Gouverner par la Peur

 

Publié le 17 mars 2024 par rra137

Le général Coustou invité chez Bercoff déclarait: « Notre ennemi n’est pas la Russie c’est MACRON ».

 Celui-ci joue en ce moment avec le feu et particulièrement avec le feu nucléaire. 

 Décidément cette guerre Russie Ukraine finit par déranger l’esprit de ce petit président, au point qu’il s’en rende ridicule. On attend avec impatience  la négociation et la paix entre les deux belligérants, et lui veut la guerre. Une guerre terrible, où tous les jours des centaines de soldats ukrainiens sont tués inutilement. Pourquoi vouloir continuer le massacre, sinon pour assumer un besoin de vengeance personnelle contre Poutine.

Notre freluquet oublie volontairement que si l’accord de Minsk avait été respecté à  l’époque, par la France et l’Allemagne et si le couple OTAN-EU n’avait pas multiplié les provocations contre la Russie, en cernant petit à petit ce pays de bases militaires, au point que les russes se sentent menacés, ils n’auraient pas surarmé leur pays. Et de même, si les ukrainiens n’avaient pas bombardé pendant 8 ans le dombass russophile, Poutine ne serait pas intervenu pour envahir l’Ukraine.

Il est presque tout seul, mais il persiste à vouloir  la défaite d’un pays militairement imbattable et qui ne nous a rien fait, alors que déjà les jeux sont faits et que la Russie a déjà gagné la guerre sur le terrain. Et tout aussi grave, il part dans des divagations faites pour alimenter la peur dans le pays. Selon son point de vue quelque peu détraqué, il ne craint pas de faire un procès d’intention aux russes qui voudraient occuper toute l’Europe s’ils sont vainqueurs. En fait cette guerre est civilisationnelle, et les Russes refusent chez eux la décadence crasse qui sévit en France et dans tout l’Occident. Nos chers dirigeants en sont co-responsables.

La France n’aurait jamais du s’engager dans un conflit qui ne la regarde pas.

Résultat, nous payons le gaz le double de son prix et l’inflation ne s’arrête plus. Ce Gouvernement jette l’argent de l’Etat par la fenêtre. Des milliards donnés à l’Ukraine, pendant que beaucoup de nos compatriotes ne peuvent plus payer leur loyer et que des paysans sont dans la misère. Le freluquet (en même temps) instrumentalise cette guerre dans un but politique et pour sa popularité. Comme son clone maléfique et prétentieux, Gabriel Attal vient de l’avouer malgré lui, en attaquant un parti concurrent qui lui fait de l’ombre et menace de le dépasser dans les urnes. Il ne craint pas de tomber dans l’outrance en retournant sans scrupules la réalité. Plus c’est gros, mieux ça passe.

« Un succès de Poutine serait un cataclysme pour le pouvoir d’achat, avec une inflation puissante et une augmentation du prix de l’énergie » et « Si l’Ukraine perd nous perdons aussi ». Non M. Attal, nous avons au contraire tout à y gagner. Améliorer nos relations avec la Russie, quitter l’OTAN et sortir des griffes de l’état profond américain et de ce mondialisme qui ne nous apporte que du négatif et veut la disparition des nations. Churchill disait « Dans une guerre, la victime c’est la vérité ». Macron et Attal en sont la preuve vivante ! Or, cette vérité est sans cesse foulée aux pieds par ceux qui devraient la défendre. Le vrai danger n’est pas à l’Est, il est en France. C’est l’islamisme, mais vous en avez peur et lâchement, n’osez le combattre.

Mais quand on vit comme MM. Attal, Macron, et tous ces petits et gros privilégiés, qui n’ont pas de soucis de fin de mois, dans un régime de l’extrême Centre qui favorise les plus riches au détriment des masses populaires, on vit dans un autre paradigme. Et on est prêt à tout et à dire n’importe quoi pour conserver ses prérogatives, ses postes avantageux et pour certains, ses comptes bancaires généreux en Suisse ou dans des paradis fiscaux.

« Tout ce que touche Macron devient de la m… »  (Donald Trump)

Onyx