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mercredi 5 avril 2023

Immigration. Mais qu’est-ce que les Etats Européens attendent pour mettre tout le monde dehors ? [L’Agora]

 

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Votes après votes, les populations européennes font savoir à leurs dirigeants qu’ils ne veulent plus d’immigration, qu’ils en ont ras le bol de voir de plus en plus d’immigrés dans leurs vies, sur leurs écrans, dans leurs journaux….« Mais ils sont français comme vouzemoi » vous répondra une féministe gauchiste avec son air grave. « C’est la couleur de peau qui vous pose problème, ayez le courage de le dire »

Argument qui fait mouche, du fait notamment de la lâcheté des dirigeants des principaux partis dits « populistes » en Europe de l’Ouest. Ces derniers en effet blablatent des chiffres de l’immigration, des entrées, des sorties du territoire, mais ne distinguent nullement d’une part, les Européens, c’est à dire les hommes et femmes appartenant ethniquement à la civilisation européenne, et les autres.

Tout comme le RN par exemple en France, « droit du sol oblige », n’envisage absolument pas de remettre en question le fait que des millions de Français aujourd’hui ne sont pas des autochtones d’Europe. Et qu’avec une démographie largement supérieure aux Blancs, le visage du pays changera totalement demain ethniquement comme celui du continent. Mais pour nos « chers » populistes hypocrites, du moment qu’ils ont des papiers français, italiens, espagnols, ou belges, ….ils sont « comme vouzemoi ».

L’immigration est non seulement en train de totalement déstructurer nos sociétés (avec en parallèle un mouvement gauchiste d’auto-déconstruction, qui fait preuve d’une haine de soi assez sidérante), mais de les transformer en profondeur. La République française, pour ne citer qu’elle, est incapable par définition de savoir aujourd’hui combien d’immigrés clandestins sont sur son sol. Elle est incapable également de savoir, faute de statistiques ethniques, dans quelles proportions la population blanche historique de l’hexagone laisse peu à peu sa place à d’autres populations, africaines, arabes, asiatiques, dans des pans entiers du pays.

Alors comment peut-elle prétendre avoir la maîtrise de la situation ? Le fait est qu’elle ne maîtrise plus rien. Comme les dirigeants britanniques ne maîtrisent plus rien. Ils ont brandi l’épouvantail du Brexit (et l’ont fait), alors même que leur île est colonisée par leurs anciennes colonies du fait des accords du Commonwealth. Mais sérieusement, gauchistes ou pas, vous êtes déjà allé faire un tour à Luton, à Birmingham, à Londres, à Manchester et sa banlieue ? Vous ne voyez pas que les Blancs y sont de moins en moins nombreux ? On ne vous demande pas de vous féliciter ou de condamner, mais c’est une réalité !

Une réalité que nos élites cherchent toujours à nier, ou à minimiser, mais le réel est cruel. Les gens voient. Et croient ce qu’ils voient. Ils ne croient plus les fables des sociologues, des chercheurs au CNRS (qui vous expliquent sans honte qu’il n y a pas plus d’immigrés en France aujourd’hui qu’il y a un siècle, justement parce qu’ils ne font aucune distinction ethnique…puisqu’il n y a pas le droit d’en faire). Ils  ne croient plus au vivre ensemble. Ils voient tous les jours la rubrique des faits divers. Ils lisent. Ils entendent ce qu’il se passe et avec qui ça se passe très fréquemment.

Ils ne sont plus dupes. Encore une fois, leur seul pouvoir aujourd’hui, ces citoyens à qui tout droit de contestation migratoire est refusé, villipendé, stigmatisé, diabolisé, c’est le vote. Et ils vous le disent à chaque fois de plus en plus nombreux : « On ne veut plus d’immigrés chez nous ! ». Bien sûr qu’ils veulent plus de services publics, des meilleurs salaires, de meilleures conditions de vie…Mais avant tout ils ne veulent plus d’immigrés dans le pays ! Et ils savent très bien aujourd’hui que l’argent qui est dépensé dans l’accueil, dans le social, dans l’accompagnement, dans la formation, n’est pas l’argent qui est dépensé pour les autochtones. L’argent qui est dépensé dans la répression de la délinquance n’est pas l’argent qui est dépensé pour les autochtones. L’argent qui est dépensé pour subventionner ceux qui entretiennent toute l’année les vocations migratoires, n’est pas l’argent qui est dépensé pour les autochtones. On continue la liste ?

Oui on sait. Les immigrés ont libéré le pays par centaines de milliers. Ils ont construit la Tour Eiffel, et même sans doute le château de Dinan. Ils ont tout appris aux méchants Blancs que nous sommes. Nous leur devons tout. Les mathématiques, la langue bretonne, La Joconde, le fromage à raclette, le biathlon ! Mais on s’en moque de tout cela. Nous savons toutes les richesses, toute la magie et les joies du mélange et de la mixité que nous avons à perdre en stoppant l’immigration. Nous, peuples d’Europe, voulons simplement vivre entre nous, sur nos terres ancestrales, et sans subir quotidiennement les conséquences de l’immigration.

Alors messieurs les dirigeants Européens, nous vous le demandons encore une fois (n’entendez vous pas la colère qui gronde, celle d’un peuple qui n’a pas envie de mourir ?).

Prenez six mois, un an pour mettre tout ça en ordre et que cela rentre dans le budget. Travaillez avec les compagnies aériennes ou réquisitionnez les. Mettez vos armées au service de leur peuple. Rassemblez tout ce beau monde, en commençant par vider les prisons, et par arrêter tous ceux qui sont déjà fichés comme indésirables sur nos territoires. Cela fera déjà beaucoup de places et d’argent économisé pour les nôtres. Mettez les dans des avions, de gré ou de force. Et ramenez les en Afghanistan, en Syrie, en Afrique, où vous voulez, ça n’est pas notre problème. Quoi qu’il leur arrive. Ils ont fauté ici, leur avenir n’est plus notre affaire. Faites un bras d’honneur aux juges, aux administrations, aux associations (ou envoyez leurs responsables avec leurs protégés) et surtout à leurs pays d’origine, qui devraient craindre de nous refuser quoi que ce soit…

Changez les constitutions, rompez les traités s’il faut, renversez la table, faites ce que vous voulez. Mais dégagez-nous tout ça !

Et proposez ensuite, sympathiquement (et même pourquoi pas financièrement, puisque cela reviendra de toute façon moins cher au pays), à tous ceux qui le souhaitent, et qui vivent pacifiquement sur nos terres, de pouvoir découvrir, redécouvrir, et contribuer au développement et à la construction de leurs terre ancestrale, de leur nation, de leur peuple, de leur continent.

Il est temps de sauver notre civilisation.

« On se parle, on échange des bonjours et des Salem Aleikoum, on tape cinq, on rigole parfois, mais sinon, chacun chez soi, et les moutons seront bien gardés »

Julien Dir

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Crédit photo : DR

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1 commentaire:

  1. J'ai pris un grand plaisir à lire ces quelques lignes. Je pense que beaucoup de monde également. Est-ce du racisme de dire que les bonnes barrières font les bons voisins ? Est-ce du fascisme de ne plus supporter la provocation (vestimentaire, parlée, agressive et financière) en étant forcé de se taire sous peine de sanctions ? On m'a enseigné que tout effet avait une cause... Regardons les lieux de regroupement étrangers; Il y a toujours des effets; D'où viennent les causes ?

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