Réflexions sur l'actualité et la
politique Française.
Avec quelques exceptions sur le reste du monde.
Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
Une vision effroyable et qui correspond pourtant à
la pure réalité de cette secte trés puissante, représentée d'abord aux
yeux de tous par les Georgia Guidestones qui prône un maximum de 500
millions de personnes sur terre
Voir aussi de très nombreuses vidéos de
"mise en garde" sur mes pages dédiées au Covid et à ces "vaccins qui
n'en sont pas" mais bien plutôt des armes biologiques, au lien : https://rumble.com/c/ c-685887
Bruno Le Maire illustre à la perfection le principe qui veut qu'un autocrate, pour régner sans partage, doive s'entourer d'incompétents vaniteux, affligés de surcroît d'une gueule de con. https://t.co/5C458wea8x
⚡🇫🇷FLASH - Ds une vidéo diffusée sur les réseaux, un #ambulancier explique qu'une clinique a refusé une patiente venant pour effectuer un examen du cœur car elle n'avait pas de pass sanitaire. Contactée par 20 Minutes, la société d'ambulance a confirmé les propos de son salarié. https://t.co/T9PV6g8Dq6
Pass sanitaire : les visiteurs du Musée Rolin contrôlés par la gendarmerie
Et d’insister :
Il est peu courant de croiser les gendarmes au musée Rolin, lieu de calme et de culture.
Alors, ce jeudi, les visiteurs ont été surpris de voir arriver les
forces de l’ordre. Quatre gendarmes de la compagnie d’Autun sont venus
effectuer un contrôle des pass sanitaires à l’intérieur des salles.
Peu courant ? Calme ? Oui ! On imagine sans mal la gueule des
quelques retraités en short et tongs, déambulant dans les galeries de
cet ancien hôtel particulier du XVè siècle.
Ce n’est pas vraiment Chicago là-bas, La Courneuve, Beyrouth ni la syrienne Alep…
Autun n’est pas très éloigné du “Trou du cul du monde”, dans le parc
régional du Morvan, avec une population totale de 23 000 habitants.
Ce musée c’est du lourd : 20 000 visiteurs par an ! Le Parc des Princes peut aller prendre sa 3ème dose, et le Château de Versaille se dessaper devant la Galerie des Glaces.
En tout cas le commandant Sipp a fait du bon boulot :
« Nous sommes là plutôt dans un but pédagogique », explique le commandant Franck Sipp.
Que ferions-nous sans ces hommes de valeur ? Face au terrorisme des non-vaccinés, une bose dose de pédagogie est salutaire. Prophylactique.
😲 ÉNORME MANIFESTATION À NICE La simple vue de ce flot humain à Nice montre à quel point @GDarmanin et son ministère se moquent du monde lorsqu'ils osent affirmer que les manifestations ont rassemblé 200 000 personnes sur toute la France. ⚠️Macron joue vraiment avec le feu. https://t.co/3nOpPmXfXo
— François Asselineau (@UPR_Asselineau) July 31, 2021
Souffrant de problèmes cardiaques depuis un mois suite à la première injection de Pfizer . Son quotidien est devenu un Enfer. Il appelle la jeunesse à se mobiliser dans la rue contre l'hystérie sanitaire.
C’est bête de faire des
erreurs, surtout venant de Santé publique France. Surtout qu’ils n’en
sont pas à leur coup d’essai. Dans leur rapport — Covid-19 : point
épidémiologique hebdomadaire du 1er avril 2021 —, le nombre total des
décès dus au virus est publié page 41 : « Entre le 1er mars 2020 et le
30 mars 2021 : Total de 95 364 décès de patients Covid ». Puis, page 43,
tableau 10 : « 14 471 décès imputés au Covid-19 seul, 27 031 décès
imputés au Covid-19, mais avec une ou plusieurs comorbidités, donc un
total de 41 502 décès ». Entre les deux totaux, une différence de 53 862
décès. Ah ! quand même… Le vrai total n’a donc plus rien à voir avec le
bourrage de crâne politico/médico/médiatique.[1]
Que se passait-il en janvier 2020 ?
98 cas de Coronavirus dans le monde, pas de décès.[2]
Le
vaccin contre la Covid-19 avait fait l’objet de recherches, alors que
la pandémie coronavirus (Covid-19) n’avait pas commencé. Ainsi, le
cofondateur de BioNTech a expliqué, le 20 novembre 2020, que son vaccin a
été conçu en quelques heures dès janvier 2020. (Le Point du
12/12/2020 :… Et il n’aura pas fallu beaucoup plus de temps au
cofondateur de BioNTech pour élaborer le précieux élixir. Ugur Sahin
aurait en effet conçu le vaccin en quelques heures à la mi-janvier,
selon The Journal, un podcast du Wall Street Journal…)[3]
13
janvier 2020 : en France, la « sinistre » de la santé du moment, Agnès
Buzyn, et son directeur général de la santé, Jérôme Salomon, classent
l’hydroxychloroquine dans les substances vénéneuses. Étrange, car ce
médicament, utilisé depuis plusieurs décennies, a fait ses preuves sur
le marché. Commercialisé sous le nom de Plaquenil, il ne devient
disponible que sur ordonnance.
