Le 17/02/2015
Partout dans le monde, et majoritairement en pays musulmans et communistes, les chrétiens sont les plus arrêtés, martyrisés, persécutés et tués à cause de leur fidélité au Christ.
« Ya Rab Yeshua » (Seigneur Jésus).
Ce sont les dernières paroles des 21 coptes égyptiens égorgés par la branche libyenne de l’État islamique parce qu’ils étaient « des gens de la Croix fidèles à l’Église égyptienne ennemie ».
Hier, l’Élysée publiait un communiqué dans lequel François Hollande condamnait « avec la plus grande fermeté » l’assassinat de 21 « ressortissants égyptiens ».
Pas un mot sur la raison de leur martyre.
Ils ne sont pourtant pas morts parce qu’ils étaient égyptiens, mais chrétiens.
Fabius déclarait ce week-end, au lendemain des fusillades danoises, que les « musulmans sont les premières victimes » des islamistes.
Dans des pays comme l’Irak ou la Libye dans lesquels le chaos est seul maître et les musulmans ultra-majoritaires, les musulmans sont statistiquement plus nombreux à mourir.
Même chose dans une Syrie ravagée par une guerre interminable.
Mais ces musulmans meurent parce qu’ils habitent un pays en guerre, non parce qu’ils sont musulmans.
Ces 21 Égyptiens, comme d’autres avant eux, sont morts parce qu’ils étaient chrétiens.
Partout dans le monde, et majoritairement en pays musulmans et communistes, les chrétiens sont les plus arrêtés, martyrisés, persécutés et tués à cause de leur fidélité au Christ.
L’Élysée continue à le taire, sans surprise.
Qu’attendre d’un gouvernement français qui nie déjà les persécutions réelles, bien qu’encore incomparables, contre les chrétiens français ?
Depuis le premier janvier 2015, l’Observatoire de la christianophobie recense déjà plus d’une cinquantaine d’actes de haine antichrétienne : des églises taguées, brûlées, saccagées et, plus grave encore, profanées dans un silence médiatico-politique assourdissant.
Depuis hier, les condamnations s’enchaînent après la profanation du cimetière juif de Sarre-Union.
L’acte est ignoble, et l’indignation est parfaitement normale.
Mais pourquoi ce silence le 8 février dernier, alors que les plaques d’une vingtaine de tombes étaient jetées dans des conteneurs ensuite incendiés, que le drapeau tricolore était arraché et que la sépulture d’un ancien combattant était vandalisée dans le cimetière chrétien de Sevran ?
Silence des adorateurs de cette laïcité qui redevient dangereusement et ouvertement antichrétienne au lieu de se contenter d’être la garantie de séparation des pouvoirs spirituel et temporel.
C’est en son nom que les « libres penseurs » s’attaquent à une statue de la Sainte Vierge en Haute-Savoie, ou que des écolos demandent à la mairie de Rambouillet de retirer un tableau du Christ en croix…
À noter que les attaques sont également dirigées contre la France puisque les représentations chrétiennes sont bien les seules à être culturelles autant que cultuelles dans notre pays.
Dans la vidéo de l’État islamique, les islamistes adressent leur message « signé dans le sang » aux « nations de la croix ».
L’un des djihadistes précise : « pour vous, les croisés, la sécurité n’est qu’un vain espoir ».
Ce week-end, sur les côtes libyennes, des passeurs déclaraient aux gardes-côtes italiens : « Vous nous avez vus en Syrie, maintenant nous sommes au sud de Rome. »
Ces islamistes méprisent la laïcité, mais ils haïssent la croix, parce que la guerre qu’ils mènent est religieuse et civilisationnelle.
L’Occident déchristianisé (autant sur le fond que sur la forme) s’apprête-t-il donc à se laisser égorger sans comprendre, et sans trouver, par conséquent, la force de résister ?
Il faudrait en tout cas que les laïcards comprennent que ces légions diaboliques ne réclament pas d’acte de baptême avant d’égorger.
