuve."
par Charles Sannat | 30 Avr 2021 |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Pour le moment et « à ce stade » les dépôts en France sont très rarement, à quelques exceptions près, concernés par les taux négatifs qui ne sont pas (encore) répercutés par les banques.
Pourtant, c’est un article des Echos.fr ici qui met le feu aux poudres et attise les peurs légitimes des épargnants et qui agite le lanterneau Internet !
« Au Danemark, les banques prêtes à taxer les dépôts à partir de 13 000 euros »De vous à moi, un dépôt à la banque de 13 500 euros, c’est un peu de sous, certes, mais enfin franchement, ce n’est tout de même pas une fortune !
Même un couple de profs peut mettre de côté 13 500 euros… ha, oui, c’est vrai, un couple de profs selon la jurisprudence Hollande, c’est un couple de riches… J’oubliais que la France était devenu aussi pauvre pour définir ainsi ses faux riches.
De vous à moi, 13 500 euros d’épargne, c’est de l’épargne de classes moyennes, pas de riches, et encore moins d’ultra-riches.
En taxant à 13 500 euros les dépôts aux taux négatifs, c’est l’épargne de la classe moyenne qui est attaquée.
Et, c’est nettement moins drôle.
« Nombre de pays évoquent de plus en plus la possibilité de taxer les dépôts bancaires. Au Danemark, les banques sont déjà passées à l’action. La première banque du pays, Danske Bank, a même annoncé mardi 27 avril vouloir appliquer des taux négatifs pour tous les dépôts bancaires qui dépasseront les 100 000 couronnes, soit près de 13 500 euros, rapportent Les Échos. Un seuil qui devrait entrer en vigueur dès le 1er juillet 2021. Le taux se situera entre 0,6 % pour les particuliers et 1 % pour les entreprises ».
Un article du Figaro le confirme une fois de plus, le 29 avril : le migrant mineur isolé n’est souvent ni mineur ni isolé.
L’inversion de la réalité facilite ainsi l’apprentissage du langage mondialiste. En guise d’exercice d’initiation, le débutant découvrira que Paris Plages ne comporte pas l’ombre d’une plage et que tout acte délictueux commis par une personne immigrée (ou d’origine) n’a rien à voir avec l’immigration.
Selon ce principe décrit par Orwell, il paraît désormais acquis que le migrant est mineur à compter de ses 18 ans. Le Figaro le rapporte dans ses colonnes : après envoi des empreintes des personnes interpellées aux autorité algériennes, marocaines et tunisiennes, « sur 1.162 demandes, la DSPAP (Direction de la sûreté de proximité de l’agglomération parisienne) a déjà reçu 330 retours d’identifications formelles, établissant qu’il s’agit en fait de majeurs dans 263 cas ». 78,7 % ! Lors d’une précédente expertise, ce taux atteignait 96 % (Figaro du 16/3/2021).
Le concept de minorité s’en trouve ainsi affiné. Entre zéro et 35 ans, le plus ou moins jeune migrant peut tenter sa chance auprès d’associations et collectifs éplorés devant le sort de grands garçons, non accompagnés de leurs parents. Pour les postulants dépassant l’âge limite, l’arrivée en France dans une poussette est fortement recommandée.
En fait d’isolement, le MMI (migrant mineur isolé) tout mimi est pris en charge par un réseau mafieux dirigé par ses compatriotes en situation irrégulière et sous l’ordre desquels il vole et agresse tout ce qui bouge.
Dans le processus d’inversion des valeurs qui est en train de tuer notre pays, nos dirigeants récidivent. Ils opposent un légalisme surjoué pour cacher la légitimité de la mise en garde. La France est en chute libre dans de nombreux domaines. Son « Président » cultive la repentance et participe ainsi à l’entreprise de déconstruction de l’Histoire destinée à ôter aux Français la fierté de leur passé et la conscience de leur identité. La dénonciation d’un antiracisme à sens unique qui éveille les tensions communautaires, celle d’un islamisme virulent et conquérant qui soustrait des quartiers à la République, sont des cris du cœur, l’expression d’indignations partagées par une multitude de Français.
S’il ne s’agissait pas du patriotisme affirmé par des militaires mais d’une lubie écologiste ou d’une protestation communautaire, on parlerait de « lanceurs d’alerte », mais ceux-ci sont du mauvais côté de la rue. Sans doute, derrière le constat, il y a la critique « des louvoiements et des silences » de ceux qui nous gouvernent. Mais les soldats sont-ils condamnés au silence ? On peut penser, au contraire, qu’ils ont davantage le droit à la parole que beaucoup d’autres parce qu’ils ont offert leur vie au pays et qu’ils sont en première ligne dans sa défense face aux menaces qui montent. Les militaires sont des citoyens à part entière, et même plus citoyens que d’autres en raison de leur engagement au service de la cité, de la nation.