Revenons au présent. Tout a commencé il y a quelques jours, lorsque
mon épouse et moi avions décidé de nous prendre quelques jours de
vacances en Bretagne, histoire de nous changer les idées face à la
morosité covidienne et aussi, d’en profiter un peu avant l’imposition du
passe sanitaire liberticide.
Vendredi 23 juillet 2021 : nous étions devant l’entrée du château de
Fougères, quand mon regard fut attiré par une affiche indiquant : « Pass
Sanitaire Covid-19 ». Déjà ! Diantre, rapide comme l’éclair, ce
gouvernement. Pour augmenter le SMIC et les retraites, ça traîne, mais
pour ce genre de choses, ça carbure. En plus, sabotage de la langue
française. Pourquoi écrire « Pass » en anglais ? Pour avoir l’air
branché ? Allô M. Blanquer ? Un commentaire ?
Je prends donc en photo la fameuse affichette que l’on va devoir
subir dans notre champ de vision jour après jour et qui orne déjà toutes
les entrées des sites et des établissements recevant du public. Peu de
temps après, un ami me demande si j’ai regardé la date en bas à gauche
du document. Je jette un œil, et je découvre avec stupeur ceci :
W-0333-001-2003-20 janvier 2020. Suivi du logo ne pas jeter sur la voie
publique.
Beau mâle blanc, bien sous tous rapports, cherche contaminée covid
majeure, vaccinée ou pas, racisée ou pas, pour passe sanitaire. Et plus
si affinités.
En contrepartie d’une charge virale Covid-19, de préférence variant
delta, j’offre déjeuner champêtre au bord de l’eau, avec vin et tapas à
volonté.
Écrire à Riposte Laïque qui transmettra ou poster vos coordonnées dans la rubrique commentaires…
Comme
je n’ai pas l’intention de présenter un schéma vaccinal complet à deux
doses ou un test PCR à chaque occasion, pour satisfaire à l’obligation
du passe abscons de la clique sanitaire, il ne me reste plus qu’à
contracter le virus, avec une personne contaminée consentante, pour
produire un test antigénique positif attestant du rétablissement au
Covid-19.
À moins que le Conseil constitutionnel ne dézingue ce projet de passe
arbitraire et liberticide aux mesures contradictoires et iniques. Mais
ne rêvons pas, cette assemblée de vieilles barbes est aux ordres.
De plus, acheter un passe sanitaire frauduleux tombant sous le coup
de la loi, il est donc préférable de se contaminer, d’autant que la
contamination peut avoir des effets désirables…
Je dirai même plus, à chaque contamination, c’est la vie qui reprend, et l’immunité qui se fortifie. Alors contaminons-nous !
Rare que je sois d’accord sur l’argumentation d’un confrère militant mais dans cette interview je le suis à 96% Ce que g envie de vous dire c'est qu'il faut montrer notre soutien au Dr Montesino qui semble meurtri par la plainte des ahuris soumis, des parjures#SoutienMontesinopic.twitter.com/b5q5hLxEdr
On ne peut pas dire qu’on n’aura pas tout essayé pour inciter les gens à se faire vacciner.
Gabriel Attal,
nouvelle coqueluche, non contagieuse, du gouvernement, a été dépêché
dans l’Hérault, l’un des départements les plus touchés par le covid. « Gabriel Attal, le VRP du vaccin sur les plages », titre Le Figaro.
On se calme, les filles, le jeune homme pressé a gardé son costume
cravate sous le parasol. On apprend donc que le porte-parole du
gouvernement a échangé, jeudi, avec des restaurateurs et des patrons de
discothèques, sur une plage privée de La Grande-Motte. Il était flanqué
des régionaux de l’étape, les députés Coralie Dubost et Patrick Vignal,
celui-là même qui déclarait en décembre 2020 : «
Ceux qui ne veulent pas se faire vacciner, ça me dérange pas. Par
contre, ils devront assumer de ne pas être dans l’espace public. » Donc, une plage privée. Pourquoi ? C’est sans doute plus chic et mieux fréquenté. Mais peu importe, ce n’est pas le sujet.
En tout cas, le « VRP du vaccin », c’est assez bien trouvé.
Autrefois, on disait représentant de commerce. Qui n’a pas le souvenir
de Jean Carmet jouant l’un d’eux dans Comment réussir quand on est con et pleurnichard.
