Le 12/04/2016
Thibaut d'Arcy
Nous accueillons des jeunes hommes bien décidés à expérimenter la liberté sexuelle de nos contrées civilisées.
L’Europe du vivrensemble n’en finit pas de découvrir les innombrables bienfaits que lui apportent les dernières vagues migratoires.
Depuis qu’elle s’ouvre à un Autre qui « vient de ce vaste univers douloureux et affreux que sont la misère sexuelle dans le monde arabo-musulman, le rapport malade à la femme, au corps et au désir » – c’est Kamel Daoud qui le dit -, une rubrique nouvelle est apparue dans les journaux : la rubrique du violerensemble.
Il va de soi que les agressions sexuelles commises par les « migrants », sauf si elles présentent un caractère massif, comme à Cologne, ne défraient pas la chronique.
Elles font désormais partie d’un sinistre quotidien des « sociétés plurielles » qui ne suscite pas l’engouement des médias.
Les faits, lorsqu’ils sont relatés (c’est-à-dire rarement), sont souvent réduits à leur caractère anecdotique afin d’éviter toute « généralisation ».
Dans aucune « enquête exclusive » ou « grand angle » on n’essaie de porter un regard synthétique sur ces violences.
Il suffirait d’abord d’en faire une brève recension pour la période récente.
Autriche : une jeune fille de 13 ans forcée à des rapports sexuels répétés par un demandeur d’asile afghan (thelocal.at, 8 avril) ;
Suède : une adolescente de 15 ans violée dans un centre d’accueil par un migrant afghan (breitbart.com, 5 avril) ;
Suisse : une jeune femme de 25 ans violée devant la gare de Zurich par un demandeur d’asile (valeursactuelles.com, 1er avril) ;
Östersund (Suède) : quatorze agressions sexuelles commises par des personnes « d’origine étrangère », si bien que l’« Earth Hour » a été annulée dans cette ville, pour éviter quelques déplaisants jeux de mains (breitbart.com, 18 mars) ;
vingt autres viols, tentatives et harcèlements commis en Suède par des migrants au cours du seul mois de janvier (express.co.uk, 6 février) ;
France : une femme de ménage victime des « gestes maladroits » de deux migrants au centre d’accueil de Biscarosse (sudouest.fr, 4 février) ;
Belgique : trois jeunes femmes, dont deux mineures, outragées par un trio de demandeurs d’asile syriens, sur la ligne ferroviaire Bruxelles-Tournai (dhnet.be, 16 janvier) ;
Allemagne, en janvier : quatre filles âgées de 11 à 13 ans violentées dans une piscine de Dresde ;
plusieurs femmes importunées à la piscine de Leipzig (medias-presse.info, 23 janvier) ;
Italie : une fille de 14 ans harcelée sexuellement à Salerne par un migrant pakistanais (lesobservateurs.ch, 11 janvier).
Quelques faits parmi d’autres.
N’étant pas un expert en sociologie, je me garderai bien de commenter cette liste affligeante. Je n’essaierai même pas d’en conclure à l’origine culturelle de ces comportements : je n’aimerais pas qu’on m’accuse de faire le jeu de qui vous savez.
Je me contenterai d’observer, avec la plus parfaite neutralité, que nous accueillons des jeunes hommes bien décidés à expérimenter la liberté sexuelle de nos contrées civilisées.
Depuis qu’elle s’ouvre à un Autre qui « vient de ce vaste univers douloureux et affreux que sont la misère sexuelle dans le monde arabo-musulman, le rapport malade à la femme, au corps et au désir » – c’est Kamel Daoud qui le dit -, une rubrique nouvelle est apparue dans les journaux : la rubrique du violerensemble.
Il va de soi que les agressions sexuelles commises par les « migrants », sauf si elles présentent un caractère massif, comme à Cologne, ne défraient pas la chronique.
Elles font désormais partie d’un sinistre quotidien des « sociétés plurielles » qui ne suscite pas l’engouement des médias.
Les faits, lorsqu’ils sont relatés (c’est-à-dire rarement), sont souvent réduits à leur caractère anecdotique afin d’éviter toute « généralisation ».
Dans aucune « enquête exclusive » ou « grand angle » on n’essaie de porter un regard synthétique sur ces violences.
Il suffirait d’abord d’en faire une brève recension pour la période récente.
Autriche : une jeune fille de 13 ans forcée à des rapports sexuels répétés par un demandeur d’asile afghan (thelocal.at, 8 avril) ;
Suède : une adolescente de 15 ans violée dans un centre d’accueil par un migrant afghan (breitbart.com, 5 avril) ;
Suisse : une jeune femme de 25 ans violée devant la gare de Zurich par un demandeur d’asile (valeursactuelles.com, 1er avril) ;
Östersund (Suède) : quatorze agressions sexuelles commises par des personnes « d’origine étrangère », si bien que l’« Earth Hour » a été annulée dans cette ville, pour éviter quelques déplaisants jeux de mains (breitbart.com, 18 mars) ;
vingt autres viols, tentatives et harcèlements commis en Suède par des migrants au cours du seul mois de janvier (express.co.uk, 6 février) ;
France : une femme de ménage victime des « gestes maladroits » de deux migrants au centre d’accueil de Biscarosse (sudouest.fr, 4 février) ;
Belgique : trois jeunes femmes, dont deux mineures, outragées par un trio de demandeurs d’asile syriens, sur la ligne ferroviaire Bruxelles-Tournai (dhnet.be, 16 janvier) ;
Allemagne, en janvier : quatre filles âgées de 11 à 13 ans violentées dans une piscine de Dresde ;
plusieurs femmes importunées à la piscine de Leipzig (medias-presse.info, 23 janvier) ;
Italie : une fille de 14 ans harcelée sexuellement à Salerne par un migrant pakistanais (lesobservateurs.ch, 11 janvier).
Quelques faits parmi d’autres.
N’étant pas un expert en sociologie, je me garderai bien de commenter cette liste affligeante. Je n’essaierai même pas d’en conclure à l’origine culturelle de ces comportements : je n’aimerais pas qu’on m’accuse de faire le jeu de qui vous savez.
Je me contenterai d’observer, avec la plus parfaite neutralité, que nous accueillons des jeunes hommes bien décidés à expérimenter la liberté sexuelle de nos contrées civilisées.
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