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jeudi 2 février 2023

Le désastre des stratégies anti-viRusses


 

 

La Commission européenne annonce un dixième train de sanctions contre la Russie et les propos tenus deviennent effrayants. Il faut battre les Russes, détruire la Russie pour qu’elle ne puisse pas s’en relever sur plusieurs décennies disent nos élites européennes.

Il y a là un relent terrifiant de théorie des races de l’époque hitlérienne où les Slaves étaient à exterminer et les ressources de l’espace russe à piller pour le compte de la race supérieure. Mais il y a une nauséabonde répétition de la stratégie anti-covid.

Il fallait enfermer, confiner et dénoncer les porteurs du virus comme aujourd’hui on prend des trains de sanctions pour confiner, isoler et punir les Slaves. Dans les deux cas, la folie s’empare des décideurs car rien n’est rationnel, sauf à vouloir nous ruiner chaque fois un peu plus. D’un côté des centaines de milliards de confinement et de tests, de l’autre, des centaines de milliards de surcoût des énergies pétrolières et gazières qui ruinent l’Europe. Exclusion, haine, punition, le vocabulaire est toujours aussi agressif. 

Il fallait s’armer contre le virus, donc vacciner à coup de dizaines de milliards de dépenses dans ces mixtures vaccinales. Il faut faire la guerre aux Russes et nous livrons pour des dizaines de milliards d’armes, cette fois pour tuer des jeunes hommes en Ukraine et en Russie. Folie guerrière pathétique, puisque nous savons que la mixture était une escroquerie sans effet sur la transmission. L’histoire des sciences retiendra sans doute ce moment de pure déraison des nations occidentales au 3e millénaire ! Mais la lutte contre la Russie semble partir sur de bonnes bases en s’attaquant sournoisement et de manière de plus en plus explicite à la première puissance nucléaire de la planète. 

Et cela nous amène au troisième point commun de ces stratégies anti-viRusses, les effets indésirables ou la dévastation. Des morts, des blessés, des victimes à vie de la mixture d’un côté et de la guerre de l’autre. Mais partout une stratégie de crime des innocents. Dans les deux cas, personne de raisonnablement constitué ne peut ignorer le désastre de ces stratégies : leur coût économique insensé, leur inefficacité totale et leur coût humain dramatique.

Comment est-ce possible ? Sont-ils à ce point idiots ? Je n’y crois pas une seconde. Ces désastres stratégiques sont souhaités et ils visent systématiquement l’Europe. La vieille Europe est à abattre, à détruire, dans sa civilisation, dans ses trésors patrimoniaux et dans ses populations. Je ne vois plus aucune autre interprétation possible à cet enchaînement de désastres stratégiques. Comment des êtres raisonnables peuvent-ils sciemment court-circuiter des dizaines d’années de recherche scientifique, abolir toutes les lois protégeant la dignité humaine, inoculer une mixture incertaine, quoique, et n’écouter, encore aujourd’hui, aucun des éminents scientifiques qui hurlent halte au feu ? Comment peuvent-ils décider des confinements absurdes qui ne figuraient dans aucun des modèles de gestion des crises épidémiques ? Et aujourd’hui, comment peuvent-ils ignorer le caractère totalement mafieux des élites ukrainiennes, le désastre humanitaire et les quelques dix millions d’exilés, les cent milliards d’aide à un pays ravagé ? Comment peuvent-ils imaginer continuer de graduellement franchir chaque jour un peu plus les limites insoutenables d’une guerre directe où l’Europe est déjà en perdition ? Pas d’armée, pas d’hommes. 

Le grand sociologue américain Christopher Lasch écrivit un livre magistral intitulé : La révolte des élites et la trahison de la démocratie. Je crois que nous devons prendre notre destin en main et expédier ces élites en dehors de notre champ politique. 

Il nous faut reprendre le pouvoir ; car nous sommes embarqués malgré nous dans un projet de destruction. 

Manifestons pour la paix en Europe, rencontrons les députés, organisons des débats. Interpellons le président de la République pour lui signifier notre total désaccord. 

Ces stratégies anti-viRusses sont trop comparables pour ne pas y voir la main des intérêts américains qui miraculeusement tirent à chaque fois immensément profit de ce désordre. Cicéron avait bien raison, la seule vraie question dont la réponse identifie à chaque fois le vrai coupable : À qui profite le crime ? À cet État-Voyou qui ne respecte rien ni personne. Si nous sommes en guerre, c’est contre cet État-Voyou qui pille le monde, organise partout des guerres, tue des chefs d’États. Ces entreprises sont devenues de tentaculaires mafias qui menacent nos peuples et nos libertés : des laboratoires aux géants de la tech, ils nous imposent l’avilissement, l’addiction, la dépendance, les opiacées, les chantages économiques, etc. Les nations européennes doivent s’émanciper, se libérer et se construire un destin spirituel et humain. L’avenir de l’Europe se joue sous nos yeux.

Pierre-Antoine Pontoizeau

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