Vendant du vermouth frelaté dans les débits de boisson, il apitoyait le
bistroquet sur son sort pour refourguer sa camelote et, en guise de «
geste commercial », il offrait une pendule avec carillon inspiré de
l’opéra italien. De toute beauté ! Comment alors résister ? Le sémillant
Gabriel Attal est d’une autre trempe, pas du genre pleurnichard. On va
dire que c’est la Ferrari du commercial, puisqu’aujourd’hui, on dit
comme ça. Un slogan ? Parce qu’il faut un slogan, c’est évident. « Chaque QR Code validé, c’est un cluster évité
». Scientifiquement, je sais pas, mais commercialement, c’est bien
trouvé. Au concours de lancé de tongs du camping des Flots bleus, on
pourra la ressortir. Ça ne claque pas autant que le trop ressassé « Pastis par temps bleu, pastis délicieux », mais c’est pas mal.
Le littoral atlantique jusque-là relativement épargné par la crise du Covid est actuellement en émoi face à l’augmentation des cas de contamination par le nouveau variant du coronavirus.
La préfecture de la Gironde, comme d’autres préfectures des
départements atteints, a décidé de rendre le port du masque obligatoire
dans les zones touristiques et d’interdire la consommation d’alcool
sur la voie publique. Bizarrement cette mesure ne s’applique pas dans
certaines communes, et heureusement le port du masque n’est pas
obligatoire dans les parcs, les jardins, les espaces naturels, et les
plages.
Cet été 2021 sera donc l’été du variant Delta, dont la progression
est très rapide au sein de la population sans pour autant entraîner une
augmentation très significative du nombre de malades et donc
d’hospitalisations. Il semble que ce virus soit effectivement très
contagieux mais relativement peu dangereux si l’on en juge par ce qui se
passe chez nos voisins européens. Peut-être est-ce lié à la vaccination
de masse qui commence à faire effet, ou plus simplement parce que cette
mutation est moins pathogène que le virus initial. Quoi qu’il en soit
on ne peut que s’en féliciter car, alors qu’on pouvait penser que les
autorités reviendraient sur leur politique
de diminution des lits hospitaliers avec cette crise, ce nombre de lits
ne cesse de baisser (il est vrai davantage dans des services de suite
de soins que dans des services d’urgence). Tout se passe comme si les
autorités essayaient par le biais d’artifices contraignants, passe
sanitaire, couvre-feu, confinement, etc, d’adapter l’épidémie aux capacités d’accueil hospitalières, alors que bien sûr ce devrait être l’inverse.
Mais il faudrait pour cela revenir sur les décisions prises il y a déjà plusieurs années pour administrer le marché de la santé
avec des règles de gestion industrielle. Un changement d’objectif qui,
pour ceux qui nous gouvernent, semble totalement hors de question.
Votre adolescent est obligé de faire une piqûre pour retourner au collège?
Avez-vous des amis sur la clôture au sujet des vaccins?
Êtes-vous préoccupé par leurs effets secondaires possibles?
Si vous allez en ligne et faites des
recherches simples sur le terme « Effets secondaires des vaccins
COVID », vous obtenez une ribambelle de liens qui sont étrangement
similaires. « Les effets secondaires sont mineurs et courants. » « Les
effets secondaires sont un signe que votre vaccin fonctionne
correctement. »
Lorsque vous visitez YouTube et
effectuez la même recherche, encore une fois, les vidéos ont un thème
cohérent. « Le risque des vaccins est inférieur aux risques du COVID »
et « les effets secondaires des vaccins sont en fait une bonne chose
». Si vous publiez un commentaire ou une vidéo sur Facebook au sujet des
effets secondaires des vaccins, votre message est supprimé et votre
compte peut être fermé.
Mais lorsque vous allez sur un site
Web non censuré comme Bitchute.com ou Rumble.com et que vous effectuez
la même recherche, vous voyez des centaines de vidéos de vraies
personnes qui ont eu des effets secondaires horribles de leurs
injections.
Ce site Web est dédié à partager la vérité sur ces personnes et leurs témoignages.
Faites attention à vous-même et
faites-vous votre propre opinion. Vaut-il la peine de risquer des effets
secondaires qui changent la vie et même mortels d’un vaccin contre une
maladie à laquelle 99,98 % des personnes de moins de 70 ans survivent ?
Ci-dessous, vous trouverez
d’innombrables histoires d’effets secondaires directement des personnes
impliquées, ou malheureusement, s’ils sont décédés, de leurs proches.
Mes
amis, pour ce premier « Appel à Témoins » dont j’ai lancé l’idée le 26
juillet 2021 et chose promise, chose due, voici le premier épisode
(ci-dessous) en compagnie d’Ananda Guillet, le président de
l’association Kokopelli.
Un
complotiste avant l’heure de plus de 20 ans d’âge — un bon vieux
millésime — qui s’est battu avec sa famille contre le GNIS (Groupement
national interprofessionnel des semences) le premier exportateur au
monde de semences agricoles.