La réponse de la gauche, et du pouvoir qui rappelle ainsi son véritable ancrage, est scandaleuse. « Factieux », ose le clown Mélenchon. Des ministres évoquent le putsch manqué de 1961 et disent entendre des bruits de bottes. Il n’y a rien dans le texte, pourtant, qui exprime une menace pour la légalité, si ce n’est celle qui viendrait de la partition du pays et de la montée du séparatisme, et sur laquelle les militaires veulent attirer l’attention.
Suède, 24 avril 2021. Pas de confinement, pas de masques obligatoires, la propagande gouvernementale ne veut pas qu'on le sache. pic.twitter.com/bDBPs3X2au
— Momotchi (@momotchiii) April 24, 2021
29 avril 2021
La empresa tecnológica que ayudó a impulsar el Holocausto, ahora se encarga de los “pasaportes de vacunas”
(article en Espagnol traduit par DeepL 2)
Vous avez probablement déjà entendu parler du projet maniaque de « passeport vaccinal » de l’État profond, qui sera finalement utilisé pour soumettre le monde entier à la tyrannie médicale. Eh bien, nous savons maintenant qu’IBM dirige la création et la mise en œuvre des passeports vaccinaux dans une grande partie du monde développé, IBM étant la même société qui a aidé à organiser l’Holocauste, soit dit en passant.
Bien avant de développer les ordinateurs que nous connaissons et utilisons tous aujourd’hui, IBM a conçu un système sophistiqué de cartes perforées qui a permis à l’Allemagne nazie de créer une société à deux vitesses : les « désirables » et les « indésirables ». Ce système de cartes perforées sera plus tard utilisé pour rassembler les indésirables dans les camps de concentration, ce qui n’aurait jamais été possible sans IBM.
Aujourd’hui, IBM fait exactement la même chose, mais sous stéroïdes, avec un système plus avancé de « passeport vaccinal ». Sous couvert de protéger les gens contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), IBM met au point un protocole permettant d’identifier les « désirables » qui acceptent de se faire vacciner et les « indésirables » qui refusent. En fin de compte, les « indésirables » seront punis par l’exclusion de la société, ou pire.
« Dans l’Allemagne nazie, l’obsession de la pureté, tant en termes d’hygiène que de théorie raciale, a conduit au génocide des Juifs, des personnes âgées, des handicapés et des déficients mentaux », écrit « Tapestry » pour Taps Newswire.
« Aujourd’hui, le récit public a étrangement suivi le livre de jeu de
l’Allemagne nazie pour le génocide, en commençant par la désignation de
boucs émissaires pour les personnes en bonne santé, la propagation
rapide du COVID-19 étant imputée aux individus asymptomatiques qui n’ont
pas réussi à se masquer adéquatement, à prendre leurs distances
socialement et à s’isoler. »
Dites non au génocide de masse
Entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2017, j’avais écrit un article intitulé « La dernière cartouche ».
Extraits : « Si Macron est élu, le rouleau compresseur ultralibéral et ultra européiste sera poussé à son maximum et des pans entiers de ce qui fait la France seront détruits. Mais cette fois, le système ne pourra pas rejeter la faute de cette situation sur le dos d’un bouc émissaire. Il restera la possibilité d’une dictature qui ne se cache plus, qui s’assume. » et encore « Que ce soit en France ou dans n’importe quel pays occidental, la possibilité de voir se mettre en place une dictature n’a jamais été aussi forte… »
Nous y sommes !
Le prétexte pour la mise en place de moins en mois sournoise de cette dictature est un virus. Il est inutile de revenir sur les courbes ni sur les mesures successives qui ont été prises. Cela fut l’objet de maintes passes d’armes au cours de la première assignation à résidence sous contrôle policier qui fut appelée pudiquement confinement. Toutes les analyses rationnelles montrent, chiffres à l’appui, qu’il n’y a pas le feu au lac. Voici une bonne synthèse d’Ema Kruzi, censurée par YouTube et réfugiée politique sur Odysee. Et pourtant, la masse abreuvée par la Sainte Inquisition médiatico-politicienne a pris peur et obéit aux mesures gouvernementales, par crainte du virus ou d’une amende de 135 €. Mesures absurdes, contraires à toute logique, à toute raison et pour tout dire arbitraires. Or quand une société se soumet à l’arbitraire, elle est mûre pour accepter l’inacceptable, la dictature officielle, car le gouvernement par l’arbitraire, c’est déjà la dictature.
« Nous sommes en guerre » avait déclaré le pantin de l’Élysée. Oui, nous sommes en guerre, mais pas contre un virus. Les gouvernements occidentaux ont déclaré la guerre à leurs peuples. Une guerre qui vise à maintenir le peuple en prison à domicile à vie, qui vise à détruire toute forme de solidarité, d’amitié et d’amour entre les individus. À cet égard, la propagande à l’endroit des enfants est horrible : n’embrasse pas tes grands parents, tu risques de les tuer ! Même Joseph Goebbels n’avait pas osé. Face à cette situation, le choix des peuples est soit la soumission, soit la résistance, la révolution ou le contournement.
Dans notre lettre ouverte, nous indiquions notamment être disposés à soutenir les politiques.
