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samedi 20 février 2021

La Covid, c’est fini !



Et voilà ! Vous l’attendiez depuis maintenant un an et c’est enfin arrivé.

La Covid : c’est presque terminé ! Les “variants” vont encore vous tenir un peu en haleine, histoire que vous vous désaccoutumiez progressivement, mais, globalement, vous allez bientôt apprendre que vous êtes sauvés !

 
Grâce aux vaccins et à une gestion extraordinaire de la guerre qui vient d’être menée, nous et nos gouvernants, serons parvenus, collectivement, à prendre le dessus sur la pandémie la plus grave depuis le début de l’humanité, loin devant la peste, la variole, le choléra ou la fièvre jaune. Le pire de tout, c’est que vous allez finir par en être persuadés ! Un “bourrage de crâne” médiatique sans précédent, au service d’un pouvoir défaillant sur tous les plans sauf celui de la communication, un encadrement policier permanent et une démolition complète de tous les pans de la société, auront permis cet incroyable miracle : celui de faire d’une virose attendue, un fait de société qui aura retourné l’ordre mondial et amené à un changement radical de notre mode de vie.

 
Prétendre qu’il s’est agi d’une stratégie préétablie par ceux qui mènent le monde, me ferait entrer, ipso facto, dans le clan des complotistes. Je dirais donc que ce fut un numéro d’équilibriste dont le but progressif aura consisté, en utilisant de manière opportuniste l’alibi viral, à instaurer, depuis le début, une psychose disproportionnée, à détruire progressivement toute forme de lien social, tout en éprouvant l’incroyable compliance d’un peuple rétif à toute velléité de révolte. Le but final aura été d’inculquer l’idée que le retour “à la normale” ne pourrait s’articuler qu’au travers de la reprise d’un consumérisme effréné, seule garantie du maintien de l’équilibre économique mondial. Au final, fort de cet objectif de nouvelle croissance, la seule voie proposée sera celle d’un modèle où le travail est devenue l’unique valeur “refuge”, semant les graines d’un conflit intergénérationnel pour les trente prochaines années. Quoiqu’il se passe, vous serez contents de ce qui vous sera proposé ! Vous l’êtes déjà !

Mais la vérité a-t-elle le moindre intérêt ?

Privés de tout rapport avec votre prochain, vous avez passé les fêtes seuls, masqués et sans contact physique. Vous avez accepté d’abandonner vos ainés. Vous avez laissé les activités culturelles et tout loisir autre que celui de vous vautrer devant votre écran plat en rentrant du boulot. Vous avez gouté au télétravail, aux livraisons à domicile, aux commandes sur internet. Vous soupçonnez votre voisin, vos petits-enfants, votre restaurateur. Et vous aurez appris une nouvelle définition de la maladie : une pure fiction dans laquelle on vous raconte les millions de malades, les milliers de morts et les patients en état critique, sans que vous n’en voyez aucun de vos propres yeux.

Une pathologie d’un autre monde, dont les traitements habituels seraient interdits, même quand ils fonctionnent, et dont l’analyse ne serait interprétable que par des experts autoproclamés organisés en “conseils secrets”. Une maladie avec laquelle nous ne serions capables de cohabiter qu’au prix d’une vaccination massive, seul viatique pour l’immortalité. Pourtant, je l’ai déjà dit et je le répète : l’histoire dira que cette Covid n’aura finalement tué, presque exclusivement, que des vieillards et des patients dont l’espérance de vie estimée était déjà extrêmement brève. Mais la vérité a-t-elle le moindre intérêt ? D’ores et déjà, constatez-le, les actualités repoussent la Covid à la portion congrue.

Les médias commencent à anticiper la future réélection du président Macron et de son duel attendu avec Marine Le Pen. On entend qu’il y aurait, à nouveau, des pathologies autres que la Covid admises aux urgences. Ce fut toujours le cas, mais il était impossible d’en faire état. Nous aurons tous les jours 1 700 décès sur le territoire et nous manquerons de moyens et de lits dans les hôpitaux. Comme avant. Mais vous ne le saurez plus. Jean Castex reviendra à Prades, auréolé d’un titre ronflant sous les vivas de ses supporters. Je ne sais pas encore si ce sera comme maire ou comme médecin ! De nos jours, il faut s’attendre à tout !

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