Là on tape sur du très gros bonnet dont
fait partie Monsanto, que tout le monde connaît à travers notamment les
OGM. Kokopelli est la preuve vivante que, avec la volonté, la
combativité, on peut gagner contre ceux que l’on croit puissants.
Vous allez découvrir, à travers cet «
Appel à Témoins », ce qu’est la détermination et comment nous allons
mener le combat jusqu’à la victoire. Le président de Kokopelli a
tout simplement décidé qu’il ne soumettra pas ses centaines de salariés
en les obligeant à porter un masque. Il décide de ne pas faire la
police et appelle solennellement toutes les entreprises françaises à
faire de même.
Un grand merci à Ananda de prendre
ces positions très courageuses de désobéissance, un acte qui fera
certainement boule de neige et nous rendra tous plus forts par cette
solidarité. Il suffit du courage d’un seul pour que le reste suive.
« J’ai aussi envie de faire un appel aux
entreprises, aux employeurs. On a en tant qu’employeurs une force de
dingues. Si une majorité des entreprises, des restaurateurs, des lieux
culturels, des cinémas… disent : on va pas respecter, on va pas jouer
aux flics, on va pas faire une file à droite avec les vaccinés et une
file à gauche avec les non-vaccinés, on ne va pas le faire ! Quels vont
être les moyens de répression de l’Etat ? Si demain, Kokopelli, dans sa
prise de position, a des centaines d’entreprises ou collectivités sur
lesquelles s’appuyer dans son combat, eh bien, on est hyper forts ! »
Les engins de chantiers se pressent autour de l'Arc de Triomphe de la place de l'Etoile (Paris) pour réaliser le rêve de l'artiste contemporain Christo, décédé le 31 mai 2020 : empaqueter le monument.
Un gag profanatoire, pour notre chroniqueur Guillaume Bigot.
Créé en mars 2020 pour défendre la liberté de prescription des
médecins et la mise en place « de vrais protocoles de soins précoces »
dans le cadre de l’épidémie de coronavirus, le collectif rassemble
plusieurs praticiens et professionnels de santé ainsi que des citoyens
et des associations.
Alors que le projet de loi
relatif à la gestion de la crise sanitaire a été adopté par les
parlementaires de l’Assemblée nationale et du Sénat le 25 juillet 2021,
nous avons rencontré Martine Wonner afin de revenir avec elle sur les
principales mesures du texte : l’extension du pass sanitaire, l’obligation vaccinale
des soignants et des personnels en contact avec un public vulnérable
ainsi que la prolongation du régime transitoire de sortie de l’état
d’urgence sanitaire.
Les mesures inscrites dans le projet de loi sont-elles proportionnées et répondent-elles à un impératif de santé publique ?
L’extension du pass sanitaire permettra-t-elle vraiment d’échapper à un nouveau confinement ?
Comment expliquer l’absence de plusieurs parlementaires lors du vote d’un texte aussi important ?
Le gouvernement cherche-t-il à culpabiliser, voire à diaboliser les
Français qui ne souhaitent pas se faire vacciner ou qui sont contre
l’extension du pass sanitaire ?
L’État pourrait-il imposer la vaccination à l’ensemble de la population dans les mois qui viennent ?
Que dit cette crise sanitaire de notre société ? Est-elle l’expression d’une crise plus profonde ?
🎥 Découvrez les réponses de Martine Wonner à ces questions dans la vidéo ⬇
Serions nous revenus aux « heures sombres
de l’histoire » ? Pas de liberté pour ceux qui réclament la liberté.
De plus, on est priés de s’habituer à ce système coercitif qui exige la
servitude volontaire.
Ainsi, à peine 20% de gens imposent leur
volonté à 80% de la population. Et ils l’imposent par une peur,
savamment entretenue et confortée par l’exigence d’un bout de papier
baptisé « passe sanitaire ».
L’employeur devra contrôler ses employés,
les soignants non vaccinés ne seront pas payés, et avec le souhait que
les non-vaccinés ne puissent plus bénéficier des remboursements
médicaux. Plus d’accès libre dans les cafés, les restaurants, les
cinémas etc… etc…
Un certain conseiller ministériel du nom
de Benjamin Attal résume ces mesures en quelques mots « Nous réserverons
une vie de merde aux non-vaccinés ». Avec ce genre d’individu payé
grassement pour un emploi inutile, les ministres sont tellement bien
conseillés que notre pays plonge vers le désastre.
Et Castex, que notre président a sorti de
son anonymat campagnard pour en faire un premier ministre, nous promet
une vaccination obligatoire, courant septembre, si le quorum vaccinal
n’est pas atteint.
On aurait pourtant pu compter sur
l’Assemblée Nationale pour faire échouer ce plan totalement liberticide.