Or, une partie de ceux-ci et le gouvernement nous ont raillés, méprisés, insultés et aujourd'hui l’État s'acharne sur nous en voulant faire condamner certains de nos camarades.
Nous avons heureusement un allié, le peuple de France, comme le sondage Harris Interactive pour LCI le montre. Pour l'instant nous ne communiquerons que par le site place-armes.fr pour indiquer ce que nous comptons faire.
De plus nous allons ouvrir un espace annexe où tous les civils qui souhaitent nous soutenir pourront s'exprimer et apporter leurs soutiens.
Comme disait Guy Béart : "Ils ont dit la vérité il faut les exécuter."
Notre combat continue. Vive la France.
Nous reviendrons ensuite sur la polémique de la tribune des généraux dans Valeurs Actuelles qui enfle et qui apparaît comme révélatrice de la fracture qui se dessine dans le pays.
Nous resterons sur le champ de bataille mais électoral avec les élections régionales. A deux mois de l’échéance, la République en Marche patine. Les figures médiatiques de la majorité présidentielle se font discrètes alors qu’une nouvelle défaite pointe le bout de son nez.
Et enfin avant l’actualité en bref, nous ferons un détour par les Etats-Unis pour les 100 jours du nouveau président Joe Biden.
29 avril 2021
Documentaire exceptionnel sur Jacques Attali, l’homme qui reste au pouvoir et regarde les présidents passer sur le trône de France.
Introduction
1 – Les juifs, les musulmans et l’Algérie
2 – La famille Attali
3 – Les années Mitterrand
4 – Au sommet de la hiérarchie communautaire
5 – Un relai des groupes mondialistes
6 – Des échecs sur toute la ligne
7 – D’où tu parles, Jacques ? (Conclusion)
Documentaire en VOD : https://kontrekulture.com/produit/jacques-attali-de-mitterrand-a-macron-40-ans-de-pouvoir-profond/
29/04/2021
C’était aussi rapide que violent.
Lundi 26 avril peu avant 19 heures, une vingtaine de jeunes racailles ont surgi rapidement dans une pharmacie de la route de la Chapelle – tout près du Chêne des Anglais et des quartiers nord de Nantes, connus comme « sensibles », et ont dégradé les lieux, brisant notamment une vitre, avant de s’enfuir.
Peu avant, un de la bande, un jeune voyou âgé de 15 ans seulement, avait été pris en flagrant délit de vol dans une épicerie voisine ; sermonné par le gérant, il était revenu avec sa bande pour faire pression sur le commerçant, qui ne s’était pas laissé faire. La bande s’est alors réfugié dans la pharmacie, où elle a commis des dégradations. Sur place, la police a interpellé un adolescent âgé de 15 ans soupçonné d’être à l’origine de l’affaire.
Par ailleurs ce 25 avril les CRS sont intervenus au pied d’une tour rue d’Angleterre à Malakoff – autre quartier « sensible », dans une rue qui compte de nombreux points de deal, vers 18h30, pour un quad garé au pied d’une tour. Une émeute se forme, au cours de laquelle un délinquant essaie d’arracher le tonfa d’un CRS et d’autres lancent des projectiles sur les policiers ; ceux-ci utilisent les gaz lacrymogènes pour se sortir de là. Un jeune homme, qui s’est présenté comme le propriétaire du quad, a été interpellé, et le véhicule saisi.
Plus tôt ce même dimanche 25 avril, pompiers et policiers sont intervenus pour un feu de parking rue de la Bouscarie de Cetti, dans le nouveau quartier construit au sud de la gare, en direction de Malakoff. Deux voitures ont été complètement brûlées, les causes de l’incendie ne sont pas encore connues.
Autre quartier « sensible », tout près, à Beaulieu, la police est intervenue le 24 avril peu après minuit dans un bar à chicha, le Copacabana, où une quinzaine de personnes s’étaient retrouvées. Elles ont toute écopé d’une amende.
Louis Moulin
Photo d’illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Après 15 jours de torpeur, les sanctions tombent. Florence Parly a annoncé hier la radiation de 18 militaires d’active signataires du texte. Cette décision est « suivie » par le chef d’état-major des armées, le général Lecointre, mais avec une infinité de nuances qui laisse perplexe sur l’unité de l’exécutif dans cette entrée dans une seringue dont il pourrait ne ressortir que douloureusement.
En particulier, le général Lecointre affirme :
Au-delà, je leur conteste à tous, en particulier au général Piquemal qui a déjà été radié, le droit de prendre des engagements politiciens en mettant en avant leur grade.
Réduire la tribune à un « engagement politicien » est une curieuse formulation…
La fronde s’amplifie dans l’armée
par Charles Sannat | 29 Avr 2021 |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
C’est un article de l’AFP relayé par BFM qui fait froid dans le dos.
Si une entreprise sur deux fait faillite, un salarié sur deux sera rapidement sans emploi, à un moment où… l’Etat n’a rien trouvé de mieux que de faire baisser significativement les allocations chômage avec la réforme qui entrera en vigueur au 1er juillet.
