Donald Trump a annoncé nommer Robert F. Kennedy Jr. au poste de Secrétaire d’État à la Santé des États-Unis
Donald Trump a annoncé nommer Robert F. Kennedy Jr. au poste de Secrétaire d’État à la Santé des États-Unis. Une nomination qui fait trembler Big Pharma qui trouve là un ennemi farouche de leurs agissements délétères. En outre, Robert Kennedy critique, dès le début, et preuves à l’appui, les injections génétiques contre le covid dont il expose les graves effets secondaires.
Cette nomination serait-elle génératrice d’une prise de conscience, en France, par quelques médias mainstream du système, qu’il existe de nombreux, trop nombreux, blessés du « vaccin » covid ? Peut-être bien.
En tout état de cause, le politiquement correct Le Figaro a publié, le 18 novembre dernier, un article qui donne la parole à ces vaccinés qui connaissent des effets secondaires graves. « On se heurte à un mur » : ces grands perdants du vaccin Covid-19 qui luttent pour la reconnaissance d’effets indésirables, titre ainsi Le Figaro qui ose parler de 200 000 cas d’effets indésirables signalés à la pharmacovigilance.
Les témoignages des blessés du « vaccin » covid se succèdent dans les colonnes du Figaro
Les témoignages se succèdent dans les colonnes du Figaro : « Franck Austrui, 52 ans, se remémore en boucle ces « 12 jours qui ont fait basculer » sa vie » en mai 2021. Ce cuisinier de Charentes Maritime a eu une myocardite à cellule géante à la suite du vaccin Moderna, qui l’affecte encore aujourd’hui.
Sébastien Bettement, agent hospitalier, atteint de myocardite depuis la deuxième dose Pfizer : « J’ai un cœur qui ne pompe plus et se contracte de moins en moins bien. Je n’ai plus de force. À 39 ans, je suis dans le corps d’une personne de 75 ans. Il faut que j’accepte que ce soit pour le reste de ma vie ». Et Le Figaro d’écrire :
« Que valent les 80 000 euros d’indemnisation ? « Pourquoi est-ce si compliqué de reconnaître aujourd’hui que votre myocardite est liée au vaccin ? » regrette son avocat, qui reçoit toujours plus d’appels de personnes soupçonnant le vaccin d’être lié à leurs symptômes et réclamant justice. Et faire reconnaître la responsabilité du vaccin est difficile, épineux, même car il faut au moins 3 critères ! Les effets doivent apparaître tout de suite après le vaccin, aucune cause ne doit expliquer la pathologie et les experts doivent trouver une explication dans la littérature scientifique… « Pfizer et l’Oniam s’engouffrent dans la moindre brèche. Ils objectent par exemple que le signalement a été fait trop tard à la pharmacovigilance – alors qu’à l’époque, trouver médecin qui soit capable de dire que tel effet était éventuellement lié au vaccin n’était pas évident. Ou ils épluchent les moindres détails de la vie du patient, ses antécédents familiaux… pour dénicher une autre cause. Si vous n’êtes pas épaulé dans ce combat, vous n’avez aucune chance ». Et quand les « experts » refusent mordicus de valider la cause vaccinale d’un handicap, d’une maladie… vous êtes Gros Jean comme devant. Combien de vaccinés handicapés à vie ne sont pas reconnus malades à cause du vaccin Covid ? Ça fait baisser les statistiques et ça ne permet pas à l’handicapé de recevoir une somme censée compenser un minimum le préjudice. »
Ces grands perdants ne sont pas des numéros de loterie mais des humains qui ont cru au narratif mensonger déblatéré par les médias, Le Figaro compris
Le Figaro évoque aussi la cofondatrice d’AAVIC TEAM, Mélanie Maupas, 35 ans, atteinte de la maladie de Charcot dont les premiers symptômes sont apparus le lendemain du vaccin. Son espérance de vie est estimée entre 3 et 5 ans. Mais à l’heure actuelle, cette maladie n’est pas signalée comme un effet indésirable des vaccins. « On se heurte à un mur », déplore le père de Mélanie. Ou le lieutenant Sylvain Lagot, sapeur-pompier, lui aussi atteint de la maladie de Charcot dont les premiers symptômes sont apparus le soir même de sa troisième dose Moderna.
Tous ces malades suite à leur vaccination Covid racontent la même chose au Figaro : « leur bataille pour faire reconnaître un lien de causalité, disant se heurter à une « omerta » médicale ».
« Ces grands perdants, commente un lecteur du Figaro, ne sont pas des numéros de loterie mais des humains qui ont cru au narratif mensonger déblatéré par les médias : « le vaccin est sûr et efficace, il n’y a pas d’effets secondaires, tous vaccinés tous protégés ».
Un narratif mensonger dont il faut souhaiter que les responsables soient un jour jugés responsables ET coupables !
Francesca de Villasmundo
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