Stop PCR

En se soumettant aux tests PCR avec docilité, la population maintient sans le savoir la propagande de terreur des gouvernements ainsi que l'état de "transe hypnotique" induit par les mesures autoritaires liées à la crise "sanitaire"

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Peut-on m'imposer la réalisation d'un test PCR?
Voici un exemple de courrier pour le refuser :

Madame, Monsieur

Je fais suite à votre courriel/courrier ayant pour objet « [Titre du courriel/courrier] » et qui m'a été envoyé le [date d’envoi].

Par la présente, je me permets de vous rappeler qu'il n'existe aucune obligation légale de se soumettre à un quelconque test, qu'il soit de type PCR ou autre (antigénique, sérologique, salivaire, etc.).

Par ailleurs, le test faisant partie d'un acte diagnostique (donc médical), sa réalisation ne peut se baser que sur le consentement de la personne concernée, lequel doit être libre et éclairé, suite à la réception des informations nécessaires.

L'article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l'homme est en effet sans équivoque à ce sujet :

"1. Toute intervention médicale de caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique ne doit être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations suffisantes. Le cas échéant, le consentement devrait être exprès et la personne concernée peut le retirer à tout moment et pour toute raison sans qu’il en résulte pour elle aucun désavantage ni préjudice."

En outre, malgré le fait que le test soit utilisé comme "gold standard" pour conclure à l'existence d'une maladie infectieuse, la réalité est que le test PCR n'est pas un outil de diagnostic clinique.

Cela résulte non seulement des déclarations de son créateur, M. Kary Mullis, sur la base du brevet accordé en date du 28 juillet 1987 (US4683195) ¹, mais aussi de la littérature scientifique et de la notice des tests eux-mêmes ².

De ce fait un résultat positif n'équivaut pas à une infection. Pour conclure à l'existence d'une infection, des examens et preuves complémentaires doivent être réalisés (en commençant par la méthode de culture en laboratoire).

Le diagnostic de maladie ne peut être fait que par un médecin inscrit à l'Ordre respectif, après examen du patient et prescription des tests et preuves qu'il jugera nécessaires.

De plus, le test PCR est une méthode basée sur l'amplification et son niveau de fiabilité dépend du seuil de cycles effectués. Selon plusieurs études ^3 4, à partir de 35 cycles (donc tous les tests effectués en Europe et USA) le degré de fiabilité du test est de seulement 3% ou en d'autres termes, le risque d'obtenir des faux positifs est de 97%.

Ce que le test PCR détecte réellement n'est que la présence de séquences partielles de l'ARN du virus. Celles-ci peuvent être un morceau de virus mort ou d'un virus non viable. Leurs porteurs n'ont alors aucun symptôme, ne sont pas contaminants, mais sont néanmoins dits "positifs" ⁵.

Aux questions de fiabilité s'ajoute un nombre important de problèmes potentiels : mauvais prélèvement, erreurs d'étiquetage, contamination d'un réactif, mauvais pipetage, faute d'interprétation, etc., à cause de la réalisation des tests dans des lieux inappropriés (centres de dépistage établis n'importe où et/ou n'importe comment) ou par des personnes non compétentes et qui ne maîtrisent pas les techniques de prélèvement.

Sur la base de ces circonstances et considérations, qui se retrouvent dans la décision du Tribunal d'Appel de Lisbonne du 11 novembre 2020 (procédure 1783/20.7T8PDL.L1), deux juges portugaises ont qualifié de détention illégale l'isolement de quatre touristes allemands dans leur chambre d'hôtel pendant deux semaines, suite à un ordre de l'Autorité Régionale de la Santé, sur base d'un résultat positif dans un des tests PCR :

"La prescription de méthodes auxiliaires de diagnostic (comme c'est le cas des tests de détection des infections virales), ainsi que le diagnostic quant à l'existence d'une maladie, en relation avec chaque personne, est une matière qui ne peut être réglée par une loi, une résolution, un décret, un règlement ou toute autre voie normative, car ce sont des actes que notre système juridique réserve à la compétence exclusive du médecin, et il est certain que ce dernier, en conseillant son patient, doit toujours essayer d'obtenir son consentement éclairé (article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l'homme)."

En conclusion de ces éléments juridiques et scientifiques probants, je vous prie de bien vouloir acter mon refus catégorique d'être soumis à un quelconque test, qu'il soit de type PCR ou autre (antigénique, sérologique, salivaire, etc.).

Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, mes sincères salutations.

Sources

1. Process for amplifying, detecting, and/or cloning nucleic acid sequences Mullis et al. https://patentimages.storage.googleapis.com/ec/14/bf/0a414f77b2d203/US4683195.pdf
2. Intended use: the detection result of this product is only for clinical reference and it should NOT be used as the only reference for clinical diagnosis and treatment.
3. https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciaa1491/5912603
4. https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(20)30453-7/fulltext
5. https://thehuntingtonian.com/2020/10/06/chief-science-officer-for-pfizer-says-second-wave-faked-on-false-positive-covid-tests-pandemic-is-over/

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