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dimanche 4 février 2024

Le premier ministre slovaque ordonne une enquête sur la réaction et les vaccins contre le COVID-19 en raison de plus de 21 000 décès excédentaires depuis 2020




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« Le peuple slovaque a simplement besoin de réponses sur la vaccination, sur ce qu’elle était réellement. Pourquoi divers vaccins expérimentaux ont-ils été administrés sans aucun test ? », demande le Premier ministre Robert Fico.


Dans un discours prononcé devant le Parlement européen cette semaine, le Premier ministre slovaque Robert Fico a annoncé que la Slovaquie allait lancer une enquête sur le « cirque du COVID » lié au déploiement du vaccin et aux mesures de riposte à la pandémie.

« Nous ne connaîtrons jamais la vérité sur le rôle joué par les sociétés pharmaceutiques et sur les organisateurs du cirque du COVID-19 », a déclaré Fico. « C’est pourquoi, Mesdames et Messieurs, le gouvernement de la République slovaque a décidé d’inclure une promesse de résolution de ce problème dans les annonces officielles.

 

 

« Le peuple slovaque a simplement besoin d’une réponse. Il a besoin de réponses sur la vaccination, sur ce qu’elle était réellement », a-t-il poursuivi. « Qu’est-ce que c’était vraiment ? Pourquoi divers vaccins expérimentaux ont-ils été administrés sans aucun test ? Pourquoi toutes sortes de médicaments ont-ils été administrés aux gens ? Pourquoi des tests ont-ils été effectués à l’échelle de l’État ? Qui a acheté ces médicaments ? Pourquoi ont-ils été achetés ? Quelle quantité a été achetée ? Combien d’argent a été dépensé pour cela ? Nous nous retrouvons avec des milliards, des milliards ! » 

Fico a poursuivi en expliquant que l’enquête était d’autant plus justifiée que la Slovaquie a connu 21 000 décès excédentaires depuis 2020, ce qu’il a imputé à « l’incompétence du gouvernement ».

« Nous avons 21 000 morts, ce qui s’explique par le fait que les gouvernements en place depuis 2020 n’étaient pas capables de gérer (la pandémie), qu’ils ne se souciaient que des gains économiques et qu’ils veillaient bien sûr à s’incliner devant les sociétés pharmaceutiques auxquelles ils achetaient d’énormes quantités d’équipements médicaux inutiles et souvent aussi des vaccins », a-t-il déclaré.

Fico a indiqué que la Slovaquie allait créer un nouveau bureau gouvernemental spécialement chargé d’enquêter sur cette affaire et nommer son député à l’Assemblée nationale pour mener l’enquête et en publier les résultats.

« Sur la base des éléments dont nous disposons, nous voulons savoir ce qui s’est réellement passé. Je pense que le Dr Kotlar, député à l’Assemblée nationale, dispose de suffisamment d’informations », a-t-il déclaré. « Je vois qu’il est prêt, même lorsqu’il s’agit de maintenir la cohésion de l’équipe. Je lui ai demandé de discuter de tout cela au sein du cabinet avant de faire une déclaration publique. Et je suis absolument, je répète, absolument confiant que son travail donnera des résultats, que nous publierons et que nous dirons au public slovaque ce qui s’est réellement passé pendant cette période du COVID. »

« Aujourd’hui, nous savons une chose : les gouvernements précédents n’ont absolument pas réussi à gérer le Covid et ont laissé 21 000 personnes livrées à elles-mêmes. Et, comme nous le savons tous, ils ont gagné beaucoup d’argent en achetant inutilement des fournitures médicales et des vaccins », a-t-il conclu.

En décembre, le Rico a rejeté le traité de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les pandémies, le qualifiant d' »absurdité inventée par des sociétés pharmaceutiques avides 

 

 

Cette décision intervient alors qu’un groupe de scientifiques a récemment publié un article révisé par des pairs appelant les gouvernements à approuver un moratoire mondial sur les injections d’ARNm anti COVID jusqu’à ce que toutes les questions relatives à son profil de sécurité aient été résolues.

« Une fois qu’une évaluation appropriée des allégations de sécurité et d’efficacité a été faite – sur la base de laquelle les autorisations d’utilisation d’urgence (EUA) et les autorisations finales ont été accordées – il a été constaté que les produits injectables contre le COVID-19 n’étaient ni sûrs ni efficaces », a déclaré Jessica Rose, Ph.D., co-auteure de l’article.

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