Le 23/11/2015
Les mises à l’écart, les ostracismes, les placardisations, les attitudes de mépris, pour pensée déviante, cela suffit ! Basta ! Marre ! D’autant que l’opprobre provient de gens qui devraient raser les murs pour incompétence grave.
Évidemment, il écrit parfois pour un site sulfureux nommé Riposte laïque.
Évidemment, pour ces deux raisons, ses idées sont forcément « nauséabondes » et « rappellent les heures les plus sombres de notre histoire »…
Eh bien, parlons-en, de ces heures bla-bla-bla.
Comment les appeler, ces cinquante heures que nous venons de vivre, entre vendredi 13, 20 h 00 et lundi 15, 13 h 00 ?
Des heures guillerettes, primesautières, aériennes, zéphyrines ?
Oui !
Comment, sinon les heures les plus sombres de notre histoire civile.
Alors les mises à l’écart, les ostracismes, les placardisations, les attitudes de mépris, pour pensée déviante, cela suffit !
Basta ! Marre !
D’autant que l’opprobre provient de gens qui devraient raser les murs pour incompétence grave. ?
N’est-ce pas, Mesdames et Messieurs Hollande, Valls, Taubira, Cazeneuve, Belkacem et autres ?
Qu’a-t-il écrit, notre auteur subversif, dans un message plusieurs fois envoyé au ministre de la Défense ?
Une idée toute simple, lumineuse.
Il part de la constatation qu’illustre à merveille une double photographie qui circule sur Internet.
À gauche, l’exode en France en 1940 : on ne voit que des femmes et des enfants, parfois dans d’invraisemblables caisses à roulettes appelées « poussettes », pas un seul homme – ils ne fuient pas, eux ; ils sont tous restés pour défendre leur pays.
À droite, les « migrants » d’aujourd’hui : que des hommes en pleine force de l’âge et pratiquement pas une femme.
L’auteur propose de transformer ces fuyards en combattants.
À leur arrivée en France – ou ailleurs, si d’autres pays suivent le raisonnement -, destination un camp militaire.
Là, formation intensive, 15 heures par jour pendant sept mois.
On transforme ces fugitifs en soldats « professionnels », en serveurs de mortiers, en fantassins, en démineurs, en commandos pour les meilleurs.
Puis on les renvoie sur le front, défendre leur pays, les armes à la main.
Avantage collatéral : ce « traitement » devrait singulièrement réfréner les envies de migrer.
Pourquoi une telle idée n’obtient-elle pas de réponse de la part des politiques ?
Oui, je sais : les « droits de l’homme » et patati et patata.
Dans les morgues de Paris, 130 personnes s’en moquent bien, aujourd’hui, des bons sentiments à trois balles.
Et puis, vous n’y pensez pas !
Les « migrants », il faut les poutouner, les pauvres !
On ne peut pas en faire de la chair à canon !
Aux Pays-Bas, une réfugiée se plaint de son logement : « Il n’y a pas de télévision : ce n’est pas une vie ! » et elle aura sans doute gain de cause.
Alors, militariser les fuyards, cela confine à la sauvagerie, avec risque fort d’être traîné devant la CPI !
Pourtant…
Pourtant, cette idée est juste, à tous les sens du terme.
C’est sans doute pour cette raison que le pouvoir du moment n’en veut pas.
Oh, à propos : l’auteur s’appelle Francis Gruzelle.
Il est journaliste.
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