Mais comment attendre des députés un soutien populaire de la part
d’un Parlement godillot ?
La 3/4 des députés étaient absents malgré
leur très républicaine rémunération. Rester bien payé sans rien offrir
en retour, voilà un job idéal par ces temps de chômage !
Selon l’avocat Régis de Castelnau, Véran a
demandé une deuxième lecture avec seulement 20 participants pour faire
passer la loi en force. Ce qui ressemble quelque peu à une certaine loi
refusée par le peuple et votée ensuite par un Parlement tout dévoué à
Sarkosy.
Quant au Sénat, il ne fallait pas en attendre davantage. Ce qui prouve que ces Institutions sont dans la main de l’Exécutif.
Et le Conseil Constitutionnel avec un
Fabius et un Juppé pour décider de la suite à donner à ce
passe-sanitaire pourtant anti-constitutionnel. C’est mal parti ; peut-on
seulement compter sur eux pour l’annuler ou le réformer ? Sinon les
derniers recours seront le CEDH ou la révolte populaire.
Qui décide de la vaccination d’un
mineur contre le Covid-19 ? Et comment ? Que dit le droit ?
Est-elle
obligatoire ? La notion d’« intérêt de l’enfant », pilier
constitutionnel et législatif en matière d’autorité parentale, est mise à
mal par le projet de loi dit de « Gestion de la crise sanitaire » (qui
sera prochainement examiné par le Conseil constitutionnel) .
Nous sommes en juillet 2021, et il est question de permettre à
des mineurs de 16 ans de se faire vacciner sans l’accord de leurs
parents, ou que la décision de vaccination contre le covid-19 puisse
être prise par un seul parent au lieu de deux… Analyse d’une des «
bombes juridiques » que l’Etat souhaite imposer aux Français. Quelle
sera la position des juristes, des avocats, des juges aux affaires
familiales ? Et celle des justiciables et citoyens, au quotidien ? Et
quand je parle de décider, je ne parle pas ici du choix entre Pfizer,
AstraZeneca, Johnson, Janssen, Moderna… Attendons-nous à des recours en
justice dans un contexte d’urgence familiale…
📢🔴🇫🇷 -Les médecins du CIS nous apprennent que les effets secondaires graves du Pfizer pour les jeunes sont masqués dans l’étude scientifique ! Du jamais vu, illégal pic.twitter.com/kepsWDKJk5
RT en masse, les gens doivent savoir@vanille4783 « En 6 mois, 15.000 événements indésirables graves et 1.000 morts [chiffres officiels]. Cette mortalité vaccinale inédite est particulièrement grave. Dissimuler un tel danger à la population est tout simplement criminel. » https://t.co/DkCkwhnl7R
C’est un article de LIbération qui revient sur la dernière étude d’Oxfam qui
s’étouffe devant les profits engrangés par les Laboratoires.
Avec ça, je
dirais de manière très perfide que l’on va pouvoir financer de très
nombreuses campagnes électorales dans le monde et en particulier en
Europe, mais comme vous le savez, la corruption n’existe pas, et ils
sont tous gentils et aimables.
Dire l’inverse serait du complotisme.
Forcément.
« Les géants pharmaceutiques font passer leur intérêt financier avant l’intérêt général »
« Les
prix des vaccins auraient été gonflés artificiellement par les sociétés
pharmaceutiques profitant de leurs monopoles. La France aurait ainsi
payé au moins 4,6 milliards d’euros de surcoût et l’Europe 31. Cette
situation handicape particulièrement la vaccination dans les pays
pauvres, au point qu’Oxfam parle de «pénurie organisée».
31
milliards d’euros. C’est le montant que Pfizer et Moderna auraient
engrangé sur le dos de l’Union européenne grâce aux contrats de
livraison de vaccins qu’ils ont signés. Une enquête menée dans le cadre
la People’s Vaccine Alliance, dont Oxfam est membre, a analysé les
techniques de production des vaccins à ARN messager de ces deux géants
pharmaceutiques pour en déterminer le coût réel de production.
Il est
estimé à 1,18 dollar (0,99 euro) la dose pour le Pfizer et 2,85 dollars
pour le Moderna, tandis qu’ils sont vendus entre 16,25 et 19,50 dollars
pour l’un et entre 19,20 et 24 pour l’autre.
Que pensez-vous de l’annonce de Jean-Michel Blanquer précisant qu’en cas de Covid, un élève non vacciné serait évincé ?
Tout le monde fait de la surenchère en ce moment. Avec le passe sanitaire, on a clairement établi deux catégories de citoyens. Jean-Michel
Blanquer va nous fabriquer deux catégories d’élèves. Il faudrait être
clair sur un point : qui va dire que tel élève est vacciné ou non ?
Va-t-on se fier aux déclarations sur l’honneur des parents ?
