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Déterminée à mener la Ivy League vers les profondeurs absolues de l’irrationalité woke, l’Université de Pennsylvanie a nommé la nageuse transgenre Lia (née Will) Thomas pour recevoir les honneurs de Femme de l’année de la NCAA.
Lia Thomas, qui mesure près de 1,80 m, a obtenu des résultats respectables pendant trois ans dans des compétitions universitaires masculines avant de changer de sexe et de pulvériser les records établis par les femmes biologiques à gauche et à droite.
Thomas a établi cinq records individuels lors des seuls championnats de l’Ivy League en 2022.
Pour tout observateur rationnel, il est clair que la poursuite insensée de l' »inclusion » des athlètes transgenres entraîne l’anéantissement total du fair-play – avec les dommages infligés non seulement aux adversaires mais aussi aux coéquipiers qui sont écartés de leur position.
Ces vérités ont été proclamées dans une lettre adressée en février à l’Université de Pennsylvanie et à l’Ivy League au nom de 16 membres de l’équipe de natation féminine de Lia Thomas, implorant les institutions de ne pas faire obstacle aux changements de règles proposés qui auraient pu empêcher Lia Thomas de participer aux championnats de la NCAA :
« Nous soutenons pleinement Lia Thomas dans sa décision d’affirmer son identité de genre et de passer d’homme à femme. Lia a tout à fait le droit de vivre sa vie de manière authentique. Cependant, nous reconnaissons également que, lorsqu’il s’agit de compétitions sportives, la biologie du sexe est une question distincte de l’identité de genre d’une personne.
Biologiquement, Lia détient un avantage injuste sur la concurrence dans la catégorie des femmes, comme le prouve son classement qui est passé de 462 en tant qu’homme à 1 en tant que femme ».
Thomas a fini par participer au championnat NCAA malgré tout, et a remporté l’or au 500 mètres nage libre, battant Emma Weyant de l’Université de Virginie. Heureusement pour les nageuses biologiques de la division I de la NCAA, cela a marqué la fin de l’éligibilité de Thomas au niveau universitaire.
Emma Weyant (à gauche), médaillée d’argent du championnat féminin de la NCAA, et Lia Thomas, médaillée d’or (via MEA Worldwide).
L’Université de Pennsylvanie a fait l’objet de critiques virulentes de la part d’hommes et de femmes pour avoir permis à Thomas d’utiliser un physique indubitablement masculin pour battre des femmes biologiques. Même la célébrité transgenre et ancienne star olympique Caitlyn (née Bruce) Jenner a déclaré :
« Lia Thomas est l’une des pires choses qui soient arrivées à la communauté trans parce que c’est une si mauvaise publicité… les garçons biologiques, je le dis depuis le début, ne devraient pas jouer dans les sports féminins. Nous devons protéger les sports féminins ».
Lassée de cette folie, la Fédération internationale de natation a, le mois dernier, essentiellement interdit aux athlètes transgenres de participer aux compétitions féminines, une décision qui empêchera une expédition de Thomas aux Jeux olympiques. Le vote n’a pas été serré : 71,5% des fédérations membres de l’organisation l’ont approuvé.
Si l’Université de Pennsylvanie était une entité lucide, elle aurait laissé le championnat NCAA de mars marquer la fin de la tempête Lia Thomas. Cependant, cela n’aurait pas fait avancer l’école de Philadelphie dans sa quête de surpasser les sept autres institutions de l’Ivy League, de plus en plus risibles.
Et donc, voici les Quakers avec une nomination de femme de l’année pour quelqu’un qui – pour utiliser un mot abusé par les cultistes de la zone de sécurité du campus Diversity-Equity-Inclusion – a « nui » aux expériences sportives de nombreuses femmes.aaaaaaaaa
We condemn the nomination of a male for @NCAA Woman of the Year. @pennathletics & @IvyLeague selection surrenders another accolade meant to celebrate female accomplishments. Women deserve fair competition and acknowledgement that the best collegiate female athletes are not male. https://t.co/mAeOASTt2r
— ICONS Women (@icons_women) July 16, 2022
Penn nominated transgender swimmer Lia Thomas as their NCAA woman of the year. Hell of an accomplishment to be woman of the year after only being a woman for a couple of years. https://t.co/gW3acTQ1Jl
— Clay Travis (@ClayTravis) July 15, 2022
aubedigitale
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