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lundi 8 mars 2021

''Porter le masque, c'est accepter d'être présumé malade''


 

Cette femme est une sommité de la médecine reconnue mondialement. 

Mais quand on menace les intérêts de Big Pharma en étant intègre et honnête, on est très vite catalogué de "complotiste" le nouveau délire à la mode chez les ignorants.

Qui est Alexandra Henrion-Caude ?

Alexandra Henrion-Caude, née le 16 octobre 1969 à Warwick au Royaume-Uni est une chercheuse française de l'Inserm, spécialiste en génétique, directrice de la plateforme technologique GenAtlas à l'Institut des maladies génétiques Imagine à l'hôpital Necker.

En 1997, elle soutient sa thèse sur les gènes USF dans la régulation du glucose, et reçoit le Prix de la Fondation Nestlé. Elle poursuit sa carrière aux États-Unis en neurobiologie au Joslin Diabetes Center à Harvard Medical School à Boston et au Salk.

En 2013, elle devient boursière Eisenhower et explore les possibilités de diminuer les coûts en santé, comme les nouveaux contours de la science avec plusieurs Prix Nobel aux Molecular Frontiers sous l'égide de la Fondation Nobel, de l'Académie Royale des Sciences de Suède et de l'Université de Corée. 

En 2015, elle contribue au lancement du manifeste du juste soin au juste coût. Ses interrogations sur la possibilité de construire des ponts entre les connaissances ancestrales et une médecine de pointe l'amènent en Afrique. Elle promeut l'engagement des femmes dans la science avec la Présidente de la République de Maurice, et démontre le défi que pose le changement climatique en matière de santé. Outre ses engagements personnels en bioéthique et dans le monde associatif, ses résultats concernent la maladie de Hirschprung, le syndrome de Ravine, les microARN dont les mitomiRs pour lesquels son étudiante Simonetta Bandiera reçoit le Prix de la Fondation Jérôme Lejeune.


Début mai 2020, interviewée par Pierre Barnérias, de la chaîne YouTube ThanaTV, Alexandra Henrion-Caude dénonçait déjà "l’irrationalité totale des explications officielles autour du coronavirus" et promouvait, en lieu et place de la vaccination, le traitement préconisé par le Pr Didier Raoult.

Selon elle, face au Covid-19, "la réponse, ça ne va pas être le vaccin. C’est d’essayer de gérer la crise par un certain nombre d’antiviraux. Et là, on a un triptyque gagnant. Là, on a la solution qui a l’air de marcher formidablement qui est : un antiviral – alors il peut être à base de plantes, il peut être à base de traitements antipaludéens, anti-malaria comme l’hydroxychloroquine, mais en tout cas visiblement il faut déjà un antiviral dans l’arsenal […] ; le deuxième, c’est un antibiotique qui est génial, c’est l’azithromycine, qui a une efficacité antivirale et que nous on connaît bien, moi que je connais bien, parce qu’on l’a utilisé très largement dans la mucoviscidose non seulement parce qu’évidemment il est antibactérien comme tous les antibiotiques, mais aussi parce qu’il est anti-viral ; et le troisième agent du triptyque, c’est un peu de zinc".

En clair, cette femme est une sommité de la médecine reconnue mondialement. Mais quand on menace les intérêts de Big Pharma en étant intègre et honnête, on est très vite catalogué de "complotiste" le nouveau délire à la mode chez les ignorants.

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