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mercredi 16 juin 2021

« Vaccins, l’OMS enquête sur les myocardites post-vaccination Pfizer !!! » L’édito de Charles SANNAT



 par | 16 Juin 2021 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

La réalité est assez complotiste ces derniers temps. 

Tous ceux qui ont la mauvaise idée de ne pas croire la propagande et de ne pas se ruer vers le premier « piquodrome » (lieu de piquage massif et à la chaîne pour administrer les vaccins) venu, sont forcément de méchants complotistes.

Je vous rappelle selon le théorème de Sébastien Dieguez, « ce que fait le complotiste il va faire des recherches par lui-même, il veut penser par lui-même, il veut voir par lui-même »… Bref, quand on fait l’effort de lire un peu ce qui se dit, il apparait depuis le début de la vaccination de masse, et c’est en Israël que le signal d’alarme a été tiré en premier, que le nombre de myocardites, une maladie cardiaque, est en forte hausse.

Mais, chuuuut, piquez-vous, pour aller au ciné, ou voir un match de foot, une petite piqouze et hop, on pourra tout rouvrir et si vous pouviez pourrir et insulter ceux qui ne veulent pas de l’injection, ce serait apprécié par les zautorités qui vous veulent que du bien.

Bref, désormais, l’OMS étudie un lien entre le vaccin Pfizer et des cas de myocardite !

« En réaction à une récente étude israélienne, l’OMS est en train de recueillir des données sur des cas de myocardite détectés chez des personnes vaccinées par Pfizer/BioNTech.

L’Organisation mondiale de la Santé étudie les informations sur des cas de myocardite chez certains patients ayant reçu le vaccin Pfizer/BioNTech contre le nouveau coronavirus, a annoncé ce lundi 14 juin la sous-directrice générale de l’OMS, Mariangela Simao.

« Nous sommes en train de suivre la situation et de recueillir les données. Nous vérifions si la myocardite constitue ou pas une conséquence de la vaccination », a expliqué Mme Simao lors d’un point presse.
Elle a promis que l’OMS reviendrait sur ce sujet lorsqu’elle aurait toutes les vérifications scientifiques nécessaires.

Des cas bien rares
Une étude israélienne publiée plus tôt en juin révélait que le vaccin Pfizer serait responsable de plusieurs cas de myocardite, une inflammation qui entraîne une destruction des cellules musculaires cardiaques.

Or, il ne s’agit pas d’un phénomène vraiment fréquent : ainsi en Israël, les 275 cas de myocardite décelés ne représentent que 0,005 % des plus de 5 millions de personnes ayant reçu le vaccin.

Début de la vaccination des 12-18 ans en France
Auparavant, Emmanuel Macron avait annoncé que la vaccination contre le Covid-19 serait ouverte aux adolescents de 12 à 18 ans à partir du 15 juin en France.

L’Agence européenne des médicaments (EMA) avait autorisé la vaccination des 12-15 ans avec le vaccin Pfizer-BioNTech le 28 mai ».

La question du bénéfice/risque.

Les chiffres donnent une certaine idée de la réalité. Par exemple chez nos anciens, la catégorie où la mortalité est la plus élevée nous avons un taux d’environ 15 % en ordre de grandeur. Cela veut dire que chez nos anciens, 85 % survivent au Covid.

Chez les jeunes, il n’y a pas de mortalité, la mortalité liée au Covid est presque nulle. Cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas de séquelles par exemple, même chez les jeunes. Le Covid nous réserve sans doute quelques très mauvaises surprises.

Pourtant, si le nombre de myocardites peut sembler faible avec 275 cas détectés en Israël, d’abord la population est plus faible et surtout quelle est la répartition jeunes/moins jeunes ! Car vous voyez bien que cela peut grandement influer le rapport bénéfice/risque par catégorie d’âge et donc la pertinence de la vaccination en fonction des catégories.

Vous voyez bien également, que le vaccin nous réserve également des surprises, pas forcément très bonnes. Il y a ce qui ne s’est pas vu pendant les études assez rapides, et qui se voit lorsque l’on vaccine des millions de personnes. Il y a ce qui ne s’est pas vu dans les études, et qui ne se voit pas non plus aujourd’hui parce qu’il faudra du temps à certains effets pour se manifester et que seul le temps plus long permettra d’avoir des certitudes plus crédibles et plus documentées sur les conséquences des vaccinations ARNm qui je le rappelle ne sont pas des technologies vaccinales traditionnelles au sens de « virus » atténués.

Cela ne veut pas dire que cette technologie n’est pas remarquable. Ce sera peut être une révolution médicale au même titre que les premiers vaccins ou les antibiotiques. Mais comme toutes nouveautés, il y a des risques encore inconnus ou mal maîtrisés.

La question du bénéfice/risque est donc la grande absente des débats. Cette question ne doit pas être discutée et c’est très gênant en termes intellectuel.

Une cata, une réussite, ou un truc qui n’a pas servi à grand-chose.

A la fin du film, nous saurons si cette vaccination aura été une catastrophe sanitaire, ou si les variants et l’échappement immunitaire feront que cela n’aura finalement servi à rien, ou si au contraire, la vaccination massive avec un procédé encore mal connu aura été une immense réussite. Au moment où vous lirez ces lignes, personne n’en sait rien.

Et c’est justement cette inconnue qui devrait pousser tout le monde à une grand humilité et à débattre et penser collectivement pour tenter de prendre les meilleures ou les moins mauvaises, car oui, certains vont mourir à cause du vaccin parce que quand on vaccine des milliards de personnes il y a toujours des morts c’est statistiques, il y aura des effets secondaires parfois très graves avec des séquelles. La question est de savoir si ces effets peuvent être évités, si certaines personnes devraient ne pas être vaccinées. Malgré tout cela, le bénéfice de la vaccination peut être supérieur à l’absence de vaccination, encore faut-il que le vaccin ne rende pas plus malade ceux qui risquent peu du covid, encore faut-il pouvoir en parler et le mesurer.

Pourtant ce n’est pas le cas, parce que si les gouvernements disaient réellement les choses avec objectivité, les publicités pour pousser les gens vers les vaccinodromes auraient nettement moins de succès.

Cette enquête sur les myocardites de l’OMS doit agir comme un rappel au bon sens médical.

D’abord ne pas nuire.

Ne pas oublier le principe de précaution inscrit dans notre constitution, sans pour autant se faire paralyser par une prudence tétanisante.

Notre volonté de relancer l’économie, ce qui est une bonne idée, ne doit pas être l’excuse aux pires imbécilités.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

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