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samedi 3 août 2024

Bon voici le topo avec un peu de recul.


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 Je l'écris pour m'éclaircir les idées. La gorge serrée. 
 
 Notre psyché collective, en voie d'émasculation, est incapable de retrouver la moindre confiance en l'avenir. 
 
Se projeter à 20 ans est devenu un exercice impossible. Essayez vous verrez. Et tout est fait pour détruire notre identité (seule véritable condition de cette confiance : sans le socle d'une transcendance collective, point de salut). Avant on se disputait sur le sexe des anges. Maintenant c'est sur la bite des travelos.
 
 On se prend le chou pour déterminer la légitimité des drag dans les bibliothèques face aux enfants, les spectacles familiaux et j'en passe. Et on doit se lourder leurs tétrachiées de complaintes et plaintes de cons victimaires. Ils deviennent ainsi la grande cause nationale médiatique du moment. Les migrants d'un autre côté présentent de fantastiques avantages : ils fournissent l'Empire qui nous colonise en armée de réserve gratuite - voilà leur secret.
 Eh oui : puisque nous sommes les "extrêmes" : il suffit de nous pointer du doigt, de leur faire croire que nous ne les aimons pas. Que nous sommes racistes. Alors qu'ils sont tout autant victimes que nous : de cette précarité qui sert à les enrager, d'exploitation, de manipulation et même eux aussi, globalement, de privation d'identité : de sorte que cette frustration-là les pousse aux extrêmes en réaction. La boucle cybernétique est ainsi bouclée : quelques actes extrêmes suffisent à alimenter le discours contre les extrêmes que la caste orwellienne exploite pour préfabriquer ses discours de blanche colombe vertueuse tout en pointant du doigts les gueux patriotes. Je passe sur toutes les explications habituelles que la gestion du chaos induit : l'insécurité grandissante justifie le contrôle des populations. Ordo ab chaos etc.
 Nos datas sont opérées par la NSA via les GAFAM, plus grands corrupteurs, espions et captologues de la planète. Les LGBT(...)++eux, noyautent une médiacratie de dépravés narcissiques, ainsi que le monde du spectacle, de la politique, le tout, décadent et médiocre au possible. Où sont les hommes, ai-je eu l'occasion d'hurler dans un cri de désespoir. 
Au sommet de la food chain, des débiles légers dont on ne sait plus s'ils préfèrent collectionner leur caca ou se peindre en bleu en se croyant à l'avant-garde de la création. Des dégénérés cons et incultes déjà croqués par Hunger Games. Tout cela est grassement stipendié et maintenu en l'état pour déprimer les plus lucides et accentuer la lobotomie des plus faibles. La véritable colonisation qui nous prive de toute souveraineté est, vous l'aurez compris, américano-mondialiste : ce sont eux qui orchestrent tout cette merde, forment et préparent nos activistes d'opérette, diffusent les idéologies mortifères - avec un bras armé administratif kafkaïen bruxellois, en forme de chape de plomb inaccessible consolidée par toutes les autres institutions supranationales qui préfigurent le gouvernement mondial. Si l'un d'entre nous tente vraiment de développer un mouvement citoyen crédible : il devient l'ennemi des mondialistes. 
C'est alors que les entités dormantes massivement financées par l'Empire se mettront en action pour l'humilier d'abord, le diffamer, le détruire et l'achever. Il mettra de facto sa famille en danger. Au mieux il termine habilement corrompu ou suicidé. C'est toutefois faisable à condition d'être bien entouré. Mais il faut d'abord passer le cap du diagnostic, ce qui suppose d'affronter des couches et des couches de connerie humaine : diffuser le diagnostic de la situation c'est très dur. Il faut surmonter la connerie mais aussi la censure, donc, toujours surveiller les mots qu'on emploie, il faut se palucher le crétinoïde moyen qui met en commentaire "et qu'est-ce que tu proposes toi ?", et autres "pleure sale facho", ou "fdp" - la routine, quoi. Le pronostic vital est clairement engagé. Une force sommeille en nous - et il va falloir la réveiller. 
 
 Le temps presse.

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