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vendredi 5 mars 2021

Une étude israélienne sur le COVID montre que le vaccin est plus dangereux que le virus lui-même


 

Une étude israélienne sur le COVID montre que le vaccin est plus dangereux que le virus lui-même.
 
Une nouvelle analyse des taux de mortalité liés aux vaccins en Israël amène à des constats dramatiques. 
 
L’Etat d’Israël a été remarquablement efficace pour vacciner sa population. Or des chercheurs souligne que l’effort fourni pourrait s’avérer dangereux, tout en étant impuissant face à la récurrence et aux mutations du virus. A la fin, on aura enfermé la population dans un système de passeport vaccinal sans que les libertés supprimées soient compensées par un avantage sanitaire. 
 

Une étude israélienne confirme les constats précédents. Selon une publication du Journal The Defender, une réanalyse des données publiées par le ministère israélien de la santé par le Dr Hervé Seligmann, membre de la faculté de médecine des maladies infectieuses et tropicales émergentes de l’université d’Aix-Marseille, et l’ingénieur Haim Yativ révèlent, en résumé, que le vaccin expérimental à ARNm de Pfizer a tué “environ 40 fois plus de personnes (âgées) que la maladie elle-même n’en aurait tué” au cours d’une récente période de vaccination de cinq semaines. Chez les plus jeunes, ces chiffres s’ajoutent à un taux de mortalité 260 fois supérieur à celui que le virus COVID-19 aurait déclaré dans le laps de temps donné.

Yativ et Seligmann stipulent que même ces “nombres estimés de décès dus au vaccin sont probablement bien inférieurs aux chiffres réels car ils ne “tiennent pas compte des complications à long terme”.

Une étude israélienne confirme les constats précédents

Pire les chercheurs israéliens s’attendent à “des effets indésirables à moyen et long terme de la vaccination, quand la facilitation de l’infection par des anticorps commence à se manifester chez ceux qui auront reçu le vaccin expérimental de Pfizer.

Comme l’expliquent les  America’s Frontline Doctors  (AFLDS), la facilitation de l’infection par des anticorps a lieu “lorsque les anticorps anti-Covid, créés par un vaccin, provoquent, au lieu de protéger la personne, une maladie plus grave ou plus mortelle lorsque la personne est ensuite exposée au SRAS-CoV-2sauvage. 

Le vaccin amplifie l’infection plutôt que de prévenir les dommages”. L’America’s Frontline Doctors (AFLDS) fournit un exemple passé de vaccin produit pour lutter contre la dengue (grippe tropicale), qui a entraîné la mort de 600 enfants aux Philippines à cause de la facilitation de l’infection par des anticorps, et le dépôt de poursuites pénales contre les décideurs en 2019.

Le Professeur Raoult a fait un constat similaire lors d’une au « Défit de la vérité » par Richard Boutry, journaliste à France Soir. 

Pour ces raisons et bien d’autres encore, l’AFLDS et de nombreux autres médecins découragent fortement l’utilisation de ces vaccins expérimentaux pour la plupart des personnes, tout en reconnaissant que cela peut être bénéfique pour les personnes de plus de 70 ans, mais en admettant que ces injections présentent “un risque plus élevé qu’un traitement précoce ou prophylactique avec des médicaments établis”

Le passeport sanitaire est liberticide

Ces dernières semaines, le gouvernement israélien a fait la une des journaux en adoptant un système de “passe vert”, permettant aux personnes qui ont reçu une injection de recevoir un code vert, qui leur permet ensuite d’entrer dans des lieux tels que des installations de divertissement et de loisirs.

À la réouverture du pays après deux mois de fermeture, le laissez-passer vert ne sera accordé qu’aux personnes qui se sont fait injecter le vaccin, et non à celles qui ont été testées négatives. Les avantages proposés en contrepartie de ce passeport comprennent l’accès aux entreprises “non essentielles” ainsi que le fait de ne pas avoir à s’isoler si l’on est identifié comme un contact proche d’un cas confirmé de COVID-19, et de ne pas avoir à s’isoler après un retour de ce que le gouvernement appelle un “lieu rouge”.

Bien qu’il n’ y ait aucune preuve que les vaccins expérimentaux empêchent réellement la transmission du virus, le ministre israélien de la santé, Yuli Edelstein, a déclaré lors de la publication du “passeport” vaccinal que : “Celui qui ne se fait pas vacciner sera laissé pour compte.”

Le laissez-passer vert ne sera pas un sésame définitif et devra-être renouvelé tous les six mois, et n’exonèrera pas des règles de masquage et d’éloignement physique. Le Jérusalem Post a également signalé qu’une législation est envisagée pour accorder aux employeurs le droit de refuser l’entrée sur le lieu de travail aux personnes non vaccinées.

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