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mardi 18 août 2015

Il est interdit d’interdire les interdits de l’islam

                                                    

Le 18/08/2015
Lentement mais sûrement, à un rythme de plus en plus soutenu, certes, sous le régime de Hollande, et toutes choses restant égales, démographiquement la France devrait être islamique aux environs de 2050.
   
Dans cette République Charlie en naufrage, il devient de plus en plus interdit d’interdire les interdits de l’islam.
Lentement mais sûrement, à un rythme de plus en plus soutenu, certes, sous le régime de Hollande, et toutes choses restant égales, démographiquement la France devrait être islamique aux environs de 2050 ; d’une part, la démographie intrinsèque des adeptes de l’islam, la déferlante des «migrants» et autres chances pour la France, bien partis pour rester et, d’autre part, les bienveillantes facilités à l’avortement écourteront probablement cette échéance.
Mais idéologiquement, la République laïque s’y prépare dès maintenant, scrupuleusement, religieusement, en bon élève, en bon frotte-manche qui veut, à tout prix, faire plaisir à son nouveau maître.
 Le lèche-babouche du jour nous vient cette fois-ci du centre.
 En réaction à la décision du tribunal administratif de Dijon qui a rejeté le référé sur la question d’urgence contestant la décision de supprimer les menus de substitution dans les cantines scolaires, la moutarde est rapidement montée aux narines d’Yves Jégo, député UDI, qui a lancé une pétition soutenue notamment par Cécile Duflot, pour un projet de loi afin d’imposer « une alternative végétarienne obligatoire dans les cantines scolaires ».
 Celui-ci estime que ce menu « laïque » permettrait « à ceux qui ne veulent pas de viande ou de poisson, quelle qu’en soit la raison, de se nourrir de façon équilibrée ».

Au-delà de l’ineptie nutritionnelle de ladite proposition – la valeur quantitative et surtout qualitative des protéines animales est inégalable par rapport à celle des protéines végétales, en particulier chez des omnivores en pleine croissance, mais là n’est pas le sujet -, cet accommodement irraisonnable marque une capitulation supplémentaire face aux exigences communautaristes des adeptes de l’idéologie islamique.
Après avoir banni le porc, imposé un menu dit laïque pour contenter nos compatriotes musulmans éminemment tatillons en matière culinaire, peut-être faudrait-il également proposer une loi pour bannir toute viande non halal dans toutes les cantines, et non seulement scolaires, une autre pour restreindre toute alimentation diurne en public en période de ramadan, afin de ne pas trop indisposer, en plein processus intense de digestion, les ventres fragiles de nos compatriotes musulmans après une longue nuit de ripaille.
Pour faire centre, couper la poire en deux, le jeûne en journée sera obligatoire, sous peine d’amende, à tout mécréant, jusque midi, par exemple.
 Mais il n’y a pas que dans l’alimentation qu’on pourrait ainsi assaisonner bienveillamment notre arsenal juridique.
Les jupes.
Les jupes trop courtes.
Ces jambes nues exposées à la concupiscence oculaire des mâles musulmans majoritairement modérés.
Pour faire amende honorable, une loi pourrait bien en codifier la longueur : mi-mollet en hiver, à hauteur du genou en été ; la police des mœurs laïques veillera, mètre ruban à l’appui.
 Après les jupes, une loi sur la coupe des cheveux, la taille de la barbe, une loi sur les crèches de Noël, une autre sur les cloches des églises, les œufs de Pâques, la galette des Rois, le catéchisme, une loi pour des médecins hommes rien que pour les hommes, des médecins femmes rien que pour les femmes, une loi sur le saucisson, sur le vin dans les supermarchés, et une loi sur « La Marseillaise », le drapeau tricolore, une loi sur les crucifix, sur les kippas, une loi sur le signe de croix …

Des lois à foison pour ménager les susceptibilités des adeptes de la religion d’amour, de tolérance et de paix.

Une longue liste de lois, pour aboutir en fin de compte à un Code civil qui ressemblerait plus à la charia qu’au Code Napoléon.

Jadis, lorsque l’on arrivait en France, on avait des devoirs.

 Les droits vinrent ensuite.

Puis l’on vit émerger ceux qui se moquaient des devoirs et bafouaient notre droit.

La quatrième et ultime étape sera celle où l’on nous imposera un droit venu d’ailleurs.

Avec la complicité des « remplacistes »…

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