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dimanche 7 février 2021

« On est au bord du précipice » : la morticole Karine Lacombe récidive

 

Décidément elle tient à jouer ce rôle de terroriste sanitaire jusqu’au bout ! 

La morticole Karine Lacombe, du haut de son incompétence légendaire et de ses multiples conflits d’intérêts avec Big Pharma, ne manque jamais une occasion de terroriser tout le monde avec des mensonges répétés depuis le début de la crise.

Aujourd’hui, elle se prend carrément pour le président de la république. Cette dérive autoritaire de certains professionnels de santé cathodiques Est extrêmement dangereuse et totalement illégitime car antidémocratique. Faut-il rappeler à cette folle que personne ne l’a élue !

Alors que les chiffres du réseau Sentinelles sont extrêmement bas et présentent pour la semaine 4 de 2021 un taux d’incidence de 10/100 000 personnes, la morticole Karine Lacombe veut faire croire qu’on va tous mourir si Macron ne confine pas très fort ! Nous nous en souviendrons, les quatre semaines qui viennent vont nous démontrer qu’elle a eu encore une fois tort, nous en avons l’habitude avec cette incompétente notoire.


Karine Lacombe persiste et signe : il aurait été beaucoup plus judicieux d’opter pour un troisième confinement.

En colère contre la décision d’Emmanuel Macron, elle explique pourquoi elle pense qu’on est « au bord du précipice ».

« C’est un pari qui a été fait, confie Karine Lacombe, au micro de France Inter, ce vendredi 5 février. On est au bord du précipice. » La cheffe du service des maladies infectieuses de l’hôpital Saint-Antoine à Paris n’en est pas à sa première intervention sur le sujet. Elle n’a d’ailleurs pas manqué de tacler Emmanuel Macron, quant à sa récente décision de ne pas reconfiner. Pour elle, cette décision, ce pari qui a été fait, est « une mesure surtout politique ». Karine Lacombe explique qu’il reste désormais à savoir si l’on va « tomber dans le précipice »  ou rester « en équilibre sur la crête ». Pour elle d’autres mesures auraient dû être adoptées.

« On aurait pu dire, on confine très fort, on profite des vacances, parce qu’il y a une diminution de la mobilité, déclare la chercheuse de 50 ans. On confine très fort sur un modèle comme on a fait en mars-avril de façon à couper définitivement la dynamique de l’épidémie. » Selon elle, cela aurait permis alors de retomber à un stade très bas de contamination. Elle continue : « Plus de saturation du système hospitalier, et derrière on a des armes très importantes. » Karine Lacombe évoque ici les nouveaux tests et les nouveaux vaccins qui devraient arriver. « Et au moment où on relève le confinement on est dans une phase de sortie de crise », déclare celle qui est très défaitiste concernant la vaccination.

« On va voir dans quelques semaines ce qu’il va se passer »



Photo d’illustration : « On est au bord du précipice » : Karine Lacombe très prudente sur le virus – © VAN DER HASSELT/POOL/SIPA

Chloé Whitman

MSN Actualité


5 février 2021

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