Une catastrophe sociale annoncée s’annonce.
« Selon
une enquête de la CPME, 39 % des TPE et PME subissent des retards de
paiement, tandis que 60 % disent avoir constaté une baisse de plus de
moitié de leur chiffre d’affaires au mois de mars.
Plus
d’un dirigeant de PME sur deux (55 %) craint la faillite de son
entreprise à cause de la crise liée au coronavirus, selon une enquête
réalisée par la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME)
et publiée vendredi.
Parmi les 3 416 dirigeants ayant répondu à un questionnaire en ligne du 2 au 16 avril, 60 % disent avoir constaté une baisse de plus de moitié de leur chiffre d’affaires au mois de mars. Seuls 8 % n’ont pas subi de perte de revenu.
Au moment de l’enquête, 65 % des entreprises répondantes étaient fermées, dont 49 % du total sur décision administrative ».
Vous remarquerez les chiffres effroyables.
65 % des entreprises étaient fermées, et seulement 49 % sur décision administrative, ce qui veut dire que 16 % l’étaient faute de clients même si elles avaient le droit d’être ouvertes.
Retards de paiements.« Les difficultés des entreprises « sont renforcées par le fait que 39 % des TPE-PME subissent des retards de paiement », relève dans un communiqué l’organisation patronale, qui juge les résultats de son enquête « alarmants ».
Moins de la moitié (48 %) des entreprises répondantes déclarent honorer toutes leurs factures à la date prévue, 36 % reconnaissent reporter le paiement de certaines d’entre elles et 16 % disent payer toutes leurs factures avec retard.
Si la moitié des entreprises disposent d’une trésorerie leur permettant de couvrir entre un et trois mois d’exploitation, plus du tiers (36 %) n’ont pas de quoi tenir un mois ».
83 % de recours au chômage partiel« Sur le volet social, 83 % des entreprises répondantes ont recouru au chômage partiel et 5 % envisageaient au moment de l’enquête d’utiliser ce dispositif qui concerne près de 9 millions de salariés et permet de faire payer ceux qui ne travaillent plus par l’État en attendant une reprise de l’activité.
Faudrait peut-être voir à calmer le jeu !
Des militaires – en fait, des militaires à la retraite, sans doute pour l’immense majorité d’entre eux – signent une tribune à l’adresse du président de la République et ça s’affole sur le champ de bataille médiatique et politique. Ce week-end, c’était Jean-Luc Mélenchon, que l’odeur de la poudre d’escampette excite et pousse à monter à la barricade. Et Macron, chef des armées, qui ne réagit pas. Faut faire quelque chose, la République est en danger !
La peur, non pas des militaires, mais de se faire déborder par sa gauche, le gouvernement sort alors de la tranchée, casque sur la tête, baïonnette au canon, en envoyant ses bons petits soldats, genre Marie-Louise de 1814. D’abord, le ministre des Armées, Florence Parly. Normal. C’est son job. Dimanche soir, elle mitraille sec un tweet : « Les armées ne sont pas là pour faire campagne mais pour défendre la France. » Qui a dit le contraire ?
Puis, Agnès Pannier-Runnacher, de la macronite à l’état pur, ministre de l’Industrie (pas de guerre), fait son baptême du feu en s’en prenant à « ce quarteron de généraux en charentaises ». L’art de recycler les vieilles formules comme les vieux pneus ou les papiers usagés. Au fait, elle en sait quoi, la dame, qu’ils sont en charentaises, les généraux en retraite ? Et puis, après tout, c’est bien, les charentaises, non ! C’est fabriqué en France, pas en Chine. Enfin, pas encore. On lui a demandé si elle fait ses courses chez Auchan en claquettes ? Cela dit, ça nous étonnerait. Faut reconnaître qu’avec cette formule, c’est la Légion d’honneur au feu médiatique assurée pour cette ministresse qui déclarait, en mars 2020, lorsque la guerre contre le virus faisait rage et que ça tombait comme à Gravelotte dans les hôpitaux, que c’était « plutôt le moment de faire des bonnes affaires en Bourse aujourd’hui ». C’est bien connu : « Acheter au son du canon et vendre au son du violon. »
Le Président est, paraît-il, en colère. Il y a de quoi !
Le ministre des Armées ne connaît, en effet, pas la loi portant statut général des militaires, et le ministre chargé de l’Industrie à Bercy s’est invité dans le débat. De quoi j’me mêle ? À la place du chef des armées, je ferais le ménage.
Un petit rappel de la loi portant statut général des militaires s’impose. Elle précise, en préambule, que « les militaires jouissent de tous les droits et libertés reconnus aux citoyens ». Tiens, des citoyens !
Et l’article 4 de préciser : « Les opinions ou croyances, notamment philosophiques, religieuses ou politiques, sont libres. » Tiens, politiques !
