Réflexions sur l'actualité et la politique Française. Avec quelques exceptions sur le reste du monde. Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
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Réflexions sur l'actualité et la politique Française. Avec quelques exceptions sur le reste du monde. Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
Le nombre quotidien de morts du COVID en France est en décrue constante depuis le mois de février. Nous avons atteint les 243 décès quotidiens en moyenne sur 7 jours, hier, alors qu’il était de 450 début février. Autrement dit, la dangerosité de l’épidémie est sur une pente franchement décroissante ces dernières semaines, alors même que les admissions en réanimation ont fortement augmenté.
La baisse du nombre de morts est peu relayéeC’est au fond une très bonne nouvelle que cette décrue du nombre moyen de décès quotidiens depuis un mois. On peut l’illustrer plus précisément par ce graphique :
Comme on le voit, le mois de mars a prolongé la tendance apparue en février d’une baisse constante du nombre de décès quotidiens. Alors que ce nombre était supérieur à 300 au 1er mars, il n’est plus que de 243 à la fin du mois.
Proportionnellement, la mortalité du virus a baissé de 20% en un mois, performance qui est totalement occultée par les medias dans la présentation du virus.
Le catastrophisme médiatique pose une nouvelle fois questionAlors que la montée en pression des services de réanimation affole les pouvoirs publics, le recul du nombre de décès est curieusement occulté. Il est même présenté sous la forme d’une fake news par BFMTV qui semble se complaire dans des présentations biaisées de la réalité. La chaîne « d’information » en boucle a par exemple donné la parole, sans le corriger, à un médecin qui a dénoncé le scandale du nombre quotidien de morts du COVID en France, expliquant qu’il s’agissait de l’équivalent d’un Airbus qui se crashe tous les jours.
Il y a quand même un Airbus A320 qui se crashe tous les jours en France, on a tendance à l’oublier, c’est inadmissible.
Personne, sur le plateau, n’a jugé bon de lui signaler que le cancer en produit le double chaque année, sans qu’on entende un médecin dénoncer le caractère inadmissible de cette maladie.
Les enfermistes utilisent la peurLa baisse du nombre de décès s’explique probablement par l’utilisation de traitements qui permettent de mieux maîtriser la létalité du virus, mais qui, se faisant, rallongent le temps de passage aux urgences. Cette hypothèse mériterait d’être documentée, mais elle montre en tout cas que la stratégie du tout-vaccin comporte de nombreux angles morts.
Dans la pratique, il est fort probable que la mobilisation de traitements autres que le Doliprane ait un effet positif sur le pronostic de mortalité en cas de complication du COVID. Mais cette idée-là semble avoir assez peu attiré l’attention des journalistes mainstream.
Il est plus facile de relayer sans esprit critique les peurs agitées par les enfermistes de tous bords.
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