Il y a quelque chose de rassurant dans cette chasse au Zemmour ouverte depuis plusieurs semaines.
Il y a quelque chose de rassurant dans cette chasse au Zemmour ouverte depuis plusieurs semaines.
Pas seulement au Zemmour d’ailleurs puisque la LICRA vient de nous vous offrir un tweet comme elle en a le secret : « Zemmour, Collard, Ménard, sont plus dangereux que les autres car ils occupent le paysage médiatique. »
L’acharnement dont sont l’objet ceux-là — parmi d’autres — est assez révélateur de l’esprit d’une époque qui, se sachant condamnée, livre avec l’énergie du désespoir un combat qui peut encore durer des années, mais est déjà perdu.
La LICRA, la Ligue des droits de l’homme, ou encore SOS Racisme, font partie de ces associations dont le fonds de commerce est la défense des droits de l’homme, et de l’égalité des droits, dont certains sont d’ailleurs plus égaux que d’autres.
Nul ne s’étonne plus d’entendre leurs représentants, officiellement chargés de distiller la bonne parole, refuser à certains la liberté d’expression qu’ils revendiquent pour d’autres.
La France est habituée, depuis la sinistre Révolution, pour laquelle la grande majorité de la classe politique et quelques beaux esprits égarés au milieu d’idées folles professent une révérence mystique, à ce que la liberté soit refusée aux prétendus ennemis de la liberté.
Rien d’étonnant à cela lorsque l’ordre institutionnel français repose sur la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 qui a fait du législateur le juge suprême du bien et du mal, du permis et de l’interdit, auquel rien de ce qui constitue le monde qui nous entoure ne doit échapper.
Rien d’étonnant donc à ce que des gens profondément marqués par cette idéologie révolutionnaire refusent à leurs adversaires les droits qu’ils revendiquent pour leurs clients sans que cela leur pose le moindre problème de conscience.
Nous sommes là dans la même veine qu’un Vincent Peillon qui veut achever la Révolution française en instituant une véritable religion républicaine, ou encore proclamant que l’école doit arracher l’enfant aux déterminismes…
Il ne faut pas s’en étonner ; il faut s’en réjouir.
L’existence de personnages tels que Zemmour, ou Ménard est insupportable à ces mêmes personnes imprégnées d’un totalitarisme intellectuel et philosophique que Zemmour, justement, s’attache à décortiquer, à analyser, à déconstruire dans son dernier ouvrage.
Ménard, en s’affranchissant des étiquettes partisanes, et en foulant aux pieds la règle selon laquelle il est interdit de frayer de près ou de loin avec des gens qualifiés « d’extrême droite » est nécessairement classé dans la même catégorie d’infréquentables.
S’ils ne dérangeaient pas, ils ne seraient pas à ce point attaqués, chassés, vilipendés, harcelés.
S’ils n’existaient pas, on n’en parlerait pas, mais si l’on n’en parlait pas, ils n’existeraient pas non plus !
Oui, leur succès dans l’opinion tient à leur exposition médiatique et il suffirait que les médias cessent de les inviter pour qu’ils retombent rapidement dans un anonymat complet.
Mais le succès est au rendez-vous et, qu’on me pardonne, ils font vendre !
Parce qu’ils correspondent à ce que les Français veulent entendre !
Si Bruno Le Roux faisait vendre du papier, il y a fort à parier qu’il serait sur tous les plateaux télé…
Que les donneurs de leçons de la LICRA s’interrogent donc : eux qui promeuvent depuis 40 ans une idéologie libertaire n’ont toujours pas compris qu’entre le règne de l’argent roi qui fait de toute chose – ou toute personne – une marchandise négociable et la totale liberté des mœurs, il y a un lien que seuls les idéologues ou les imbéciles (ce sont souvent les mêmes) persistent à rejeter.
Pour comprendre ça, il faut juste analyser Mai 68 et ses conséquences.
Tiens, c’est justement ce que fait Zemmour !
Pas seulement au Zemmour d’ailleurs puisque la LICRA vient de nous vous offrir un tweet comme elle en a le secret : « Zemmour, Collard, Ménard, sont plus dangereux que les autres car ils occupent le paysage médiatique. »
L’acharnement dont sont l’objet ceux-là — parmi d’autres — est assez révélateur de l’esprit d’une époque qui, se sachant condamnée, livre avec l’énergie du désespoir un combat qui peut encore durer des années, mais est déjà perdu.
La LICRA, la Ligue des droits de l’homme, ou encore SOS Racisme, font partie de ces associations dont le fonds de commerce est la défense des droits de l’homme, et de l’égalité des droits, dont certains sont d’ailleurs plus égaux que d’autres.
Nul ne s’étonne plus d’entendre leurs représentants, officiellement chargés de distiller la bonne parole, refuser à certains la liberté d’expression qu’ils revendiquent pour d’autres.
La France est habituée, depuis la sinistre Révolution, pour laquelle la grande majorité de la classe politique et quelques beaux esprits égarés au milieu d’idées folles professent une révérence mystique, à ce que la liberté soit refusée aux prétendus ennemis de la liberté.
Rien d’étonnant à cela lorsque l’ordre institutionnel français repose sur la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 qui a fait du législateur le juge suprême du bien et du mal, du permis et de l’interdit, auquel rien de ce qui constitue le monde qui nous entoure ne doit échapper.
Rien d’étonnant donc à ce que des gens profondément marqués par cette idéologie révolutionnaire refusent à leurs adversaires les droits qu’ils revendiquent pour leurs clients sans que cela leur pose le moindre problème de conscience.
Nous sommes là dans la même veine qu’un Vincent Peillon qui veut achever la Révolution française en instituant une véritable religion républicaine, ou encore proclamant que l’école doit arracher l’enfant aux déterminismes…
Il ne faut pas s’en étonner ; il faut s’en réjouir.
L’existence de personnages tels que Zemmour, ou Ménard est insupportable à ces mêmes personnes imprégnées d’un totalitarisme intellectuel et philosophique que Zemmour, justement, s’attache à décortiquer, à analyser, à déconstruire dans son dernier ouvrage.
Ménard, en s’affranchissant des étiquettes partisanes, et en foulant aux pieds la règle selon laquelle il est interdit de frayer de près ou de loin avec des gens qualifiés « d’extrême droite » est nécessairement classé dans la même catégorie d’infréquentables.
S’ils ne dérangeaient pas, ils ne seraient pas à ce point attaqués, chassés, vilipendés, harcelés.
S’ils n’existaient pas, on n’en parlerait pas, mais si l’on n’en parlait pas, ils n’existeraient pas non plus !
Oui, leur succès dans l’opinion tient à leur exposition médiatique et il suffirait que les médias cessent de les inviter pour qu’ils retombent rapidement dans un anonymat complet.
Mais le succès est au rendez-vous et, qu’on me pardonne, ils font vendre !
Parce qu’ils correspondent à ce que les Français veulent entendre !
Si Bruno Le Roux faisait vendre du papier, il y a fort à parier qu’il serait sur tous les plateaux télé…
Que les donneurs de leçons de la LICRA s’interrogent donc : eux qui promeuvent depuis 40 ans une idéologie libertaire n’ont toujours pas compris qu’entre le règne de l’argent roi qui fait de toute chose – ou toute personne – une marchandise négociable et la totale liberté des mœurs, il y a un lien que seuls les idéologues ou les imbéciles (ce sont souvent les mêmes) persistent à rejeter.
Pour comprendre ça, il faut juste analyser Mai 68 et ses conséquences.
Tiens, c’est justement ce que fait Zemmour !
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