Pages

mardi 10 octobre 2023

« Jack Lang et sa femme allaient se servir littéralement de chaire fraîche dans des centres pour enfants en difficulté. Et comment toute cette folie immonde a été enterrée par la justice avec l’aide des différents présidents de la République française. Une vraie dégénérescence politique. »


 

Par
Planetes360

Vous me dites souvent que je ne prends pas le temps d’apporter des preuves indémontables.

 Des preuves, comme des notes blanches par exemple, venant des cerveaux des renseignements généraux.

Avouez que c’est un peu difficile à publier. Surtout en temps de guerre. C’est même dans la plupart des cas interdit par la loi. Mais aujourd’hui, c’est parti. Il y a une fenêtre de tir.

Vous voulez des preuves, vous allez en avoir pour votre argent. Accrochez-vous bien. Et éloignez les enfants. Les Jacklangophiles ne vont sans doute jamais s’en remettre. Mais le réel, c’est réel. Place aux révélations.

La note que vous avez ici en pièce jointe sous vos yeux est écrite par l’une des pointures du renseignement français. Écouté et respecté de tous. Il n’y aura donc plus de doute sur la qualité de la source.

Demandez à n’importe quels gendarmes autour de vous, demandez à n’importe quels policiers, avocats, magistrats, si une note signée par le patron des renseignements généraux français est un fake complotiste ?

Ou alors peut-être qu’Yves Bertrand est un complotiste ou un illuminé d’avant-garde. Qui sait ? Mais ça reste peu probable. Contrairement à l’histoire (abominable) que vous allez découvrir maintenant.

Jack Lang et sa femme allaient se servir littéralement de chaire fraîche dans des centres pour enfants en difficulté. Et comment toute cette folie immonde a été enterrée par la justice avec l’aide des différents présidents de la République française. Une vraie dégénérescence politique.

Comme le prouve @faitsetdocs : « Les écoutes judiciaires faisaient ressortir les noms de Jack et Monique Lang, cette dernière prenant des rendez-vous pour son mari avec des pensionnaires du Centre. Le militaire de la gendarmerie aurait même évoqué des détails scabreux concernant les penchants du ministre de la Culture.

Dans une des écoutes, Monique demandait que soit installée une table en verre afin que son mari puisse visualiser les ébats de son épouse avec un jeune adolescent. Or, les écoutes n’ont pas été versées à la procédure.

Mais il se dit que les cassettes d’enregistrement devraient en principe être enregistrées au greffe de Grasse. Toutefois, il paraît plausible que les instigateurs de “l’enterrement” de l’affaire auront pris soin de faire disparaître toute “mémoire” susceptible de les compromettre, sauf à interroger l’adjudant Candela. »

Donc, sauvegardez la pièce jointe que vous avez ici sous les yeux, elle fera taire définitivement tous les Julian Pain et les Rudy Reichstadt de tous les pays.

Sinon, dans ce nouveau dossier historique, on revient aussi sur la « victime maghrébine » et « l’accident de voiture » après une « soirée arrosée » entre Elisabeth Gigou et son ancien amant Serge July.

On apprend aussi que @JLMelenchon (!) regardait avec Jack Lang (!) Notre Dame (!) brûler depuis le toit terrasse de l’Institut du Monde Arabe.

On découvre aussi la duplicité de la journaliste Sophie des Déserts qui partait à la rescousse des horreurs commises par Jack Lang. Et comment une « journaliste » sert le pouvoir profond pour monter de « véritables opérations de déminage médiatiques ».

Manque de chance pour elle, pour eux, Zoé veille.

 

 

 

Lisez ceci : "Récemment, c’est Roman Polanski qui a trouvé en Jack Lang un fervent avocat.
 
 Polanski a photographié la nudité d’une enfant de 13 ans, avant de la droguer et de la sodomiser, sans oublier de lui dire de garder ce petit secret pour elle et de ne rien dire à ses parents. 
 
A l’exception du monde artistique, peu de français étaient prêt à soutenir ce pauvre Polanski, enfermé dans son chalet Suisse. Mais Jack Lang, d’interviews en plateaux télés a défendu son ami.
 Alors, s’il doit choisir demain entre un ami et un enfant violé, qui l’emportera ? Il est légitime de se poser la question. 
Comment Jack Lang qui déclarait le 31 janvier 1991 à Gay Pied : « La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du XXIe siècle d’en aborder les rivages » peut-il avoir conscience du crime pédophile ? 
Comment fera-t-il tout simplement la différence entre le bien et le mal en la matière ?
 
 Montons d’un cran : le capitaine Paul Barril, subordonné du Commandant Prouteau, créateur de la cellule anti-terroriste de l’Elysée, déclare en audience publique le 29 avril 1997 : « Je me rappelle qu’on nous avait alerté pour stopper l’enquête sur le réseau pédophile « Coral » à cause des personnalités mises en cause. » 
Parmi ces personnalités présumées : Jack Lang, le ministre de la culture, mais aussi le neveu du président Mitterrand. Ce réseau Coral impliquait plus de 340 personnalités dans le monde politique, artistique, judiciaire et journalistique qui auraient abusé d’enfants handicapés et autistes. 
Coïncidence, le comité de soutien de Roman Polanski comprend plusieurs personnalités mises en cause dans le réseau Coral. 
Déjà en 1977, Jack Lang défendait ses amis pédophiles en signant une pétition publiée dans Le Monde appelant à libérer trois hommes ayant eu des ‘relations sexuelles sans violence’ avec des mineurs de moins de 15 ans, garçons et filles. 
En plus, ces trois hommes se sont amusés à photographier leurs ‘jeux sexuels’. Tout cela n’était pas bien grave, selon les signataires… on y retrouve des politiciens (Jack Lang,), des médecins (Bernard Kouchner), des psychiatres et psychologues, des intellectuel-le-s (J-P Sartre, Simone De Beauvoir).
 
 Ces signataires défendaient alors un discours similaire à celui tenu aujourd’hui par des associations pro-pédophilie (NAMBLA aux USA, Paidika aux Pays Bas, … en France ?) plaidant pour la décriminalisation de la pédophilie. 
 
Voilà pourquoi nous demandons au Président de la République de ne pas nommer Jack Lang à la fonction de Défenseur des Droits.
 
 Face aux intérêts politiques en jeu, nos enfants sont bien plus importants. Isabelle Aubry, Présidente AIVI »
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.