Des centaines de cercueils contenant les corps de soldats de l’OTAN sont rapatriés d’Ukraine – La plupart sont français

 

 1 mai 2024 |

 Posted on 28 avril 2024 by liesiletter

 

Les prophéties catholiques affirment que peu de temps avant l’invasion russe, le pouvoir français au service de l’Enfer éliminera les troupes de défense (essentielles en période de guerre civile) en les déplaçant dans des terres étrangères où elles seront massacrées. 

Voici un article de H. Turner. Il recoupe ce que d’autres sources signalent déjà depuis plusieurs mois, mais cette fois cela semble s’accélérer. Les militaires qui s’engagent comme mercenaires pour l’argent font une bien grave erreur… il ne faut pas succomber à la tentation de Mammon !

.

 

Des centaines de cercueils contenant les corps de soldats de l’OTAN auraient été ramenés d’Ukraine. 

La semaine dernière, le ministère russe de la Défense a fait état de nombreuses attaques de précision contre des centres d’entraînement ukrainiens pour pilotes de drones, des bases de déploiement temporaire des forces ukrainiennes, des formations militaires nationalistes et des mercenaires étrangers.

” Du 13 au 19 avril 2024, la Russie, en réponse aux efforts du régime de Kiev pour attaquer les installations énergétiques et industrielles russes, a mené 34 attaques massives avec des armes à longue portée et de haute précision depuis l’air et la mer, ainsi qu’avec des drones. Les attaques ont touché des installations énergétiques, des entreprises du complexe militaro-industriel, l’infrastructure ferroviaire de l’Ukraine, des positions de défense aérienne, des arsenaux et des réservoirs de carburant de l’armée”, selon le communiqué du ministère russe de la défense.

Les vagues d’attaques contre les installations abritant du personnel militaire ukrainien et étranger sont intervenues après des informations faisant état du déploiement du premier groupe de l’armée française près des fronts ukrainiens et en particulier dans la ville de Slavjansk. Après une série d’attaques russes massives sur la ville, plusieurs sources ont rapporté que l’armée française en était la cible.

Selon les militaires occidentaux, les attaques ont tué une quarantaine de soldats et en ont blessé environ 300 autres. La plupart des victimes seraient des membres de la Légion étrangère française.

Les hôpitaux de la ville de Slavjansk n’étaient pas en mesure de fournir les soins nécessaires à un si grand nombre de victimes. C’est pourquoi les combattants ukrainiens et étrangers ont été évacués d’urgence vers Pavlograd.

Le 19 avril, les troupes aérospatiales russes ont également lancé des attaques massives sur la ville de Dnipro. Parmi les cibles, un hôtel situé à proximité de l’aéroport militaire local. Selon certaines informations, l’hôtel abritait le quartier général de l’armée ukrainienne. Le bâtiment a été entièrement détruit. L’attaque a fait de nombreux morts et blessés parmi les soldats et officiers ukrainiens et les mercenaires étrangers.

Immédiatement après une série d’attaques signalées, un nombre inhabituellement élevé d’avions étrangers a été remarqué à l’aéroport de Rzeszow, en Pologne. Cette installation militaire est largement utilisée pour le ravitaillement de l’Ukraine, mais l’activité accrue des avions étrangers immédiatement après les attaques russes précises contre des positions de “formateurs militaires” de l’OTAN a fait naître le soupçon que la cargaison des avions était composée de cercueils et de blessés au lieu de munitions et d’aide humanitaire. Les pays de l’OTAN se sont empressés d’évacuer les corps des morts et des blessés.

Le 20 avril, Flightradar24 a montré un vol en provenance de France qui a atterri sur la base aérienne peu après le décollage d’un A330 MRTT britannique. L’avion français se dirigeait vers la ville française de Châteauroux, où, selon les soldats français, “l’aéroport local est équipé d’un immense hangar où tout peut être chargé et déchargé, à l’abri des regards indiscrets. La ville dispose également d’un centre hospitalier moderne, Châteauroux-Le Blanc, qui peut soigner les blessés sans risquer l’attention de la presse.”

Source : Liesidotorg via profession-gendarme