Il est urgent de fermer les conseils généraux et leurs maisons ainsi que les conseils régionaux et leurs hôtels.
La courbe du chômage s’est stabilisée puis inversée : cela veut dire qu’au lieu de 10.000 chômeurs de plus, nous n’en avons que 8.000…
Vous avez réduit notre dette : cela signifie qu’au lieu d’emprunter 6 milliards en 2013, vous n’avez emprunté que 3 milliards…
La réalité est que le nombre de chômeurs a augmenté et notre dette également.
À présent, il vous faut trouver 50 milliards d’ici 2017 pour atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés.
Vous savez pertinemment – car vous avez quelques notions d’économie – que vous ne les trouverez pas en grappillant un milliard par-ci, un milliard par-là.
Alors, Monsieur le Président, vous qui devenez un socialiste de plus en plus anormal, il va vous falloir trancher dans le vif pour ne pas aller droit dans le mur.
Tôt ou tard, vous serez devant l’obligation de le faire, et je comprends que vous préfériez attendre les élections municipales.
Car le vif, c’est quoi ?
1/ Le mille-feuille des collectivités locales.
2/ La fonction publique.
Ils sont là, les 50 milliards que vous cherchez désespérément, et même davantage. Qu’attendez-vous ?
Il est impératif de réformer les structures régionales, départementales, intercommunales, cantonales et communales, ces structures où les conseillers sont tous vice-présidents car, alors, leurs indemnités sont doublées.
Il est urgent de fermer les conseils généraux et leurs maisons ainsi que les conseils régionaux et leurs hôtels.
150 à 200 fonctionnaires dans chacun d’eux.
Une nouvelle couche vient d’ailleurs s’y ajouter : le pôle métropolitain, qui regroupe les communes sans les supprimer.
Certaines personnes de gauche ont affirmé qu’il fallait s’y résoudre, comme Michel Rocard, Lionel Jospin, Jacques Attali et quelques autres, mais rien ne bouge afin de ne pas déplaire à tous ces politiciens qui se gavent grâce à des cumuls de mandats, des indemnités inutiles, des frais de fonctionnement aberrants, des retraites indexées, voire doublées, en France comme en Europe.
Tout ceci représente quelque 100 milliards d’économies à portée de main.
Pour la fonction publique, ce sera bien plus difficile mais il faudra bien y passer, et plutôt de force que de gré :
1- Ne pas renouveler le départ à la retraite d’un fonctionnaire sur deux, ou de deux sur trois, au moins jusqu’en 2017, et supprimer les promotions automatiques juste avant les départs à la retraite.
2- Rapprocher progressivement la retraite du public et celle du privé. Et bien d’autres « broutilles » comme, par exemple, supprimer un sénateur et un député sur deux.
3- Diminuer leurs salaires de 1.000 euros/mois (économie 11.400.000 euros)
4- Réduire le gouvernement à 20 membres en supprimant les 17 inutiles.
D’ailleurs, pour ces dernières économies, tout le peuple vous soutiendra !
En ce qui concerne les précédentes, comme elles sont impopulaires pour certains, il faudra que vous vous passiez de l’accord des syndicats et que vous ne reculiez pas devant les grèves et les manifs de la rue.
Alors, faites un geste, Monsieur Hollande : il ne s’agit pas ici de votre survie mais de celle de la France, ce pays qui vous a été confié…
Vous avez réduit notre dette : cela signifie qu’au lieu d’emprunter 6 milliards en 2013, vous n’avez emprunté que 3 milliards…
La réalité est que le nombre de chômeurs a augmenté et notre dette également.
À présent, il vous faut trouver 50 milliards d’ici 2017 pour atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés.
Vous savez pertinemment – car vous avez quelques notions d’économie – que vous ne les trouverez pas en grappillant un milliard par-ci, un milliard par-là.
Alors, Monsieur le Président, vous qui devenez un socialiste de plus en plus anormal, il va vous falloir trancher dans le vif pour ne pas aller droit dans le mur.
Tôt ou tard, vous serez devant l’obligation de le faire, et je comprends que vous préfériez attendre les élections municipales.
Car le vif, c’est quoi ?
1/ Le mille-feuille des collectivités locales.
2/ La fonction publique.
Ils sont là, les 50 milliards que vous cherchez désespérément, et même davantage. Qu’attendez-vous ?
Il est impératif de réformer les structures régionales, départementales, intercommunales, cantonales et communales, ces structures où les conseillers sont tous vice-présidents car, alors, leurs indemnités sont doublées.
Il est urgent de fermer les conseils généraux et leurs maisons ainsi que les conseils régionaux et leurs hôtels.
150 à 200 fonctionnaires dans chacun d’eux.
Une nouvelle couche vient d’ailleurs s’y ajouter : le pôle métropolitain, qui regroupe les communes sans les supprimer.
Certaines personnes de gauche ont affirmé qu’il fallait s’y résoudre, comme Michel Rocard, Lionel Jospin, Jacques Attali et quelques autres, mais rien ne bouge afin de ne pas déplaire à tous ces politiciens qui se gavent grâce à des cumuls de mandats, des indemnités inutiles, des frais de fonctionnement aberrants, des retraites indexées, voire doublées, en France comme en Europe.
Tout ceci représente quelque 100 milliards d’économies à portée de main.
Pour la fonction publique, ce sera bien plus difficile mais il faudra bien y passer, et plutôt de force que de gré :
1- Ne pas renouveler le départ à la retraite d’un fonctionnaire sur deux, ou de deux sur trois, au moins jusqu’en 2017, et supprimer les promotions automatiques juste avant les départs à la retraite.
2- Rapprocher progressivement la retraite du public et celle du privé. Et bien d’autres « broutilles » comme, par exemple, supprimer un sénateur et un député sur deux.
3- Diminuer leurs salaires de 1.000 euros/mois (économie 11.400.000 euros)
4- Réduire le gouvernement à 20 membres en supprimant les 17 inutiles.
D’ailleurs, pour ces dernières économies, tout le peuple vous soutiendra !
En ce qui concerne les précédentes, comme elles sont impopulaires pour certains, il faudra que vous vous passiez de l’accord des syndicats et que vous ne reculiez pas devant les grèves et les manifs de la rue.
Alors, faites un geste, Monsieur Hollande : il ne s’agit pas ici de votre survie mais de celle de la France, ce pays qui vous a été confié…
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