Il y a quelques restrictions, notamment « il est interdit aux militaires en activité de service d’adhérer à des groupements ou associations à caractère politique […] Les militaires peuvent être candidats à toute fonction publique élective ; dans ce cas, l’interdiction d’adhésion à un parti politique […] est suspendue pour la durée de la campagne électorale. En cas d’élection et d’acceptation du mandat, cette suspension est prolongée pour la durée du mandat. » Ce fut le cas du maréchal de Mac Mahon, premier véritable président de la République de 1873 à 1879 et, plus tardivement, d’un certain de Gaulle. Deux saint-cyriens. À quand le troisième ?
Le statut précise enfin, et notamment à l’article 74 : « La cessation de l’état militaire intervient d’office dans les cas suivants : […] dès l’atteinte de la limite d’âge ou de la limite de durée de service pour l’admission obligatoire à la retraite »…
Nos citoyens à la retraite sont donc bien des « civils » de plein droit, sans restriction aucune. Ayant eu, en outre, l’honneur de porter les armes de la France pendant un certain nombre d’années, et sachant d’expérience, parfois dans leur chair, de quoi ils parlent, ils sont tout spécialement fondés à dire qu’il faudrait quand même se « bouger un peu » avant que de plus graves événements n’arrivent en France, si on considère parmi mille autres exemples que la décapitation d’un professeur, l’assassinat d’une policière, le passage à tabac des époux Tapie ou les plusieurs centaines de « zones sensibles » qui font tache d’huile et sont autant de Kosovo ne sont pas des motifs assez suffisants pour réagir.
Où est le problème ?
26 avril 2021|
"Jugeant qu’il y a péril en la maison France, vingt officiers généraux de la deuxième section et plus de mille militaires en retraite ou du cadre de réserve ont lancé un appel aux instances gouvernementales.
Voici sans esprit de polémique l’opinion émise à titre personnel par un groupe de citoyens qui ont en commun d’avoir servi à une période active de leur vie comme officiers dans l’une des trois Armées. C’est à ce titre qu’ils partagent une inquiétude concernant le présent et l’avenir de la France qu’à terme plus ou moins rapproché ils lègueront à leur descendance.
Ce faisant aucun ne revendique pour autant la représentation de l’opinion des militaires d’active ni ne suggère un quelconque engagement de la part de ces derniers, eux qui sont dédiés à servir activement et souvent au péril de leur vie leur nation considérée comme un tout.
“L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent.”
(…..)
“Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.”
Ces militaires font un constat que l’on ne peut que partager dans sa généralité mais apparait plus discutable quand on en vient au choix plus précis des dits dangers.
Quant à la solution pour éradiquer le grand péril, il apparait n’être qu’un vœu pieux.
En effet quand on veut soigner un mal il convient de distinguer les symptômes et la racine du mal proprement dite et donc de distinguer le traitement de confort comme disent les médecins du traitement curatif. Ils sont complémentaires. Le premier sans le second est inopérant et, le plus souvent, le second n’est pas humainement supportable sans l’apport du premier.
C’est dans cette approche que réside notre désaccord car si nous partageons la définition de ces dangers ils nous apparaissent comme les simples symptômes d’un mal plus profond à la racine duquel il convient de s’attaquer si l’on veut que la France survive. N’est-il pas illusoire de demander à ceux qui instillent le poison de façon probablement consciente et sans doute en toute sincérité de bien vouloir changer de seringue pour nous instiller le contre-poison ?
Dans sa grande majorité la classe politique de notre pays servie par un système parlementaire plus que séculaire a été depuis des décennies dévoyée par la haute finance qui détient les cordons de la bourse et la maîtrise des grands médias et qui décide donc de qui sera ou non élu, servie en cela par toutes sortes de relais que sont parmi d’autres Bilderberg, Davos, le CRIF et les fratries.
Une vingtaine de voyous se sont attaquées à un policier lors d’une opération antidrogue en Seine-Saint-Denis sous les cris, a appris Sputnik d’une source policière.
L’agent a été lynché par terre et n’a dû son salut qu’à son casque.
Une interpellation de dealers dans le quartier de la Capsulerie, à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), a viré au lynchage. Un groupe d’individus a agressé un membre des forces de l’ordre au sol, hurlant:
«Fumez-le, c’est un smit[un policier, ndlr], tuez-le, ce fils de p***», selon une source policière.
Les faits se sont produits le 26 avril; l’agent doit sa vie à son casque, a-t-elle précisé à Sputnik.
Le fonctionnaire de police, âgé de 32 ans, a porté plainte auprès de ses collègues du commissariat des Lilas, indique LCI. Il s’agit d’un membre du groupe de soutien opérationnel de Paris (GSO 75) qui s’est retrouvé isolé lors de cette opération policière.
Précautions prisesLe quartier de la Capsulerie est connu pour les interventions fréquentes qui y sont effectuées, afin d’y empêcher le trafic de stupéfiants.
Certains agents sont arrivés à pied, d’autres en renfort à deux-roues, informe LCI. Après avoir pris plusieurs précautions, les policiers ont donné le signal pour démarrer l’interpellation. Alors que les agents à pied se sont élancés à la poursuite du suspect tentant de s’enfuir, un fonctionnaire à scooter s’est retrouvé isolé.