L’idée est de dégager
les élèves non vaccinés, qui sont dans la tranche d’âge où les symptômes
sont bénins, en excluant les élèves ayant les stigmates non vaccinés.
Il a également dit que
les élèves non vaccinés resteront chez eux pour suivre les cours en
distanciel si un cas se présente. Jean-René Girard, le président du
SNALC [Syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur,
NDLR], a dit qu’il en était hors de question. Les profs
vont faire cours toute la journée en présentiel et ils devraient faire
cours en distanciel le soir ? Ou bien on branche un micro dans la
classe, mais ce sera à sens unique, l’élève ne peut pas intervenir. Des
élèves sont totalement déscolarisés depuis un an et demi, c’est
compliqué du côté des enseignants d’avoir des classes où les deux tiers
des élèves ont perdu l’habitude d’être en cours.
Ils ont moins de 30 ans, ils sont en bonne santé… Alors qu’ils étaient favorables au vaccin, son obligation soudaine leur laisse un goût amer.
Agacés, ils ont déployé des trésors d’imagination : achat de faux passes,
recherche d’un médecin complaisant qui proposerait des demi-doses,
tests sérologiques avec l’espoir d’échapper à la deuxième dose et
(encore plus surprenant) envie d’être contaminés par le virus lui-même.
Un climat qui ne porte pas à la confiance
Cela fait maintenant plus d’un an qu’ils sont cloîtrés chez eux. Le
télétravail, les cours en ligne, l’interdiction de réunions, de sorties
culturelles, d’activités de loisir sont devenus leur quotidien. Ces jeunes
sont maintenant dans une impasse : poursuivre cette routine intenable
ou se faire inoculer un vaccin encore en phase expérimentale pour
combattre une maladie que la plupart ne redoutent pas pour eux-mêmes. La
situation échauffe les esprits, d’autant plus que la tendance n’est pas
à la confiance envers un gouvernement qui n’hésite pas à leur mentir (Macron affirmait, en décembre, que le vaccin ne serait jamais obligatoire !).
Difficile de ne pas donner raison à ces esprits méfiants, quand on sait que seulement 37 morts du Covid ont été recensés dans la tranche des 20-29 ans, en 2020, en France.
Face à ce chiffre dérisoire, certains préfèrent prendre le risque
d’attraper une maladie dont on commence à connaître les effets plutôt
que faire partie des cobayes, conscients que le gouvernement ne fera pas
amende honorable en cas d’éventuels effets secondaires. On peut, en
effet, souligner qu’aucune garantie n’est offerte, les laboratoires
s’étant dédouanés de toute responsabilité
lors d’un accord signé avec leurs acheteurs.
A la une de ce journal : J-11 avant le passe
sanitaire en France.
Une mesure très contestée qui met en exergue une
multitude de contradictions tant au niveau national qu’européen.
Nous évoquerons ensuite les Jeux Olympiques de Tokyo entachés avant
même leur commencement par des polémiques. Des olympiades qui tournent
toujours plus à la récupération idéologique par des puissances
occidentales.
Et enfin avant l’actualité en bref, nous ouvrirons une petite page
économie en évoquant le ralentissement du secteur touristique.
La future loi sur la vaccination obligatoire des soignants contre le COVID, en l'état actuel de sa rédaction, soulève de vraies difficultés constitutionnelles que je vous explique dans cette vidéo de conseils sur l'attitude à tenir.
Il paraît peu vraisemblable que le Conseil Constitutionnel n'en pointe pas quelques-unes. C'est en particulier le cas de la suspension unilatérale sans salaire du contrat de travail sans possibilité de recours pour le salarié ou le fonctionnaire. Voici pourquoi.
La loi sur le passe sanitaire, si elle est validée par le
Conseil Constitutionnel, devrait instaurer une vaccination obligatoire
contre le COVID contre les soignants des hôpitaux, et quelques autres
professions (dont les ambulanciers et les sapeurs-pompiers, mais pas les
policiers…), sous peine d’une suspension immédiate de salaire, qui peut
durer le temps qu’elle doit durer. Cette suspension, que nous
détaillons dans la vidéo ci-dessus, s’accompagne d’une interruption de
salaire. Aucune procédure d’appel de cette décision n’est prévue.
Mais ce principe est-il bien constitutionnel ?
Un petit rappel sur ce qu’est la suspension
Ce
débat est en apparence technique, mais il est essentiel pour
l’application de la loi, qui n’est probablement pas au bout du désordre
qu’elle va semer dans le pays (essentiellement parce qu’elle est mal
ficelée et préparée selon les principes de l’amateurisme tant vanté par
Emmanuel Macron). Il y a un problème autour de la notion de suspension
du contrat de travail.
