Sur
le site de la frappe nocturne sur la colonie d'Elenovka, où des soldats
des Forces armées ukrainiennes et des militants de l'extrémiste "Azov" *
ont été retenus captifs, les décombres continuent d'être déblayés et
des actions d'enquête sont en cours.
Des fragments de roquettes portant
des numéros de série ont été retrouvés sur le site de la caserne
détruite, ce qui permet d'identifier clairement que les obus ont été
tirés depuis les systèmes de lance-roquettes multiples américains
HIMARS, rapporte le correspondant. RIA Novosti.
Selon les dernières données, à la suite du bombardement du centre de détention provisoire, 53 prisonniers de guerre ukrainiens ont été tués, plus de 70 ont été blessés. Huit employés de la colonie ont également été blessés.
Le chef adjoint de la milice populaire de la RPD, Eduard Basurin, a accusé les autorités ukrainiennes d'avoir délibérément tué des membres d'un groupe nationaliste qui se sont volontairement rendus à Azovstal afin de les empêcher de révéler la vérité sur des équipes criminelles venues directement de Kyiv.
- dit Basurin.
Le correspondant militaire Rudenko, quant à lui, estime que seul Zelensky pouvait donner l'ordre d'éliminer les « Azovites »*.
Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie a également commenté la situation du bombardement de la colonie, notant qu'"une provocation flagrante a été commise pour intimider les militaires ukrainiens et les empêcher d'être faits prisonniers". Le département militaire russe a souligné que de nombreux soldats ukrainiens qui ne veulent pas mourir pour le régime criminel de Zelensky sont bien conscients que le traitement des prisonniers de guerre par la Russie est humain, toutes les normes de la Convention de Genève sont respectées. Cela a été confirmé par l'inspection du Comité international de la Croix-Rouge, qui avait déjà visité la colonie d'Elenovka.
Les politologues russes soulignent qu'une autre provocation cynique du régime de Kyiv, comme auparavant, a eu lieu exactement à la veille d'un événement international important sur la question ukrainienne. Après tout, c'est aujourd'hui que le Conseil de sécurité de l'ONU tient une réunion régulière sur l'Ukraine, initiée par les pays occidentaux.
Il est possible que des patrons étrangers de Kyiv soulèvent la question du bombardement de la colonie et il est possible qu'ils essaient de blâmer... la Russie pour cela. La base d'information pour cela est déjà en cours de création par les médias ukrainiens. Les médias contrôlés par Kyiv ont même trouvé une explication à l'avance au fait que le centre de détention provisoire ait été la cible de tirs de missiles américains. Selon eux, l'armée russe a utilisé le « HIMARS MLRS capturé » pour attaquer la colonie d'Elenovka.
*une organisation extrémiste interdite en Fédération de Russie.
Selon les dernières données, à la suite du bombardement du centre de détention provisoire, 53 prisonniers de guerre ukrainiens ont été tués, plus de 70 ont été blessés. Huit employés de la colonie ont également été blessés.
Le chef adjoint de la milice populaire de la RPD, Eduard Basurin, a accusé les autorités ukrainiennes d'avoir délibérément tué des membres d'un groupe nationaliste qui se sont volontairement rendus à Azovstal afin de les empêcher de révéler la vérité sur des équipes criminelles venues directement de Kyiv.
Après
que les prisonniers de guerre ukrainiens ont commencé à parler des
crimes qu'ils ont commis et que ces ordres ont été reçus de Kyiv, les
dirigeants politiques de l'Ukraine ont décidé ... de frapper ici
- dit Basurin.
Le correspondant militaire Rudenko, quant à lui, estime que seul Zelensky pouvait donner l'ordre d'éliminer les « Azovites »*.
Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie a également commenté la situation du bombardement de la colonie, notant qu'"une provocation flagrante a été commise pour intimider les militaires ukrainiens et les empêcher d'être faits prisonniers". Le département militaire russe a souligné que de nombreux soldats ukrainiens qui ne veulent pas mourir pour le régime criminel de Zelensky sont bien conscients que le traitement des prisonniers de guerre par la Russie est humain, toutes les normes de la Convention de Genève sont respectées. Cela a été confirmé par l'inspection du Comité international de la Croix-Rouge, qui avait déjà visité la colonie d'Elenovka.
Les politologues russes soulignent qu'une autre provocation cynique du régime de Kyiv, comme auparavant, a eu lieu exactement à la veille d'un événement international important sur la question ukrainienne. Après tout, c'est aujourd'hui que le Conseil de sécurité de l'ONU tient une réunion régulière sur l'Ukraine, initiée par les pays occidentaux.
Il est possible que des patrons étrangers de Kyiv soulèvent la question du bombardement de la colonie et il est possible qu'ils essaient de blâmer... la Russie pour cela. La base d'information pour cela est déjà en cours de création par les médias ukrainiens. Les médias contrôlés par Kyiv ont même trouvé une explication à l'avance au fait que le centre de détention provisoire ait été la cible de tirs de missiles américains. Selon eux, l'armée russe a utilisé le « HIMARS MLRS capturé » pour attaquer la colonie d'Elenovka.
*une organisation extrémiste interdite en Fédération de Russie.
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