«Mon message est sans ambiguïté : j’invite toutes ces personnes âgées et fragiles qui ne le seraient pas déjà à se faire vacciner, y compris avec une troisième dose, afin qu’elles réduisent les chances de faire des formes graves de la maladie et d’engorger notre système hospitalier.«
Dans une tribune publiée dans L’Opinion Eric Zemmour a clarifié sa position quant à la politique « sanitaire » de Macron.
Vacciné lui même, il croit aux vertus de ces technologies pour bétail, qui ne marchent même pas après la troisième dose… et qui ont de redoutables effets secondaires, sans parler de qui pourra advenir dans le futur… Il ne dénonce pas la mafia Big Pharma, ses dérives gravissimes et ses sbires… pas davantage la société atrocement liberticide ainsi instaurée et les outils numériques en place et à venir, tel l’ignoble portefeuille digital et la société totalitaire que nous prépare l’UE… Déjà lors de son voyage en Alsace, il avait évoqué les « nouveaux traitements », sans parler de ceux existant…
Il a le mérite d’être enfin très clair et de permettre à ceux qui sont révoltés par ces mesures ignobles de ne pas voter pour lui malgré ses nombreuses qualités.
Plus courageux ou plus lucide, invité d’Europe1, Philippe de Villiers a évoqué la vaccination, comparant le passe sanitaire, sous peu vaccinal, à l’apartheid: «Je dis : liberté vaccinale. Je pense qu’il y a des publics très anciens ou avec des comorbidités qui ont intérêt à utiliser le vaccin. Mais la liberté vaccinale doit être première. Je suis hostile à la vaccination des enfants et je suis hostile au pass sanitaire parce que le pass sanitaire, c’est de l’apartheid. Il y a deux catégories de citoyens.» «Quand vous désignez dans une société un bouc-émissaire, ça s’appelle comment? On explique que c’est à cause des non-vaccinés qu’on se trouve dans cette situation. C’est scandaleux, c’est un mensonge».
«Quand vous choisissez de gouverner par la peur, dans l’histoire ça a toujours été comme ça, quand vous faites peur à un peuple, il obéit. Il ne pense plus, il ne pense plus qu’à sa santé. Mettre cette peur au-dessus de tout permet de le tenir au calme. C’est une aubaine pour Macron, en pleine campagne présidentielle, ça permet de ne plus faire de meetings, ça ne permet plus aux candidats d’aller sur le terrain. Ça change la donne, mais ça va se retourner contre lui».
Philippe de Villiers nous avait avisé de tout.
Le passe dit sanitaire n’est qu’une étape d’une feuille de route écrite depuis des années. Il s’agit d’un plan mortifère d’asservissement mondial des peuples au profit d’une élite mondialisée, dont les politiques français et les GAFAM se réjouissent.
Décideurs et scientifiques savaient depuis longtemps qu’un jour ou l’autre, sur une planète sans frontières de cinq milliards d’individus, adviendrait une pandémie.
Le 12 septembre 2019, à l’initiative de la Commission de Bruxelles et des chefs d’État européens, lors d’un sommet avec l’OMS se décida un passeport vaccinal obligatoire.
Le 18 octobre 2019, à New York, Big Data, Big Finance, Big Pharma ont procédé à un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus dans des ports brésiliens, engendrant 45 millions de décès.
Le 2 juin 2020, le président du Forum de Davos, celui qui avait adoubé Macron en 2016, Klauss Schwab, publiait Covid-19 La grande réinitialisation du monde, ouvrage dans lequel il considérait que cette épidémie était une chance, représentant une fenêtre d’opportunités…
À l’été 2020, Elon Musk, le milliardaire américain à l’origine de Tesla et de Space X, a vanté les avancées d’un projet sur les implants cérébraux, piloté par sa Start up Neuralink, innovation expérimentée sur des cochons.
Le 19 décembre suivant, Ouest France expliquait que le Chili allait modifier sa Constitution afin d’empêcher que les cerveaux de ses concitoyens puissent être hackés ou manipulés. Le gouvernement s’opposait vivement aux implants cérébraux, permettant aux géants du numérique et aux politiques de lire dans les ondes cérébrales, pour mieux installer leur surveillance marchande.
Toutes ces informations sont sourcées dans l’ouvrage de Philippe de Villiers, Le jour d’après.
Depuis le printemps dernier et la sortie de ce livre, il a multiplié les alertes , appelant à la «résistance», persuadé que la France a basculé «dans un régime totalitaire», et contre les «trois grands remplacements» qui mettraient la France «en danger de mort» : «Un remplacement de la population par une autre population, […] un remplacement de notre civilisation par une autre civilisation […] et un grand remplacement de nos repères de vie, d’une société millénaire par une autre société hygiéniste, eugéniste, transhumaniste».
L’on ne peut que déplorer que le valeureux Philippe de Villiers ne soit pas candidat tant nous aurions besoin d’un homme tel que lui pour sauver et protéger les Français.
Mitrophane Crapoussin
Merci à Fabie
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