François Hollande ne pouvait qu’être au courant de ces photos en sosie officiel des Daft Punk. Il savait donc, et laissa faire.
François Hollande, c’est l’histoire d’un mec, comme aurait dit Coluche. Sauf qu’il s’agit du président de la République.
Au contraire des filles, les garçons auraient plutôt tendance à se montrer moins couillus.
En cas de rupture – politesse oblige –, ils laissent la priorité aux dames, au risque de mieux leur claquer la porte sur les doigts.
Et là, François Hollande demeure un mec comme les autres.
Un peu veule, un poil trouillard devant les femmes en général et celle du moment en particulier.
Mais, de ce vaudeville élyséen, peu de choses ont filtré, malgré l’inflation de photos floutées et de commentaires de circonstance.
Logiquement, Paris Match aurait dû jeter l’affaire sur la place publique.
Mais Valérie Trierweiler y travaille depuis trop longtemps.
Alors que Denis, le père de ses enfants, y occupe toujours une place éminente.
Compliqué, donc.
D’où d’inévitables chemins de traverse…
Ségolène était certes connue pour être pétroleuse.
Mais dans la catégorie des emmerdeuses et des emmerderesses – Georges Brassens dixit –, Valérie pouvait sans peine lui ravir la première place sur le podium.
Sous couvert d’anonymat, un membre de la rédaction de Paris Match nous dit :
« C’est une folle ! Ses patrons, dont même son ex-mari, craignent ses colères. Elle est capable de dévaster un bureau à coups de Louboutin et de traiter une maquettiste de “grosse pute” parce qu’on lui a coupé deux virgules et que son article n’a pas été mis en page tel qu’elle l’aurait souhaité. »
De fait, le dénouement de cette histoire finit par satisfaire à peu près tout le monde.
Closer, la semaine dernière, lance le pavé dans la mare, sous-traitant de fait pour Paris Match, ce titre reprenant ensuite l’affaire au vol.
Et François Hollande s’en sort finalement au mieux : il n’a pas eu à se faire greffer une paire de roubignolles durant la nuit pour annoncer sa rupture avec sa « Bibiche », Closer ayant fait le sale boulot à sa place, boulot d’autant plus sale que la liaison en question remontait à plus de deux ans…
Complotisme ou paranoïa ?
Amis lecteurs, sachez que dans chaque imprimerie s’apprêtant à mettre sous presse un journal mettant en une une information pouvant s’avérer sensible, il y a toujours un flic des Renseignements généraux derrière la rotative.
Donc, François Hollande ne pouvait qu’être au courant de ces photos où on le vit, en scooter, briguer le statut de sosie officiel des Daft Punk.
Il savait donc, et laissa faire.
Après, ça se complique…
La visite à Rome, pas simple.
Le pape François, ce n’est pas Bernard ou David Guetta, et le Vatican n’est pas Ibiza.
Après, le gros morceau…
les USA. Là où la Valérie dit qu’elle devrait se rendre, main dans la main, avec l’homme prétendant qu’elle était « la femme de sa vie » – sympa pour Ségolène…
Les services concernés devraient donc laisser à leurs homologues du Quai d’Orsay le soin de démêler cet écheveau diplomatico-conjugal.
Après ? Après, il suffira de se reporter à la presse internationale, dans laquelle la France n’est quasiment évoquée que sur ces deux sujets : le Mariage pour tous, mais vraiment pour tous et toutes, et ce combat vaguement antiraciste consistant à faire la chasse au Nèg’ marrons, ces esclaves fuyant les plantations pour réintégrer la bonne gouvernance.
Un certain Dieudonné, nous dit-on…
Ce dernier ayant quelques connections avec la sphère arabo-musulmane, qu’il prenne donc la Valérie pour seconde femme et qu’on n’en parle plus !
Au contraire des filles, les garçons auraient plutôt tendance à se montrer moins couillus.
En cas de rupture – politesse oblige –, ils laissent la priorité aux dames, au risque de mieux leur claquer la porte sur les doigts.
Et là, François Hollande demeure un mec comme les autres.
Un peu veule, un poil trouillard devant les femmes en général et celle du moment en particulier.
Mais, de ce vaudeville élyséen, peu de choses ont filtré, malgré l’inflation de photos floutées et de commentaires de circonstance.
Logiquement, Paris Match aurait dû jeter l’affaire sur la place publique.
Mais Valérie Trierweiler y travaille depuis trop longtemps.
Alors que Denis, le père de ses enfants, y occupe toujours une place éminente.
Compliqué, donc.
D’où d’inévitables chemins de traverse…
Ségolène était certes connue pour être pétroleuse.
Mais dans la catégorie des emmerdeuses et des emmerderesses – Georges Brassens dixit –, Valérie pouvait sans peine lui ravir la première place sur le podium.
Sous couvert d’anonymat, un membre de la rédaction de Paris Match nous dit :
« C’est une folle ! Ses patrons, dont même son ex-mari, craignent ses colères. Elle est capable de dévaster un bureau à coups de Louboutin et de traiter une maquettiste de “grosse pute” parce qu’on lui a coupé deux virgules et que son article n’a pas été mis en page tel qu’elle l’aurait souhaité. »
De fait, le dénouement de cette histoire finit par satisfaire à peu près tout le monde.
Closer, la semaine dernière, lance le pavé dans la mare, sous-traitant de fait pour Paris Match, ce titre reprenant ensuite l’affaire au vol.
Et François Hollande s’en sort finalement au mieux : il n’a pas eu à se faire greffer une paire de roubignolles durant la nuit pour annoncer sa rupture avec sa « Bibiche », Closer ayant fait le sale boulot à sa place, boulot d’autant plus sale que la liaison en question remontait à plus de deux ans…
Complotisme ou paranoïa ?
Amis lecteurs, sachez que dans chaque imprimerie s’apprêtant à mettre sous presse un journal mettant en une une information pouvant s’avérer sensible, il y a toujours un flic des Renseignements généraux derrière la rotative.
Donc, François Hollande ne pouvait qu’être au courant de ces photos où on le vit, en scooter, briguer le statut de sosie officiel des Daft Punk.
Il savait donc, et laissa faire.
Après, ça se complique…
La visite à Rome, pas simple.
Le pape François, ce n’est pas Bernard ou David Guetta, et le Vatican n’est pas Ibiza.
Après, le gros morceau…
les USA. Là où la Valérie dit qu’elle devrait se rendre, main dans la main, avec l’homme prétendant qu’elle était « la femme de sa vie » – sympa pour Ségolène…
Les services concernés devraient donc laisser à leurs homologues du Quai d’Orsay le soin de démêler cet écheveau diplomatico-conjugal.
Après ? Après, il suffira de se reporter à la presse internationale, dans laquelle la France n’est quasiment évoquée que sur ces deux sujets : le Mariage pour tous, mais vraiment pour tous et toutes, et ce combat vaguement antiraciste consistant à faire la chasse au Nèg’ marrons, ces esclaves fuyant les plantations pour réintégrer la bonne gouvernance.
Un certain Dieudonné, nous dit-on…
Ce dernier ayant quelques connections avec la sphère arabo-musulmane, qu’il prenne donc la Valérie pour seconde femme et qu’on n’en parle plus !
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