Quand un pays fait faillite, ou plus précisément, lorsqu’il se trouve en défaut de paiement sur sa dette souveraine, cela signifie qu’il est incapable de rembourser ses dettes à ses créanciers.
Cela peut se produire pour diverses raisons, notamment une mauvaise gestion économique, une baisse significative des revenus (comme ceux provenant des exportations), ou une hausse insoutenable des dépenses publiques.
Une crise économique majeure pourrait frapper la France, caractérisée par une récession profonde, un chômage élevé, et une chute drastique des revenus fiscaux. Dû à une crise énergétique sévère impactant l’économie.
Ah mais on est en plein dedans c’est vrai !
On continue : En réponse à la crise, le gouvernement français
augmentera considérablement ses dépenses pour soutenir l’économie,
financer les services publics, et aider les chômeurs. Sans une
croissance économique suffisante pour compenser, le ratio dette/PIB du
pays pourrait atteindre des niveaux insoutenables. Prévision à 0.6% pour
cette année 2024 faites par Bercy ça tombe bien d’en parler
Et ensuite il se passe quoi ?
Face à l’augmentation rapide de la dette et à l’incertitude économique, les investisseurs perdront confiance dans la capacité de la France à rembourser sa dette. Cela entraînera une hausse des taux d’intérêt sur les obligations d’État françaises, augmentant encore le coût du service de la dette. Dans ce scénario, même les mécanismes de soutien de l’Union européenne et de la Banque Centrale Européenne (BCE) pourraient s’avérer insuffisants pour stabiliser la situation, soit en raison de l’ampleur de la crise, soit en raison de désaccords politiques au sein de l’UE sur la manière de gérer la situation. Incapable de refinancer sa dette ou de faire face à ses obligations de paiement à cause des taux d’intérêt élevés et du manque de liquidités, la France pourrait se retrouver en défaut de paiement.
Bon ok et pour moi le gueux ça va se passer comment ?
Fermeture massive d’entreprises et réduction drastique des investissements vont rythmer ton quotidien, menant à une hausse spectaculaire du taux de chômage. Des millions de personnes vont se retrouver sans emploi et sans sources de revenus stables. La méfiance envers la stabilité financière du pays va provoquer des retraits massifs de dépôts, menant à une crise bancaire. Les banques pourraient limiter l’accès aux comptes courants et aux économies, entravant la capacité des citoyens à payer pour les biens et services essentiels. La perte de confiance dans la monnaie nationale et les tentatives du gouvernement de financer ses dépenses par la création monétaire pourraient entraîner une inflation élevée, voire hyperinflation. Le pouvoir d’achat des ménages s’éroderait rapidement, rendant les produits de base de plus en plus inaccessibles. Genre la baguette de pain à 10€. Crois moi si t’as pas mis de l’épargne autrement qu’en Euro tu vas manger des pâtes pendant longtemps.
Que fera mon Macrounet adoré pour me sauver ?
Pour tenter de stabiliser l’économie, le gouvernement pourrait être contraint d’adopter des mesures d’austérité sévères, réduisant drastiquement les dépenses publiques, y compris dans des secteurs clés comme la santé, l’éducation, et les services sociaux. Cela aura un impact direct sur la qualité de vie et l’accès aux services essentiels pour la majorité de la population. La combinaison de l’insécurité économique, du chômage, de la réduction des services publics, et de l’inflation pourrait entraîner une détérioration du tissu social, avec une augmentation de la pauvreté, des inégalités, des troubles civils, des manifestations et des émeutes, à mesure que les citoyens expriment leur mécontentement et leur désespoir. La réduction des budgets alloués aux soins de santé, combinée au stress économique généralisé, pourrait conduire à une détérioration de la santé publique, avec une augmentation des maladies liées au stress, une baisse de la qualité des soins, et un accès limité aux traitements pour les maladies chroniques ou graves.
Vous êtes désormais prévenu la purge arrive..
Et toi quelle est ton hypothèse ?
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