Ce sont les dernières paroles des 21 coptes égyptiens égorgés par la branche libyenne de l’État islamique parce qu’ils étaient « des gens de la Croix fidèles à l’Église égyptienne ennemie ».
Hier, l’Élysée publiait un communiqué dans lequel François Hollande condamnait « avec la plus grande fermeté » l’assassinat de 21 « ressortissants égyptiens ».
Pas un mot sur la raison de leur martyre.
Ils ne sont pourtant pas morts parce qu’ils étaient égyptiens, mais chrétiens.
Fabius déclarait ce week-end, au lendemain des fusillades danoises, que les « musulmans sont les premières victimes » des islamistes.
Dans des pays comme l’Irak ou la Libye dans lesquels le chaos est seul maître et les musulmans ultra-majoritaires, les musulmans sont statistiquement plus nombreux à mourir.
Même chose dans une Syrie ravagée par une guerre interminable.
Mais ces musulmans meurent parce qu’ils habitent un pays en guerre, non parce qu’ils sont musulmans.
Ces 21 Égyptiens, comme d’autres avant eux, sont morts parce qu’ils étaient chrétiens.
Partout dans le monde, et majoritairement en pays musulmans et communistes, les chrétiens sont les plus arrêtés, martyrisés, persécutés et tués à cause de leur fidélité au Christ.
L’Élysée continue à le taire, sans surprise.
Qu’attendre d’un gouvernement français qui nie déjà les persécutions réelles, bien qu’encore incomparables, contre les chrétiens français ?
Depuis le premier janvier 2015, l’Observatoire de la christianophobie recense déjà plus d’une cinquantaine d’actes de haine antichrétienne : des églises taguées, brûlées, saccagées et, plus grave encore, profanées dans un silence médiatico-politique assourdissant.
Depuis hier, les condamnations s’enchaînent après la profanation du cimetière juif de Sarre-Union.
L’acte est ignoble, et l’indignation est parfaitement normale.
Mais pourquoi ce silence le 8 février dernier, alors que les plaques d’une vingtaine de tombes étaient jetées dans des conteneurs ensuite incendiés, que le drapeau tricolore était arraché et que la sépulture d’un ancien combattant était vandalisée dans le cimetière chrétien de Sevran ?
Silence des adorateurs de cette laïcité qui redevient dangereusement et ouvertement antichrétienne au lieu de se contenter d’être la garantie de séparation des pouvoirs spirituel et temporel.
C’est en son nom que les « libres penseurs » s’attaquent à une statue de la Sainte Vierge en Haute-Savoie, ou que des écolos demandent à la mairie de Rambouillet de retirer un tableau du Christ en croix…
À noter que les attaques sont également dirigées contre la France puisque les représentations chrétiennes sont bien les seules à être culturelles autant que cultuelles dans notre pays.
Dans la vidéo de l’État islamique, les islamistes adressent leur message « signé dans le sang » aux « nations de la croix ».
L’un des djihadistes précise : « pour vous, les croisés, la sécurité n’est qu’un vain espoir ».
Ce week-end, sur les côtes libyennes, des passeurs déclaraient aux gardes-côtes italiens : « Vous nous avez vus en Syrie, maintenant nous sommes au sud de Rome. »
Ces islamistes méprisent la laïcité, mais ils haïssent la croix, parce que la guerre qu’ils mènent est religieuse et civilisationnelle.
L’Occident déchristianisé (autant sur le fond que sur la forme) s’apprête-t-il donc à se laisser égorger sans comprendre, et sans trouver, par conséquent, la force de résister ?
Il faudrait en tout cas que les laïcards comprennent que ces légions diaboliques ne réclament pas d’acte de baptême avant d’égorger.
Ce n'est pas nouveau ,les Français ont la mémoire courte ,j'ai connus cela par les féllagha en Algérie ,femme enfants bébés civils innocent ..
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