Covid-19: un Ehpad où 85% des résidents sont vaccinés devient un cluster près de Montpellier pic.twitter.com/E6Rk2efDXB
— BFMTV (@BFMTV) April 28, 2021
Quelqu'un pour m'expliquer l'utilité de se faire vacciner?
Émission du 28/04/2021
Nous évoquerons ensuite le nouveau projet de loi antiterrorisme qui entérine le virage sécuritaire de l’État. Une réforme qui devrait fliquer encore davantage les Français sans réellement les protéger du terrorisme.
Et puis nous reviendrons sur le vote du Parlement européen entérinant l’accord commercial post-Brexit. Une étape importante dans l’émancipation britannique qui met en relief les échecs de l’actuel projet européen.
26 avril 2021
26/04/2021 – Nîmes (Lengadoc Info) –
Samedi 24 avril il y avait un rassemblement organisé par réinfo-covid à Nîmes contre la dictature sanitaire.
Les occasions de sortir étant peu nombreuses en cette période d’incarcération gouvernementale, et les occasions de protester contre l’inepte mascarade sanitaire qui nous est imposée encore plus rares, je me suis donc déplacé jusqu’à Nîmes en ce beau samedi ensoleillé.
À côté de la Maison carrée, j’ai eu la surprise de découvrir une foule de probablement plus de 500 personnes. Il y avait quelques banderoles, de la musique, des gens qui riaient et discutaient et (presque) pas un masque en vue. En périphérie de ce rassemblement, on pouvait voir quelques curieux un peu étonnés et un petit nombre de policiers réglementairement muselés probablement envieux de l’ignorance délibérée des « règles de distanciation sociales » et de l’atmosphère de liberté qui flottait juste devant eux.
Après un instant théâtral des désormais traditionnels « personnages blancs », le docteur Louis Fouché fit son apparition, sous des applaudissements nourris et enthousiastes et commença à parler.
Habitué des discours de manifestations et des diatribes politiques délivrés par les activistes de tous poils, je dois avouer que j’ai été profondément étonné de ce que j’ai entendu et de ce qui émane de cet homme récemment révélé par les médias sociaux.
Bien sûr, il est scandalisé par le mensonge gouvernemental et médiatique tissé autour d’un virus finalement pas très dangereux et parfaitement traitable. Bien sûr, il dénonce une destruction délibérée de nos libertés et l’instauration sournoise d’une dictature de la peur et de l’enfermement. Une dictature tout court à vrai dire, mais qui ne dit pas son nom et qui ose prétendre nous protéger.
Mais ce n’est pas cela qui m’a étonné chez Louis Fouché. Mon étonnement est venu du fait qu’un discours de nature politique, puisqu’il s’agit essentiellement de protester contre des mesures imposées par le gouvernement Macron, soit en fait un discours aussi humain et chaleureux. Un discours joyeux devant une foule qui scandait le mot « Liberté », un vibrant appel à ce qu’il y a de meilleur en l’homme.
Louis Fouché montre, avec la sincérité désarmante qui le caractérise, qu’on peut aborder la chose politique, la vie de la cité, en citant Spinoza, des principes de philosophie et en appelant chacun à s’interroger sur le sens profond de l’existence humaine, en appelant à un changement intérieur et à l’élévation.
Le covidément Axel Kahn qui veut confiner la planète entière pour l’éternité… a enfin montré son vrai visage à la gare du Nord (Paris).
Le même hubris, la même arrogance… Les constructivistes dans toute leur splendeur et leur permanence….
Et in fine, une petite merde infantile qui ose le “c’est pas moi ! Je n’y étais pas ! C’était à l’insu de mon plein gré”.
Là encore, un signe répétitif. Une marque de fabrique.
(publié par le Canard Enchaîné. Source ici).
By Docteur
Post date April 28, 2021
Après l’émoi causé par l’effondrement brutal de tout ce qui faisait notre quotidien, nous voilà entrés dans les années d’occupation, mornes, interminables.
Le pays est raplapla, au point mort dans tous les sens du terme : économique, social, politique, sanitaire, culturel, moral…
On sait que l’occupant est là, mais on ne le voit pas. Sauf sur les plateaux-télé ou derrière les vitres noires d’un cortège officiel passant à toute allure comme un fuyard. C’est à peine si on rencontre les cerbères de sa police politique censés faire respecter ses consignes de sécurité : couvre-feu, masques obligatoires, zone libre de 10 km de rayon… Comme si les forces d’occupation avaient elles aussi perdu la main. La seule chose qui étonne, c’est qu’elles soient encore là, encore aux manettes du pays. Limite, encore vivantes.
Une résistance aux abonnés absentsProblème, on ne voit pas trop la résistance non plus. Ça gueule sur les réseaux sociaux, d’accord, mais sans plus, de façon de plus en plus sporadique, convenue. Pire, inoffensive. Comme la campagne fébrile qui agite l’arrière-cour des militants pour ce qui risque fort d’être l’ultime spectacle grabataire des pseudo-démocraties : la présidentielle 2022.
