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dimanche 4 janvier 2015

Conférence Climat Paris 2015 : offrons des vacances à M. Hulot .


 

Le 04/01/2015

 
          
À force de crier au réchauffement, de mobiliser des fonds, plus personne n'ose dire : "On s'est trompé, le comité Nobel s'est trompé, on arrête tout."

Sous prétexte de sauver la planète, en réalité pour une poignée d’écologistes, le Président va engager la France à porter des boulets supplémentaires pour les décennies à venir.
Boulets que les États-Unis, en prétextant le refus du Congrès, mais aussi la Chine et bien d’autres refuseront totalement, frontalement.
Peut-on pour autant taxer d’égoïsme ces pays non signataires ?
Claude Allègre avait, il y a longtemps, dénoncé les conclusions du GIEC.
Puis il y a eu de nombreuses publications scientifiques (de Vincent Courtillot, par exemple), de nombreux livres (François Gervais, L’Innocence du carbone, ou plus ludique mais fort bien documenté, Michael Crichton, État d’urgence), et une pétition a rassemblé aux États-Unis 30.000 scientifiques s’élevant contre les affirmations du GIEC.
Plus récemment, un scientifique français reconnu, Philippe de Larminat, a publié un travail important (Changement climatique, identification et projections) d’où il ressort que l’effet du soleil sur le climat est beaucoup plus important que ne le dit le GIEC, et que l’effet de l’activité humaine est soit faible, soit nul.

La méthode utilisée, universellement reconnue dans de nombreux domaines, ne l’avait pas encore été sur le réchauffement : il a mis dans un ordinateur toutes les données (température, taux de CO2, activité solaire…) habituellement retenues, sans aucune hypothèse sur les mécanismes pouvant relier les unes aux autres, et a cherché quelles relations elles avaient entre elles.
C’est-à-dire qu’il a fait un « simple » travail de compilation de données, d’où sont ressorties des corrélations : le réchauffement est lié aux variations de l’activité solaire, pas à l’activité humaine.
Jean Jouzel, prix Nobel de la paix au titre de sa participation aux travaux du GIEC, a déclaré au milieu de la dernière décennie : « Si le plateau continue pendant encore dix ans, Courtillot aura raison… Mais dans dix ans, il sera trop tard. »

Il voulait dire que si Courtillot avait tort, si l’homme était responsable du réchauffement, il serait trop tard pour agir.
Or, le « plateau » a continué, le niveau des températures est élevé, mais stable depuis 1998, et le discours reste le même.
Les surfaces estivales de glace en Arctique remontent très sensiblement depuis le minimum atteint en 2012, mais personne ne le dit.

Tout se passe comme si ces réalités et ces travaux n’existaient pas.
Ces informations glissent sur les journalistes comme l’eau sur les plumes d’un canard.
Parce qu’à force de crier au réchauffement, de mobiliser des fonds, plus personne n’ose dire : « On s’est trompé, le comité Nobel s’est trompé, on arrête tout. » Alors qu’ils se sont trompés, qu’il faut tout arrêter.

Il faudra bien se sevrer du pétrole, mais pour des raisons économiques et géopolitiques, pas pour des raisons climatiques.

Souhaitons un échec de cette conférence de Paris, que nos décideurs ouvrent les yeux et arrêtent de vendre notre avenir contre un plat de lentilles !

Offrons des vacances à M. Hulot !

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