MPI a reçu l’émouvant et poignant
message d’une épouse dont le mari, pompier professionnel, refuse de
céder à la dictature sanitaire et qui, par conséquent, va se retrouver
privée de revenus. Une famille de six personnes écrasée, sans état
d’âme, sous le rouleau compresseur du mondialisme apatride.
Soutien sans faille et courage à ces
premières victimes qui ne veulent pas céder devant les nouveaux nérons
aux ordres des bigpharmas et autres Soros, Bill Gates et consorts dont
la compassion est réservée aux “migrants”.
La famille qui nous écrit a refusé l’anonymat que MPI lui proposait.
Elle tient à clamer haut et fort ce qui lui arrive afin que personne ne
puisse douter de la réalité des faits. Ceux qui connaissent l’histoire
de cette famille et son engagement pour une France catholique et fidèle
ne seront pas étonnés.
Quant à nous, nous nous inclinons devant ce que l’on peut résumer par la formule “honneur, force et courage“.
Merci madame, merci monsieur. Soyez assurés de notre soutien et de nos
ferventes prières aux pieds de Notre Dame qui, telle une armée rangée en
bataille, peut tout !
Le message reçu à la rédaction de MPI
Bonjour messieurs,
Je suis l’épouse d’un pompier
professionnel d’Ille-et-Vilaine. Je viens d’écrire une lettre au
Président du SDIS 35 afin de lui faire part de mon indignation face au prochain licenciement de mon mari suite à son refus catégorique de se faire vacciner. A l’heure où je vous écris il s’agit il s’agit d’une mise en congés sans solde forcée.
Je vous serais très reconnaissante de bien vouloir la diffuser si vous la jugez intéressante. Un grand merci par avance.
Bien à vous.
Sterenn de Penfentenyo
La lettre de Mme Sterenn de Penfentenyo envoyée au Président du SDIS 35
Le cabinet McKinzey serait payé 2 millions d'euros par mois pour conseiller le gouvernement.
Alors que la loi prévoyant l’extension du pass-sanitaire vient d’être adoptée par la commission mixte paritaire du Sénat et de l’Assemblé nationale, celle-ci doit être étudiée par le Conseil constitutionnel pour vérifier sa conformité avec les grands principes fondamentaux de la République établis par la constitution. L’institution qui est composé de 9 membres et est présidée par Laurent Fabius - l’ancien premier Ministre de François Mitterrand - vient de préciser qu’elle rendrait sa décision d’ici le 5 août.
Cette loi qui a été largement pilotée et décidée par la Présidence de
la République et le gouvernement à l’initiative de ces mesures est
considérée par de nombreux français comme portant atteintes aux libertés
fondamentales et ils attendent avec impatience que statue cette
instance indépendante garante de notre Constitution.
Dans cette affaire, le point troublant est le rôle du cabinet de
conseil et de lobbying américain Mc Kinzey qui, selon des informations
déjà dévoilées en janvier par le site Politico,
a été engagé comme consultant par la Présidence de la République pour
le déploiement en France de la politique vaccinale dans le cadre de la
lutte contre le covid.
Ce cabinet
est donc rémunéré pour que ses « experts » accompagnent les
fonctionnaires chargés de la politique vaccinale pour définir le cadre
de la logistique et « soutenir la coordination opérationnelle du groupe
de travail ».
Selon le Point, cette prestation est payée 2 millions d’euros par mois.
Le député Olivier Marleix, par ailleurs auteur du livre « Les liquidateurs », avait dénoncé sur Twitter cette situation : « Absolument
sidérant ! Qu’est-ce que McKinsey vient faire là-dedans ? On a un
ministère de la Santé, un ministère de l’Intérieur et un ministère de La
Défense armée en gestion de crise... pour peu qu’on sache les
mobiliser. Après les ARS hors-sol, un cabinet de conseil US ».
On peut effectivement s’interroger sur la présence d’un cabinet de
conseil et de lobbying comme structure d’accompagnement de l’Elysée mais
on ne peut qu’être sidéré lorsque l’on apprend sur le propre site
Internet de la compagnie que celle-ci se range parmi les leaders dans le conseil des sociétés pharmaceutiques :
C’est
un article saisissant du Figaro, qui reste un journal autorisé et non
complotiste, qui fait part du « grand sentiment d’injustice » qui frappe
les vaccinés infectés et malades qui peuvent à leur tour transmettre le
virus à leurs proches même vaccinés.
Pourquoi tant d’incompréhension ?
Parce
que les gens sont gentils et aimables et aiment croire en la parole
publique forcément, cela rassure. Et puis l’histoire est tellement
simple. Vaccine-toi et tu ne crains plus rien, grâce au vaccin tu
obtiens un totem d’immunité !
Voilà pour la propagande vaccinale et le » se retrouver »…
Sauf que la réalité est très différente.
Après 8 mois, l’efficacité vaccinale s’effondre dans toutes les classes d’âge.
Les vaccinés doivent être masqués (dernière recommandation du CDC américain).
