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samedi 24 octobre 2020

#Billet : Seconde vague, ça a bien dû merder quelque part !!?


 

Tout ! Absolument tout aura été fait pour que le Pays s’enlise dans cette crise sanitofinancière. 

Pourtant, lors de l’interview télévisée du 14-Juillet, le président de la République s’était lui-même engagé :

“ NOUS SERONS PRÊTS EN CAS DE DEUXIÈME VAGUE DE CORONAVIRUS. ” avait assuré Emmanuel MACRON, le 14 juillet 2020 devant des millions de français.

Mais c’était sans compter sur leur incroyable capacité à foutre en l’air la nation. Ainsi, ni le sinistre Véran, ni le faux imbécile Castex, ne trouveront plus insuffisant qu’eux dans la gestion de cette pandémie de bouillonavirus. Il est vrai qu’au départ nous les avions placé dans la case des usurpateurs. Nous avons même cru un long moment, pendant et après la première vague, que tout avait été aussi mal fait, dans l’intérêt de l’industrie pharmaceutique.

L’heure est grave les amis, puisque nous n’avons pas affaire à de la manipulation, mais inévitablement à un cocktail d’incompétence. Car au fond il faudrait être des salauds, pire, des pourris pour tenter à “ tout prix ” d’imposer un vaccin aux français. Ce serait de la folie que de penser que nos actuels gouvernants, ont converti un temps nos EHPAD en mouroir, ont laissé crever chez eux des concitoyens parce que le traitement de Raoult fonctionne, ont tué des milliers d’indépendants et des centaines de PME au bénéfice de l’oligarchie, etcetera, etcetera…

En conséquence, ce sera couvre feu à volonté ! Mais rassurez-vous chers lecteurs, vous pourrez toutefois poursuivre votre entassement matin et soir dans les transports en commun pour vous rendre au boulot et rentrer à la casa  ! En outre, ne comptez plus sur les salles de sports, les cinémas, ni mêmes les réunions familiales pour vous dégourdir en fin de la journée. Les sirènes du couvre-feu retentiront désormais chaque soir et gare aux retardataires… l’État policier réprimera !

Une fois n’est pas coutume, nous noterons la perfectible cohérence des mesures annoncées. Mais gardons la foi ! Il ne faudrait pas en effet que le connarvirus, qui vous a évité durant votre bain de foule dans le bus ou la rame de métro pour aller bosser, ne vous balaye tragiquement alors que vous prenez une mousse avec votre pote ou que vous participer à la chorale de Montcul… Trève de plaisanterie, la situation est critique !

De plus, emportés par l’unité républicaine, la suce classe politique applaudit chaque nouvelle mesure contraignante instaurée par Macron 1er. Il n’y a guère que la nouvelle maire de Marseille pour s’offusquer, vexée de n’avoir pas été consultée avant que l’on annonce le massacre des restaurants et des bars de sa cité… Il est vrai qu’elle ne pensait pas un seul instant, qu’elle et ses habitants, seraient des victimes collatérales de l’opération anti-Raout organisée par le gouvernement.

À part ça, pas une once de contestation révolutionnaire chez le peuple français. Pas grand monde non plus, pour s’élever face à la destruction volontaire des derniers liens familiaux, face à la disparition programmée des indépendants, face à la suspension des libertés individuelles… rien ne se passe. Mieux, 50 à 65% des Français apparaissent demander des mesures plus coercitives tellement ils vivent dans la peur, que ces mesures soient utiles ou non. Ainsi, ces derniers ne sont aucunement frustrés par les nouvelles gesticulations liberticides.

Certes, le pouvoir peut compter sur des policiers et gendarmes particulièrement dévoués pour faire appliquer ses mesures de contrôle sociale, des forces de l’ordre aussi efficaces et intransigeantes face aux réfractaires au port du masque permanent, qu’elles sont discrètes et impuissantes face aux racailles qui ensanglantent le quotidien des français.

Les plus serviles d’entre nous qui se soumettent, parfois avec désir, à des règles autant incohérentes que contradictoires, devraient pourtant les pousser à s’interroger. Jusqu’où sont-il prêt à aller dans l’acceptation d’une rigueur autoritaire nous privant un peu plus chaque jour de toute indépendance et de liberté.

Alors que s’est-il passé ?

Le graphique que vous trouverez un peu plus bas, démontre que la “seconde vague ” a débuté à la mi-août et était en déclin depuis fin septembre. Par ailleurs, nombreux étaient ceux qui tirés le signal d’alarme. Alors que s’est-il passé ???

courbe bleue : hausse nette de la vitesse d’admission en réanimation ++.
courbe rouge : baisse brutale de la décélération (donc du contrôle) du processus épidémiologique (qui est la courbe « inversée » de l’accélération , présentée ainsi pour que ce soit  plus lisible , sinon les deux courbes se chevaucheraient)  .




 

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