En France on aime ce côté coquin là ou aux États-Unis Bill Clinton a dû se confondre en excuses publiques et a été cloué au pilori.
On se souvient des frasques de Nicolas Sarkozy qui annonçait en conférence de presse qu’avec Carla c’était « du sérieux » et de la gauche qui lui tombait dessus en criant à la désacralisation de la fonction présidentielle.
Que n’a-t-on pas lu à l’époque à propos de cette idylle et du rôle de la première dame de France.
Depuis, la gauche est arrivée au pouvoir et notre Président, n’étant plus à une contradiction près, s’est empressé de redéfinir la notion de famille.
Ce qui était indigne du temps de Sarkozy devenait d’un coup de baguette magique moderne et progressiste. Et pour cause, il fallait bien légitimer Madame Trierweiler et lui donner une utilité autre que celle d’humiliatrice de Ségolène Royal.
Il semblerait que, comme nous, François se soit lassé de sa compagne à la joie de vivre si communicative et au caractère si posé.
Le Président, comme un vulgaire ado, est pris la main dans le pot de confiture enfourchant son pédalo en pleine nuit pour aller inverser sa courbe du chômage et montrer sa compétitivité à une actrice jusqu’ici inconnue.
En France on aime ce côté coquin là ou aux États-Unis Bill Clinton a dû se confondre en excuses publiques et a été cloué au pilori.
Pourtant, on peut s’étonner de la facilité avec laquelle Hollande s’est fait attraper et finir en Une du grand journal d’investigation qu’est Closer.
Après tout, notre Président normal a bien le droit de tromper sa compagne, c’est pour le coup d’une triste banalité.
Il a le droit d’être un goujat inélégant en cocufiant sa Valérie devant la terre entière.
Le problème est qu’il ne se contente pas de tromper une personne que nous ne regretterons pas, soyons honnêtes.
Il trompe les Français, lui qui devait être irréprochable pour en finir avec le règne sarkozyste.
Il nous a trompés avec ses promesses non tenues, ses changements de positions tous les deux jours, ses mensonges et une nouvelle fois il nous fait honte.
Il n’avait pas de stature d’homme d’État, il n’a même plus de stature d’homme tout court.
Il réclame un droit à la vie privée, lui qui fait voter des lois permettant d’écouter et lire les Français sans décision d’un juge et qui décide de ce qui est bon ou pas pour nous en censurant un humoriste.
Quand on est Président de la République on l’est 24 heures sur 24 et si sa façon de manier son gouvernail ne nous regarde effectivement pas, cela en dit beaucoup sur l’homme.
Ce qui nous regarde en revanche, c’est l’argent public dépensé pour installer madame Trierweller à l’Elysée, pour ses frais divers.
L’argent public affecté à la mise à disposition à deux pas de la rue du Faubourg Saint Honoré de l’appartement de Mademoiselle Gayet dans un quartier où le mètre carré se situe à plus de 10.000 euros !
L’argent public enfin affecté à la protection policière de ce même domicile.
Chaque jour qui passe rapproche François Hollande un peu plus de l’abîme.
Il faut dire qu’il nous les aura toutes faites.
Si la question de sa démission ne se posera pas tant la place est bonne et l’homme apparemment dépourvu de dignité, il apparaît de plus en plus clair que sa crédibilité, aussi bien politique que personnelle, est durablement affectée.
Alors que la question de la dissolution de l’Assemblée était posée il y a quelques mois, François semble résolument décidé a ne pas vouloir de cohabitation.
Et dire qu’on pensait avoir évité les histoires de jupons en faisant exploser en plein vol DSK…
Que n’a-t-on pas lu à l’époque à propos de cette idylle et du rôle de la première dame de France.
Depuis, la gauche est arrivée au pouvoir et notre Président, n’étant plus à une contradiction près, s’est empressé de redéfinir la notion de famille.
Ce qui était indigne du temps de Sarkozy devenait d’un coup de baguette magique moderne et progressiste. Et pour cause, il fallait bien légitimer Madame Trierweiler et lui donner une utilité autre que celle d’humiliatrice de Ségolène Royal.
Il semblerait que, comme nous, François se soit lassé de sa compagne à la joie de vivre si communicative et au caractère si posé.
Le Président, comme un vulgaire ado, est pris la main dans le pot de confiture enfourchant son pédalo en pleine nuit pour aller inverser sa courbe du chômage et montrer sa compétitivité à une actrice jusqu’ici inconnue.
En France on aime ce côté coquin là ou aux États-Unis Bill Clinton a dû se confondre en excuses publiques et a été cloué au pilori.
Pourtant, on peut s’étonner de la facilité avec laquelle Hollande s’est fait attraper et finir en Une du grand journal d’investigation qu’est Closer.
Après tout, notre Président normal a bien le droit de tromper sa compagne, c’est pour le coup d’une triste banalité.
Il a le droit d’être un goujat inélégant en cocufiant sa Valérie devant la terre entière.
Le problème est qu’il ne se contente pas de tromper une personne que nous ne regretterons pas, soyons honnêtes.
Il trompe les Français, lui qui devait être irréprochable pour en finir avec le règne sarkozyste.
Il nous a trompés avec ses promesses non tenues, ses changements de positions tous les deux jours, ses mensonges et une nouvelle fois il nous fait honte.
Il n’avait pas de stature d’homme d’État, il n’a même plus de stature d’homme tout court.
Il réclame un droit à la vie privée, lui qui fait voter des lois permettant d’écouter et lire les Français sans décision d’un juge et qui décide de ce qui est bon ou pas pour nous en censurant un humoriste.
Quand on est Président de la République on l’est 24 heures sur 24 et si sa façon de manier son gouvernail ne nous regarde effectivement pas, cela en dit beaucoup sur l’homme.
Ce qui nous regarde en revanche, c’est l’argent public dépensé pour installer madame Trierweller à l’Elysée, pour ses frais divers.
L’argent public affecté à la mise à disposition à deux pas de la rue du Faubourg Saint Honoré de l’appartement de Mademoiselle Gayet dans un quartier où le mètre carré se situe à plus de 10.000 euros !
L’argent public enfin affecté à la protection policière de ce même domicile.
Chaque jour qui passe rapproche François Hollande un peu plus de l’abîme.
Il faut dire qu’il nous les aura toutes faites.
Si la question de sa démission ne se posera pas tant la place est bonne et l’homme apparemment dépourvu de dignité, il apparaît de plus en plus clair que sa crédibilité, aussi bien politique que personnelle, est durablement affectée.
Alors que la question de la dissolution de l’Assemblée était posée il y a quelques mois, François semble résolument décidé a ne pas vouloir de cohabitation.
Et dire qu’on pensait avoir évité les histoires de jupons en faisant exploser en plein vol DSK…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.