Le 27/10/2016
Publié le 26 octobre 2016 - par Paul Le Poulpe -
Préfet socialiste, est-ce que tu te rends compte ce que tu es en train de faire à la France, à tes compatriotes ?
Préfet socialiste, est-ce que tu te rends compte que tu es complice, par ton action, d’un génocide organisé contre un peuple qui te paie, te nourrit, et duquel tu devrais être au service ?
Préfet socialiste, est-ce que tu te rends compte que, en imposant des clandestins dont tu sais qu’ils n’ont rien à faire sur le territoire français, qu’ils sont majoritairement hommes seuls, musulmans, parfois djihadistes, dont tu connais la violence dont ils ont été capables, des mois durant, contre les forces de l’ordre, les routiers et les Calaisiens, tu te comportes en assassin du « vivre ensemble à la Française », qui faisait que, dans nos villages, il demeurait des endroits qui n’étaient pas encore des Territoires perdus de la République, où les Français pouvaient aller faire leurs courses sans fermer leur porte à clé ?
C’est cette France que tu es train d’assassiner.
Préfet socialiste, est-ce que tu te rends compte qu’en acceptant, le doigt sur la couture du pantalon, les ordres criminels de Cazeneuve et de ce gouvernement, tu te comportes en complice des fossoyeurs de la France, et en allié objectif des envahisseurs qui veulent remplacer les lois de la République (que tu es payé pour faire appliquer) par la charia ?
Préfet socialiste, est-ce que tu te rends compte, toi qui dois veiller au respect des lois de la République une et indivisible dans chaque département, que ton action consiste à imposer des personnes qui n’ont pas le droit d’être en France à des citoyens qui ont payé des impôts toute leur vie, et qui ne veulent pas de ces intrus chez eux ?
Préfet socialiste, est-ce que tu te rends compte qu’en interdisant des manifestations de patriotes opposées à la venue de clandestins dans leur ville, tu t’opposes à un droit fondamental des libertés publiques, que tu es payé pour faire respecter, celui de manifester ?
Préfet socialiste, est-ce que tu te rends compte qu’en déposant plainte devant les tribunaux administratifs pour t’opposer aux référendums que certains maires demandent, tu t’opposes à une autre liberté publique, celui de la parole du peuple, alors que, de mémoire, aucun préfet ne s’est opposé à des référendums sur le droit de vote des étrangers?
Préfet socialiste, est-ce que tu te rends compte qu’en interdisant les manifestations des patriotes qui déposent une demande en bonne et due forme, et en autorisant les contre-manifestations illégales de la gauche collaborationniste, tu commets une faute professionnelle, et remets en cause gravement l’égalité des citoyens devant la loi ?
Préfet socialiste, est-ce que tu n’as pas honte de laisser tes hommes se faire humilier par les clandestins, et d’en arriver à expliquer les actes de criminels qui allument 30 incendies par une tradition culturelle ?
Préfet socialiste, est-ce que tu te rends compte que tu ne te comportes pas en préfet de la République, mais en commissaire politique socialiste, quand 90 % des Français ne veulent pas des clandestins que tu leur imposes, et que le président de la République n’a plus que 4 % de Français qui lui font confiance ?
Préfet socialiste, est-ce que tu mesures les risques que tu vas faire prendre à des Français désarmés, face à des personnes qui n’ont pas notre culture, ni notre mode de vie ?
Est-ce que tu sais que tu mets délibérément en danger les femmes, et que ce qui s’est passé en Allemagne ne fait que confirmer que, dans certaines traditions, les non-musulmanes sont des butins de guerre ?
Est-ce que tu sais que la vision de ces gens sur les enfants n’est pas la même que la nôtre, tout simplement parce qu’ils vénèrent un prophète qui a célébré un mariage avec une enfant de 9 ans ?
Préfet socialiste, es-tu conscient que, comme les attentats musulmans étaient inévitables, des drames arriveront forcément dans les villages où tu imposes tes migrants, et que tu auras sur les mains le sang des victimes ?
Préfet socialiste, aucun d’entre vous, mis en place par Cazeneuve n’a refusé d’obéir à de tels ordres scélérats.
Tu me diras, comme tous les médiocres exécutants des pires dictatures, que tu ne faisais qu’obéir aux ordres.
Ce à quoi je te ferai remarquer d’abord qu’en refusant d’obéir à de tels ordres, à 6 mois d’une élection perdue par les gouvernants actuels, tu aurais envoyé un message de résistance très fort à la France entière, ce qui n’aurait pu qu’être bon pour la carrière qui t’attendait, à l’occasion de l’alternance qui arrive.
Tu n’as même pas été capable de cela, préfet socialiste, tu t’es vautré jusqu’au bout dans la collaboration avec les ennemis de la France, ceux qui la livrent aux nouveaux colons.
Préfet socialiste, par tes pratiques de petit dictateur départemental, tu montres que tu n’es pas digne de la France, dans laquelle le monde entier voyait un symbole de liberté, mais que tu aurais fait merveille dans un pays totalitaire.
Préfet socialiste, tu nous as confirmé qu’il y a deux sortes d’homme : des Jean Moulin, qui était préfet, avant de rentrer dans la Résistance, et d’autres préfets comme Papon et bien d’autres.
Le premier a été une exception, tu ressembles davantage au second.
Préfet socialiste, tu devrais te souvenir que Papon a finalement été rattrapé par son passé, et fut condamné par la Justice française, des années après ses actes.
Préfet socialiste, tu n’as pas honte de tout cela ?
Tu arrives à te regarder dans une glace, le soir et le matin ?
Vraiment ?
Préfet socialiste, tu illustres parfaitement les propos de Me Tixier Vignancour, quand il défendait le général Salan : « Un décret fait un préfet, un décret n’en fait pas un homme d’honneur ».
Paul Le Poulpe
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