22 février 2021
Par Epoch Times
Député des Pyrénées-Atlantiques et président du mouvement Résistons !, Jean Lassalle estime qu’un « totalitarisme mou » a fini par s’imposer à nous.
Un système insidieux mais brutal, d’une efficacité redoutable, qui est parvenu à imposer « une forme de violence normale, quotidienne » à force de renoncements d’une partie des élites.
« Des dirigeants, par manque de clairvoyance, par manque de courage aussi, ont fait preuve de trahison. »
« L’État s’est égaré, il ne joue plus son rôle de symbole. »
« L’État est devenu un poids mort qui bloque tout, à tous les niveaux. »
« C’est un système qui a instauré une forme de violence normale, quotidienne. »
« Lorsque vous avez le malheur d’émettre un jugement différent de celui que vous devriez avoir, les pouvoirs publics, l’État s’organisent pour vous tailler en pièces. »
« Il n’est plus nécessaire de vous déporter en Sibérie ou à Guantanamo : on vous laisse vous dessécher sur pied. »
« Nous ne sommes plus rien, nous ne représentons plus rien ! »
« Nous dégringolons vers l’état sauvage, la loi du plus fort. »
Loin de se résigner, Jean Lassalle – qui a fait part de son intention d’être candidat à l’élection présidentielle de 2022 – entend bien résister, ranimer la flamme de l’espoir afin de retrouver la France éternelle et de ressusciter le génie français.
« Résistance, rassemblement, c’est ce qu’il faut réussir à faire. Il faut réussir à rassembler les Français. »
« Il faut qu’on reprenne de grandes initiatives, qui nous transcendent et qui nous réunissent. »
« Je propose de prendre la suite du général de Gaulle. C’est-à-dire une vision, la capacité à constituer un élan optimiste, peut-être joyeux, qui permette d’imaginer la reprise du progrès pour l’homme. »
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