Les vaccinés sont aussi contagieux que les non-vaccinés !
Je
cite ici mon ami Phillipe Bechade qui est l’un des premiers à parler
des dernières déclarations de Fauci aux Etats-Unis qui est le Monsieur
Covid du pays.
Nous allons de révélations en coups de théâtre : après la CDC qui admet que les tests PCR ne permettent pas de distinguer le Covid de la grippe, c'est au "boss", le Dr Fauci d'admettre que « La charge virale du variant delta des vaccinés est la même que celle des non-vaccinés » ! https://t.co/3Pc2FtZJoE
Le pass sanitaire est une escroquerie sanitaire et ne sert aucun
objectif de santé publique. C’est un pass politique ou un pass
d’imbécile, mais certainement pas un outil de santé publique.
Même
la très officielle et anti-complotiste AFP explique les âneries de
ministres, ici la dernière en date, celle de Blanquer, qui va passer
pour l’imbécile de l’année!
Le parquet de Montpellier, dans l’Hérault, indique, mercredi 28 juillet, à France Info, qu’une information judiciaire « en recherche des causes de la mort » est ouverte après le décès d’un jeune homme à la fin du mois de juillet, « une mort provoquée par le vaccin contre le Covid-19 selon un homme disant être son père(??*)». Une autopsie va être conduite pour connaître les causes véritables de sa mort.
« Des investigations complémentaires seront sans doute nécessaires »
Le procureur de la République de Montpellier, Fabrice Bélargent,
précise que la piste d’une grave allergie alimentaire est aussi étudiée
et que « cette autopsie ne sera sans doute pas conclusive ». « En effet, explique-t-il, même
s’il est établi à l’issue que le décès résulterait d’une allergie, il
est d’ores et déjà établi que le jeune homme a absorbé peu avant son
décès un aliment pour lequel il avait une allergie connue ». La piste d’une grave allergie alimentaire est donc aussi étudiée, mais « des investigations complémentaires seront sans doute nécessaires ».
Maxime Beltra, 22 ans, est mort le 26 juillet, à 23 heures. Il avait
reçu une première dose de vaccin le même jour, à 14 heures, au centre de
vaccination de Sète. Dans une vidéo montrant le certificat de
vaccination du jeune homme, on entend un homme qui affirme être son père
accusant le vaccin d’avoir provoqué la mort de son fils et dénonçant
les décisions « criminelles » et « corrompues » du gouvernement.
— LE GÉNÉRAL Officiel🗨 (@LE_GENERAL_0FFL) July 27, 2021
Un autre cas de complication grave fait parler de lui dans l’Aude. Celui
de Quentin Caron, 18 ans, entré en réanimation à l’hôpital de Narbonne,
quelques jours après avoir reçu une première dose de vaccin Pfizer. Le
jeune Audois était victime d’une myocardite, une inflammation du muscle
cardiaque. Selon le compte rendu médical, relayé par France 3 Occitanie, « l’imputabilité du vaccin est fortement suspectée ». Il restera huit jours à l’hôpital, dont trois en réanimation.
* Depuis le brutal revirement pro-vaccin de Robert Ménard, on dirait que la ligne éditoriale de BV à changé?
C’était assez simple à
comprendre : tu ne feras pas ci, tu ne feras pas ça. Point barre.
Comme
on gravait tout ça dans la pierre,
il n’était pas question d’y revenir avec des amendements tous les trois
matins. C’était du « pour durer ». Puis, pour faire court et en zappant
quelques millénaires, on a inventé les édits, les ordonnances, les
lois, d’où découlèrent décrets, circulaires et autres dépêches, arrêtés
ministériels, préfectoraux, municipaux, etc. Et, au bout du bout, le
règlement intérieur, punaisé avec trois punaises – faute d’avoir trouvé
la quatrième au fond de l’armoire à fournitures de bureau – sur le
panneau de liège, près de la machine à café.
Jadis, donc, une loi, s’écrivait en quelques lignes. Sujet, verbe
complément. Nul n’était censé ignoré la loi, d’autant qu’elle était
assez facile à comprendre : « Tout condamné à mort aura la tête tranchée »,
récitait le Schpountz sur tous les tons. Avec le développement du
traitement de texte et de cette merveille que l’on appelle le
copier-coller, véritable machine à débiter de la diarrhée verbale, tout
s’est emballé de façon exponentielle alors que, curieusement, l’on
supprime le papier… Ajoutez à cela les alinéas de loi ou décret
supprimant tel bout de phrase de telle loi ou tel décret, plus la
pratique de la double négation, s’adonner à la lecture d’un texte
législatif ou réglementaire relève aujourd’hui d’un véritable jeu de
piste. Avec l’instauration du passe sanitaire, nul doute que l’on va atteindre des sommets dans l’extase administrato-sado-masochiste.