Depuis que je suis en âge d’y participer. j’en suis à ma neuvième édition. Et pas une, mais alors pas une qui ait changé quoi que ce soit au long déclin de mon pays, entamé dès la proclamation de la 5ème République. Ah, pour les promesses (appelées aussi « programmes »), ça y va ! Pareil pour les “appels à l’union”, pour “faire barrage à”, pour “ne pas faire le jeu de”… Mais rien.
Il est préférable de marcher seul qu'avec une foule qui va dans la mauvaise direction .
— Le jour viendra où le peuple vaincra (@NaphtalineLeBon) April 27, 2021
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« L'enfer est vide et tous les diables sont ici. »
~ William Shakespeare, La Tempête
« Si vous vouliez dépeupler une partie significative du monde, et le faire d'une manière qui ne nécessiterait pas la destruction de l'environnement avec des armes nucléaires, ou l'empoisonnement de tout le monde avec de l'anthrax ou quelque chose du genre, et que pouvoir le nier de façon plausible vous soit nécessaire, tout en ayant à faire face depuis plusieurs années à une crise sanitaire infectieuse, je ne pense pas que vous pourriez trouver un meilleur plan que celui qui semble exister pour ce que je peux en voir. Je ne peux pas affirmer que c'est ce qu'ils vont faire, mais imaginer une raison anodine de la raison pour laquelle ils le font ne m'est pas possible. »« Dépeuplement » ? Qui a parlé de dépeuplement ? N'est-il pas un peu exagéré de passer d'une campagne de vaccination de masse à des allégations de complot visant à « dépeupler une partie importante du monde » ?
~ Interview avec le Dr Mike Yeadon, « The Delingpole Podcast » — Minute 44:25
« S'il est bien une chose qui est pour moi devenu absolument claire, c'est que même lorsque je parle à des personnes intelligentes, des amis, des connaissances... et qu'elles comprennent que je leur explique quelque chose d'important, à partir du moment où j'en arrive à dire que votre gouvernement vous ment d'une manière qui pourrait conduire à votre mort et à celle de vos enfants, le dialogue s'arrête là parce l'accepter leur est impossible. Et je pense que 10 pour cent d'entre eux comprennent peut-être ce qu'implique ce que j'ai dit, tandis que les 90 pour cent qui restent se mettent à ignorer ce qu'elles ont compris jusqu'à ce moment-là, parce qu'il leur est trop difficile d'aller plus loin. Et mon inquiétude est que nous allons perdre, parce que les gens ne sont pas prêts à accepter la possibilité que des individus soient à ce point démoniaques...
Mais je vous rappelle ce qui s'est passé en Russie au XXe siècle, ce qui s'est passé de 1933 à 1945, ce qui s'est passé en Asie du Sud-Est dans les moments les plus terribles de l'après-guerre. Et, ce qui s'est passé en Chine avec Mao et ainsi de suite...
Il suffit de regarder deux ou trois générations en arrière. Nous sommes entourés d'individus tout aussi malfaisants que les auteurs de ces actes. Ils sont partout autour de nous. Donc, je dis aux gens que la seule chose qui distingue vraiment la situation actuelle [des précédentes - NdT], c'est son échelle.
Mais pour tout dire, on ne peut nier que la situation est moins sanglante, c'est moins personnel, n'est-ce pas ? Les choses sont aujourd'hui bien plus simples pour ceux qui sont aux manettes... Ils n'ont pas à tirer une balle en pleine tête de qui que ce soit. Ils n'ont pas besoin de tabasser à mort qui que ce soit, ou de l'enfermer, de l'affamer, de le faire travailler jusqu'à ce que mort s'en suive. Toutes ces choses se sont produites il y a deux ou trois générations... Ce qui ne remonte vraiment pas à très loin.
Et tout ce que je dis, c'est que des dérives de ce genre se produisent à nouveau, mais que leur outil est désormais la biologie moléculaire. »
25.04.2021
En Espagne, policiers, pompiers et militaires ont manifesté dans la rue d’un commun accord pour la préservation de leurs droits fondamentaux et humains.
Henna Maria décrit dans son interview sur Kla.TV le réveil du peuple espagnol. Laissez-vous inspirer pour faire le premier pas : « Il suffit d'être deux pour commencer », dit Henna Maria. [lire la suite]
Mme Panier Runacher,36 ans.. qui humilie des généraux qui ont combattu en Afghanistan,au Liban au péril de leurs vies.Leurs torts ,avoir osé décrire l’état de la France au bord du Chaos.Oui,36 ans..Je suis écœuré https://t.co/5JMkEc3p8X
— Charles (@Charles23678092) April 27, 2021
Vite, il faut tirer la chasse
Par Jean-Yves Le Gallou
Court, incisif, percutant, arrivant à point nommé : le nouvel ouvrage de Michel Geoffroy, Immigration de masse – L’assimilation impossible est à lire. D’urgence.
Face au nouvel enfumage de l’opinion qui se prépare.
La réalité sur la catastrophe de l’immigration
Depuis quarante ans, pour la doxa politico-médiatique, l’affaire était entendue : il n’y avait pas de problème d’immigration, juste des « chances pour la France », sans parler des délices du « vivre ensemble ».
Aujourd’hui, la réalité explose au visage des Français. L’immigration est une catastrophe. Une catastrophe sécuritaire (inutile, hélas, d’insister !).
Une catastrophe scolaire (il est de plus en plus difficile de trouver des professeurs car ils veulent éviter de commencer leur carrière par cinq ans d’enfer dans les quartiers de l’immigration).
Une catastrophe écologique (plus d’immigration, c’est plus de béton).
Une catastrophe sanitaire avec l’embolie des urgences hospitalières fréquentées par des populations qui ignorent souvent la médecine de ville.
Une catastrophe budgétaire par l’explosion des budgets sociaux et de la fraude sociale.
Une catastrophe pour les libertés car, pour lutter contre le terrorisme, la délinquance et le « séparatisme » des minorités, on limite les droits de la majorité des citoyens.
Bref, il n’est plus possible aujourd’hui de nier que l’immigration est une malchance pour la France. Un autre discours se met alors en place : « Tiens, et si on en revenait à l’assimilation ? » Un petit coup de prestidigitation facile pour homme (ou femme) politique sur un plateau de télévision : de la « gauche républicaine » au Rassemblement national, c’est le nouveau pont aux ânes. Et un petit coup de promo médiatique pour les intellectuels qui s’y mettent. Normalien, énarque, jeune prodige selon son éditeur, Raphaël Doan publie Le Rêve de l’assimilation – De la Grèce antique à nos jours. Un rêve effectivement… Le philosophe et essayiste Vincent Coussedière publie un Éloge de l’assimilation, tout en reconnaissant, lors d’un débat sur TV Libertés, qu’elle est… impossible.
La démonstration de l’impossibilité de l’assimilationL’impossibilité de l’assimilation, c’est précisément ce que démontre – et de manière implacable – Michel Geoffroy.
D’abord en raison du rapport de proportion entre la population
d’accueil et la population à assimiler. Or aujourd’hui, en France, la
population d’origine immigrée représente plus de 25 %. Et les flux
d’entrées – entre 400 000 et 500 000 par an – n’ont jamais été aussi
importants.
C’est aussi affaire de distance d’origines, de cultures, de
civilisations : or, avec une immigration en grande majorité musulmane et
africaine, les écarts de mentalités de nombre d’immigrés avec les
Français de souche n’ont jamais été aussi importants. D’autant que les
liens avec les pays d’origine sont plus faciles à maintenir grâce au
développement des communications et des échanges.
Voilà un mois que notre pays est à nouveau sous le coup d’un confinement décidé unilatéralement par le gouvernement.
Un confinement bâtard qui laisse la population déambuler dehors jusqu’à 19 heures avant d’imposer un couvre feu ; à croire que le virus serait de sortie à la tombée de la nuit.
Le « confinement » appliqué se borne à la fermeture d’environ la moitié des commerces, de la totalité des bars, restaurants, lieux de sortie, et à limiter les déplacements au-delà d’une certaine distance.
Dans l’esprit de bien des gens, tout ceci ne semble pas très cohérent et cause de nombreux dégâts collatéraux. Quand Emmanuel Macron a décidé d’appliquer cette nouvelle vague de restriction, nous étions à une moyenne de 20.000 nouveaux cas de Covid par jour, un taux de décès de 200 morts par jour et un peu plus de 4.000 personnes en réanimation. Les mesures devaient produire leurs premiers effets dans un délai d’un mois. Qu’en est-il, un mois après ? Le nombre de cas quotidien n’a pas bougé, la mortalité s’est maintenue, voire a progressé, il y a plus de 6.000 personnes en réanimation… Et voilà que le gouvernement nous annonce un déconfinement prochain. Progressif, nous prévient-on, mais proche dans le temps.
Mais dans ce cas, pourquoi donc avoir confiné, si c’est pour déconfiner un mois après sans résultat tangibles ? Le gouvernement agit-il vraiment en fonction de la crise sanitaire ou obéit-il à d’autres conditions ? Si l’on suit le gouvernement, sa politique ressemble à du funambulisme, obligé de confiner pour éviter le risque pénal et obligé de déconfiner quand la population semble à bout, quand l’économie est en passe de s’écrouler, et surtout quand les sondages annoncent une montée de Marine Le Pen…
Qu’on me comprenne bien : je suis certain, depuis des mois, que l’on ne peut continuer dans ce système fou de fermeture et de couvre-feu. Je suis certain qu’il nous faudra apprendre à vivre avec ce virus, comme avec d’autres qui viendront sans doute dans le futur. Et, donc, je plaide pour une ouverture totale de tous les établissements, avec des mesures de précaution certes, des protocoles sanitaires, mais on ne peut maintenir notre économie en léthargie plus longtemps.